Dvdclassik : cinéma et DVD

Alexandre Angel a écrit :

Jack Carter a écrit :J'attaque la 2 sur Netflix dès septembre.

Sensiblement moins bonne que la 1, sans vouloir te saper l'ambiance. Kirsten Dunst est formidable.

J'ai personnellement préféré la 2ème saison, qui réussit à prendre ses distances avec le film tout en maintenant la continuité de l'ambiance et du ton.

Colqhoun a écrit :J'ai personnellement préféré la 2ème saison, qui réussit à prendre ses distances avec le film tout en maintenant la continuité de l'ambiance et du ton.

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J'ai trouvé que la 1 avait beaucoup plus les qualités que tu énonces. La 2 s'échevèle un peu dans les effets vintage (action en 79) et l'intérêt, pour moi, s'émousse un peu. Et puis le trip "Close encounters" à la fin m'a un peu gonflé.. La 1 avait plus de suspens et un scénario plus cohérent, plus serré, je trouve.

Rick Blaine a écrit :

Jeremy Fox a écrit :
Je vais le mettre dans ma wishlist d'autant que j'aime assez Franco Nero. Sait-on jamais

Nero est excellent, il faut dire que le personnage est très réussi également.

Attention, sous couvert de quelques traits d'humour plutôt grinçant et de scènes d'action spectaculaires, le ton du film est particulièrement noir, voire nihiliste. Corbucci ne sauve pas grand monde là dedans.

Grand film. Jette-toi dessus Jeremy.


Sinon un mois assez basique avec beaucoup de revisionnages, de redécouvertes persos (dont une bonne partie de la filmographie de Jean-Pierre Jeunet, avec et sans Caro ainsi que le Incassable de Shyamalan, toujours aussi fabuleux) et quelques bons films. Cela donne donc ça en gros :

Pas encore de top pour août, sachant que je vois tout à l'heure ce qui pourrait être mon film du mois, voire de l'année.

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C'est dans le film ou c'est juste une illustration? En tous cas, on compte sur toi, compte-rendu story !

Juste une illustration, a priori. Mais s'il y a cette scène dans le film, c'est 10/10 direct.

Mon Top6 d'août (51 films vus dont beaucoup de revision) :

1. Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville)


2. Strange days (Kathryn Bigelow) - Revu !


3. Buffet froid (Bertrand Blier)


4. Crime passionnel (Otto Preminger)


5. Le septième juré (Georges Lautner)


Et la saison 1 de la série Spaced/Les allumés (Simon Pegg, Jessica Stevenson)

Harkento a écrit :
5. Le septième juré (Georges Lautner)

Diffusé lundi soir sur Arte en prime time. Je vais enfin voir ce film qui fait une belle unanimité par ici.

Jeremy Fox a écrit :

Harkento a écrit :
5. Le septième juré (Georges Lautner)

Diffusé lundi soir sur Arte en prime time. Je vais enfin voir ce film qui fait une belle unanimité par ici.

Bonne séance alors ! Je pense que tu ne seras pas déçu.

Colqhoun a écrit :

MJ a écrit :5. Popstar: Never Stop Never Stopping (Akiva Schaffer & Jorma Taccone)

Tu fais bien de me rappeler l'existence de ce film. C'est à la hauteur de ce qu'ils ont fait auparavant ?

Réellement hilarant (et plus convaincant sur l'ensemble que Hot Rod à mon avis). Ca ne devrait pas tant compter dans l'appréciation mais le nombre de caméos de musiciens est...

Jack Carter a écrit :Sinon, j'ai oublié ce qui m'a le plus marqué en aout : la saison 1 de Fargo, epoustouflante !







J'attaque la 2 sur Netflix dès septembre.

Dommage que cette seconde saison soit aussi inférieure à la première (sorry Colqhoun).

Ratatouille a écrit :Pas encore de top pour août, sachant que je vois tout à l'heure ce qui pourrait être mon film du mois, voire de l'année.

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Aurait pu entrer dans mon quinté. C'est assez bouleversant, même si, Solondz oblige, parfois trop schématique ou venimeux.

Après réflexion, mon n°2 reprend le titre pour le mois... encore qu'à ce niveau ça pouvait presque se jouer à pile ou face!

Bilan du mois d'août

Un bon mois en quantité (mais pas pour les sorties salles, moitié moins qu'en juillet). Et (c'était prévisible) c'est un film de guerre soviétique qui remporte le titre. Une chronique très attachante, centrée sur un petit groupe de combattantes et leur adjudant-chef:
Film du mois Ici les aubes sont calmes (Stanislav Rostotsky) , suivi de
2. Ivan le terrible (S.M. Eisentstein)
3. L'arriviste (Alexander Payne)
4. La pianiste (Michael Haneke)
5. Le tambour (Volker Schlöndorff)
6. Les musiciens de Gion (Kenji Mizoguchi)
7. Moka (Frédéric Mermoud)
8. Stefan Zweig -Adieu l'Europe (Maria Schrader)
9. Lucas, fourmi malgré lui (John A. Davis)
10. El Acompañante (Pavel Giroud)

