Commentaires à propos de votre film du mois

[manuma]

Bilan de janvier, avec 48 films au compteur. Et Risi une nouvelle fois en haut du podium :

1. La Marcia su Roma - Dino Risi (1962)


2. Foxcatcher - Bennett Miller (2014)


3. County Jackson jail - Michael Miller (1976)


4. Anima persa - Dino Risi (1976)


5.Olive Kitteridge - Lisa Cholodenko (TV)(2014)


Et vraiment pas loin derrière le cinquième, Philomena, A Most violent year et Killing me softly d'Andrew Dominik.


et puis aussi la petite découverte obscure du mois, sympathique comme les tout premiers Zemeckis :

[Karras]

Tiercé du mois de janvier :

[Jeremy Fox]

J'ai peut-être déjà trouvé mon film du mois de février

[Hitchcock]

Petit record personnel avec ce mois de janvier 2015 puisque j'ai vu au total 62 films, ce qui fait une moyenne de deux films par jour. Parmi eux, 45 découvertes et pour la première fois j'ai décidé de placer une redécouverte en tête de mon palmarès, tellement le visionnage fut salutaire et révélateur. A part ça, ce mois fut centré principalement sur les comédies musicales, avec les films de George Sidney, Charles Walters, Vincente Minnelli ou encore Joseph L. Mankiewicz. L'intégrale Samuel Goldwyn de TCM m'a permis de découvrir quelques bons films, comme La Vipère ou Dodsworth. Malgré une majorité de films américains, j'ai essayé de diversifier les genres et les nationalités, avec quelques oeuvres françaises, italiennes ou mexicaines. Trois très beaux films vus à la Cinémathèque et deux en salles viennent compléter ce fructueux mois de janvier.

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6. La Terre Éphèmère (George Ovashvili)

7. Gosford Park (Robert Altman)

8. La Reine Christine (Rouben Mamoulian)

9. Fedora (Billy Wilder)

10. Le Goût du Saké (Yasujiro Ozu)

11. Profession : reporter (MIchelangelo Antonioni)

12. Un crime dans la tête (John Frankenheimer)

13. L'Homme au complet blanc (Alexander Mackendrick)

14. Ils n'ont que vingt ans (Delmer Daves)

15. La Vipère (William Wyler)

Prix complémentaires :

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Réalisateur du mois :

William Wyler

Redécouverte du mois :

Deux filles au tapis (Robert Aldrich)

Prix d'interprétation masculin et féminin :

Walter Huston pour Dodsworth


Barbara Stanwyck pour Stella Dallas

[Jeremy Fox]

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[Flavia]

J'ai peut-être déjà trouvé mon film du mois de février

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Très bon choix Un rôle inattendu pour Clooney qui est parfait.

[Jeremy Fox]

J'ai peut-être déjà trouvé mon film du mois de février

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Très bon choix Un rôle inattendu pour Clooney qui est parfait.

Pléonasme.
Plus sérieusement, un de ses plus beaux rôles.

[origan42]

Walter Huston pour Dodsworth


Barbara Stanwyck pour Stella Dallas

[Hitchcock]

Walter Huston pour Dodsworth


Barbara Stanwyck pour Stella Dallas

Deux interprétations très marquantes en effet. Walter Huston interprète avec une grande force ce personnage attachant et tourmenté profondément amoureux de sa femme volage, et qui trouvera finalement le réconfort dans les bras de cette formidable femme campée par Mary Astor. Quant à Barbara Stanwyck, son jeu est d'une puissance émotionnelle peu commune, montrant parfaitement le sacrifice d'une mère, et m'ayant donné les larmes aux yeux lors de la scène finale.

[origan42]

Le mois dernier, j'ai appris à connaître toutes les facettes de Barbara Stanwyck, magistrale dans Stella Dallas, mais aussi idéale pour les comédies (Un coeur pris au piège, Boule de feu).

Mary Astor est en effet impeccable dans ce second rôle.

[Frances]

J'ai peut-être déjà trouvé mon film du mois de février

Ce fut une surprise pour moi aussi lors de sa découverte. Pas étonnée qu'il te plaise.
Voilà ce que j'en disais :

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Vu hier sans trop savoir à quoi m'attendre et assez emballée au final par la tonalité quasi désespérée du film et la prestation formidable de Clooney qui suscite notre compassion malgré son sale boulot. La beauté des paysages "ouverts" renforce la terrible solitude de l'américain en état d'alerte permanent dont la vie suspendue à un fil ne tient qu'à son instinct de survie en mode exacerbé. Le rythme du film est lent et exige un peu de temps pour s'y installer mais cette "dilatation" imposée crée une promiscuité nécessaire avec Jack/Edward. Et puis il y a des accents de tragédie dans cette existence qui semble vaine, froide comme un paysage enneigé, oppressante comme les ruelles désertes et sombres de ce village des Abruzzes, désespérément vide et solitaire. Mais un jour dans la poitrine de l'homme en sursis et désillusionné son cœur se met à battre plus fort. La promesse d'une lueur dans la nuit.

[Jeremy Fox]

Tout à fait juste ce que tu en dis

[nobody smith]

C’est simple : Huston a tout raflé ce mois-ci. Seul un excellent thriller anglais fait de peu de chose a pu se frayer une petite place au milieu.

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[Frank 'Spig' Wead]

4.

Heureux de voir ce film en si bonne compagnie entre Stella Dallas et Nous nous sommes tant aimés.

[Hitchcock]

4.

Heureux de voir ce film en si bonne compagnie entre Stella Dallas et Nous nous sommes tant aimés.

Coup de coeur pour ce Ford un peu mésestimé, que ce soit pour l'humour attachant et drôle en première partie, ou l'émotion qu'apporte les interprétations de Maureen O'Hara et Betsy Palmer dans la seconde. Le Cinémascope est magnifiquement utilisé et la vision sur grand écran a sans doute grandement participé à mon appréciation.