Dvdclassik : cinéma et DVD

Et encore je me suis retenu de ne pas lui mettre 8, juste pour contrebalancer un peu l'hallali.
Mais je me suis rappelé à temps que c'était le plus grand navet de l'histoire du cinéma ; du coup je me suis limité à un 7...

Thaddeus a écrit :Et encore je me suis retenu de ne pas lui mettre 8, juste pour contrebalancer un peu l'hallali.
Mais je me suis rappelé à temps que c'était le plus grand navet de l'histoire du cinéma ; du coup je me suis limité à un 7...

t'es beaucoup trop influençable

Ouais mais au final tu lui as mis 4

Thaddeus a écrit :Mais je me suis rappelé à temps que c'était le plus grand navet de l'histoire du cinéma

Je te sens chafouin.

#perspicacité

AtCloseRange a écrit :ça a l'air vachement bien Alien: Covenant...

C'est qu'il va me le faire aller voir, le bougre (et aussi Ballantrae).

Pour le mois de Mai:



1-Le sable était rouge.



2-Le loup blanc, formidable dessin animée Japonais.



3-La solitude du coureur de fond




4-L'histoire du petit Muck





5-A bloody aria





Deux gros coup de cœur pour deux courts:

-Le parapluie» de Mikhail Kobakhidzé




et aussi, la perle Suleima, animé Syrien.

Film de mai.

L'Indomptable d'Edo (Tai Kato, 1964)




Redécouverte du mois


Appointment in Honduras (Jacques Tourneur, 1953)

Rockatansky a écrit :Ouais mais au final tu lui as mis 4

J'ai switché les topics, donc les barèmes. Je voulais dire que j'avais failli lui donner 8/10 (soit 5/6 ici).

Spoiler (cliquez pour afficher)

Mais peut-être avais-tu déjà compris ma méprise et ta remarque était-elle juste destinée à me chambrer un peu plus... d'ailleurs je me dis que c'est sans doute ça.

Ratatouille a écrit :Je te sens chafouin.

#perspicacité

Même pas. J'ai pris du plaisir au film, donc le gagnant c'est moi.
Ceci étant, je trouve un tantinet abusé la manière dont il se fait totalement défoncer. Qu'on le trouve raté je peux le concevoir ; qu'on y voit un étron ultime me laisse circonspect.

Thaddeus a écrit :

Rockatansky a écrit :Ouais mais au final tu lui as mis 4

J'ai switché les topics, donc les barèmes. Je voulais dire que j'avais failli lui donner 8/10 (soit 5/6 ici).

Spoiler (cliquez pour afficher)

Mais peut-être avais-tu déjà compris ma méprise et ta remarque était-elle juste destinée à me chambrer un peu plus... d'ailleurs je me dis que c'est sans doute ça.

C'est une révision mais pan, la claque dans ma face.

Demi-Lune a écrit :• Out of Africa, souvenirs d'Afrique (Sydney Pollack, 1985) — 4/10

Pas encore vu mais tu donnes envie

Père Jules a écrit :

Demi-Lune a écrit :• Out of Africa, souvenirs d'Afrique (Sydney Pollack, 1985) — 4/10

Pas encore vu mais tu donnes envie

Out of Africa : 9.5/10 pour ma part. Le seul film que j'ai été voir trois fois de suite en salles la semaine de sa sortie. Un des rares films qui me fasse autant chialer à chaque vision.

Jeremy Fox a écrit :

Père Jules a écrit : Pas encore vu mais tu donnes envie

Out of Africa : 9.5/10 pour ma part. Le seul film que j'ai été voir trois fois de suite en salles la semaine de sa sortie. Un des rares films qui me fasse autant chialer à chaque vision.

Je suis avec toi, Jeremy!! Grand film.

Demi-Lune a dû confondre avec le Hugh Hudson, je ne vois que ça

Père Jules a écrit :

Demi-Lune a écrit :• Out of Africa, souvenirs d'Afrique (Sydney Pollack, 1985) — 4/10

Pas encore vu mais tu donnes envie

AtCloseRange ne manquera certainement pas d'avoir un mot cinglant à ce sujet, mais j'avoue ne pas avoir été convaincu par ce classique.
Bien qu'il lui ait apporté la consécration de ses pairs, le film m'apparaît faible et de moindre importance au sein de la filmographie de Pollack, car il manque singulièrement de ce style tout caractéristique que l'on trouve, pour rester dans le genre, dans ses mélodrames même boiteux et mineurs. Quand je regarde des films comme Le cavalier électrique ou Havana (que je range pourtant dans cette catégorie boiteuse ou mineure), je vois du pur Sydney Pollack aussi bien de par la classe qui transpire, que par cette force d'incarnation qui renvoie à quelque chose de sauvage, d'indomptable. Ce sont des films qui savent surprendre dans leur écriture même si celle-ci est perfectible. Ça, c'est beau. Pour moi, Out of Africa c'est du Pollack rentré dans le rang, anesthésié par des conventions hollywoodiennes de mélo à l'ancienne. Le couple Streep/Redford a beau procéder des mêmes préoccupations et être pollackien sur le papier, il reste pour moi totalement artificiel du fait d'une écriture pauvre et convenue. C'est gnangnan, quoi. Quant à la dimension de fresque, elle m'apparaît peu probante tant le film patine (toute la première heure est d'un ennui insondable) et égrène son chapelet de situations carte postale superficielles à la Mogambo (Guerre mondiale, safaris, lionne affamée, petits Africains à l'école, etc...) pour ne rien faire avec. Et les personnages autres que ceux de Redford et Streep n'existent pas.
En fait, je suis déçu que le film ne soit finalement pas meilleur qu'une grosse machine comme Le patient anglais. J'ai de l'estime pour Pollack, mais pour le Pollack qui fait Jeremiah Johnson, On achève bien les chevaux ou Les trois jours du Condor. Celui d'Out of Africa me branche carrément moins.