1 - Dernier train pour Busan (Sang-ho Yeon)



2 - Inn of evil (Masaki Kobayashi)
3 - The lineup (Don Siegel)
4 - Zatoichi : La lame (Kazuo Ikehiro)
5 - Zatoichi : Le Secret (Kazuo Mori)

In extremis, Whit Stillman vient donner un petit coup de fouet à ce mois de vacancier avec le film le plus sombre et mesuré de sa carrière, et du coup efface la semi-déception que fut pour moi Love & Friendship. Barcelona est un film sur lequel j'ai beaucoup fantasmé et il ne déçoit pas parce qu'il donne ce qu'on attend du réalisateur de Metropolitan, mais surtout parce qu'il est étrangement déceptif et grave. Le choc des cultures est croustillant et quiconque a vécu à l'étranger retrouvera pas mal de petites vérités tout au long du récit. Mention obligatoire à La Belladone des tristesses, un spectacle comme nul autre, quoique quelque peu hermétique, ainsi qu'à Hollywood Chainsaw Hookers, un nanar généreux et bien troussé. Et enfin, incompréhension vis-à-vis du battage sur Toy Story 3. Il y a bien 2-3 scènes groovy, mais là je suis mystifié.

AOÛT 2016
Films découverts:
_ Barcelona (Whit Stillman - 1994)
_ La Belladone de la tristesse (Eiichi Yamamoto - 1973)
_ Hollywood Chainsaw Hookers (Fred Olen Ray - 1988)
_ La légende de Zatoïchi: le pélerinage (Kazuo Ikehiro - 1966)
_ Toy Story 3 (Lee Unkrich - 2010)

Jack Carter a écrit : 1.

Harry et Tonto (Paul Mazursky, 1974)

Et nous aurons donc le même film du mois

Pour le reste, petit résumé des 55 films (re)vus ce mois-ci:

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Une vie difficile (Dino Risi, 1961)
L.627 (Bertrand Tavernier, 1992)
Le parrain: partie III (Francis Ford Coppola, 1990)
Shining (Stanley Kubrick, 1980)
La reine Margot (Patrice Chéreau, 1994)
L'armée des 12 singes (Terry Gilliam, 1995)
Harry et Tonto (Paul Mazursky, 1974)
Deux grandes gueules (Sergio Corbucci, 1974)
L'inassouvie (Dino Risi, 1960)
Une allumette pour trois (Mervyn LeRoy, 1932)
L'enlèvement de Michel Houellebecq (Guillaume Nicloux, 2014)
Star 80 (Bob Fosse, 1983)
Made in France (Nicolas Boukhrief, 2015)
Black Book (Paul Verhoeven, 2006)
Huit millions de façons de mourir (Hal Ashby, 1986)
Bullitt (Peter Yates, 1968)
Annonces matrimoniales (Antonio Pietrangeli, 1964)
Le signe de Venus (Dino Risi, 1955)
La tour infernale (John Guillermin, 1974)
Le fils du désert (John Ford, 1948)
La princesse de Montpensier (Bertrand Tavernier, 2010)
Un linceul n'a pas de poches (Jean-Pierre Mocky, 1974)
Gremlins 2: La nouvelle génération (Joe Dante, 1990)
L'aventure intérieure (Joe Dante, 1987)
La balance (Bob Swain, 1982)
Pauvres millionnaires (Dino Risi, 1959)
La rivière d'argent (Raoul Walsh, 1948)
Female (Michael Curtiz, 1933)
Le balafré (Steve Sekely, 1948)
La guerre des espions (Masahiro Shinoda, 1965)
Les grands magasins (Mario Camerini, 1939)
La proie (Eric Valette, 2011)
Les caves du Majestic (Richard Pottier, 1945)
Amore mio aiutami (Alberto Sordi, 1969)
La pensionnaire (Alberto Lattuada,1954)
Midi, gare centrale (Rudolph Maté, 1950)
Un château en enfer (Sydney Pollack, 1969)
I nostri sogni (Vittorio Cottafavi, 1943)
Une affaire d'état (Eric Valette, 2008)
Monsieur Max (Mario Camerini, 1937)
Blue Jean Cop (James Glickhenhaus, 1988)
Engrenages (David Mamet, 1987)
La main à couper (Etienne Périer, 1974)
Tonnerre de feu (John Badham, 1983)
La sentinelle des maudits (Michael Winner, 1977)
Huit hommes dans un château (Richard Pottier, 1942)
Le voyageur de la Toussaint (Louis Daquin, 1943)
Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ (Jean Yanne, 1982)
Picpus (Richard Pottier, 1943)
Adhémar ou le jouet de la fatalité (Fernandel, 1951)
Le bal des pompiers (André Berthomieu, 1949)
Le parfum de la dame en noir (Louis Daquin, 1949)
La prisonnière espagnole (David Mamet, 1997)
Saint Amour (Benoît Delépine & Gustave Kervern, 2016)
Parking (Jacques Demy, 1985)

Voilà qui fait plaisir!

Père Jules a écrit :Parking (Jacques Demy, 1985)