Re: Luc Besson
Publié : 5 avr. 18, 11:37
Je pense qu'il a marché qu'en France.1kult a écrit : Valérian : 4 040 253 entrées
Je pense qu'il a marché qu'en France.1kult a écrit : Valérian : 4 040 253 entrées
Quand je lis ça déjà je décrocheshubby a écrit : Le grand bleu
Un vrai chef d'oeuvre sur la mer ; cette destinée des 2 potes aboutit à un climax toujours aussi puissant, tutoyé un an plus tard par le Abyss de J. Cameron qui ne peut pas ne pas avoir vu ce film. Zic de Serra à tomber. 5/5
C'est l'appel du large.Jeremy Fox a écrit :Quand je lis ça déjà je décroche
Les 2 films se passent dans l'eau. A part ça, je vois pas.shubby a écrit :Le grand bleu
Un vrai chef d'oeuvre sur la mer ; cette destinée des 2 potes aboutit à un climax toujours aussi puissant, tutoyé un an plus tard par le Abyss de J. Cameron qui ne peut pas ne pas avoir vu ce film.
Flol a écrit :Les 2 films se passent dans l'eau. A part ça, je vois pas.shubby a écrit :Le grand bleu
Un vrai chef d'oeuvre sur la mer ; cette destinée des 2 potes aboutit à un climax toujours aussi puissant, tutoyé un an plus tard par le Abyss de J. Cameron qui ne peut pas ne pas avoir vu ce film.
AtCloseRange a écrit :Subway
Je n'ai vraiment de l'affection que pour 2 films de Luc Besson, Nikita et donc Subway.
Et bizarrement Subway vieillit plutôt bien malgré la musique d'Eric Serra. Mais le film serait différent sans donc elle est "indispensable". Les dialogues sont aux petits oignons et les acteurs parfaits.
C'est le film ultime de Christophe Lambert, son motorcylce Boy à lui. Difficile de croire qu'à peine 3-4 ans après il était hors du coup.
Et Adjani est magnifique à tous les points de vue. Sans parler de Galabru, Bacri, Anglade, Bohringer, Bouise, etc...
Besson a vraiment réussi à capter un certain air du temps avec un vrai talent visuel. Reste à savoir ce que peut en penser quelqu'un qui n'a pas connu cette époque
idem...j'ai eu un peu de mal cela dit à revoir "le dernier combat" que j'avais pourtant aimé à l'époque, film long et lent même s'il reste les acteurs et le sens du cadre de Besson.shubby a écrit :Because j'en ai marre du Besson bashing gratos, je me colle à la défense, Monsieur le juge !
Le dernier combat
Très beau n&b, film post apo crédible, bons acteurs, bonne ambiance & bon premier film (fauché). Fait un peu office de curiosité maintenant, mais justifie une superbe carte de visite pour la suite. 3.25/5
Subway
Mon premier kiff sur un travelling, une ambiance punk qui m'avait parlé à l'époque, un formidable Christophe Lambert, un paquet de dialogues cultes "Tu nous gonfles, avec tes tagada, tagada", une fin crève-coeur qui m'avait fait chialer & écouter en boucle "It's only mystery" par la suite... 5/5
Surtout un très bel hommage de Besson à "Piranhas 2: les tueurs volants"...shubby a écrit :Le grand bleuun climax toujours aussi puissant, tutoyé un an plus tard par le Abyss de J. Cameron qui ne peut pas ne pas avoir vu ce film.
Hé, il faut reconnaître malgré tout des passerelles entre les deux cinéastes, même génération, même volonté d’enchaîner les défis techniques/logistiques, même sens du spectacle couplé à une certaine balourdise narrative plus ou moins récurrente (je mets quiconque au défi de ne pas comprendre le propos de Terminator 2, merci la voix off empesée), sans oublier effectivement une fascination pour l'océan et la plongée. Et je ne sais pas si Cameron a étudié Le grand bleu mais c'est sûr que Besson a pris des notes en matant la version longue d'Abyss pour Le cinquième élément, c'est peut-être le cas de plagiat le plus éhonté (la même scène d'images de guerre culminant sur une explosion nucléaire mais rattrapées par un message d'amour du héros, le tout à travers le regard d'un alien pacifique, dans les deux cas le pivot et le propos du récit) que j'ai vu dans un film professionnel.Jeremy Fox a écrit :Quand je lis ça déjà je décrocheshubby a écrit : Le grand bleu
Un vrai chef d'oeuvre sur la mer ; cette destinée des 2 potes aboutit à un climax toujours aussi puissant, tutoyé un an plus tard par le Abyss de J. Cameron qui ne peut pas ne pas avoir vu ce film. Zic de Serra à tomber. 5/5
Aucun rapport entre Abyss et Le grand bleu, pour le reste Shubby a raison (cette fois).Shin Cyberlapinou a écrit :Hé, il faut reconnaître malgré tout des passerelles entre les deux cinéastes, même génération, même volonté d’enchaîner les défis techniques/logistiques, même sens du spectacle couplé à une certaine balourdise narrative plus ou moins récurrente (je mets quiconque au défi de ne pas comprendre le propos de Terminator 2, merci la voix off empesée), sans oublier effectivement une fascination pour l'océan et la plongée. Et je ne sais pas si Cameron a étudié Le grand bleu mais c'est sûr que Besson a pris des notes en matant la version longue d'Abyss pour Le cinquième élément, c'est peut-être le cas de plagiat le plus éhonté (la même scène d'images de guerre culminant sur une explosion nucléaire mais rattrapées par un message d'amour du héros, le tout à travers le regard d'un alien pacifique, dans les deux cas le pivot et le propos du récit) que j'ai vu dans un film professionnel.Jeremy Fox a écrit : Quand je lis ça déjà je décroche
Allez, chipotons: quand Bruce Willis attaque sa journée et que la mise en scène est très analogue à une scène à la fonction identique de Brazil, que ce soit de l'hommage, de la reprise inconsciente ou du plagiat scandaleux, ça reste une scène périphérique. Mais dans mon exemple il s'agit de deux scènes très voisines, utilisées de la même façon en termes dramaturgiques et dont le dénouement (l'alien comprend qu'au delà des guerres l'humain mérite le salut car capable d'amour) constitue le climax du film. J'étais sincèrement choqué quand j'ai découvert ce montage d'Abyss après Le cinquième élément, d'autant que Besson avait pondu à l'époque un storytelling façon "c'est le gros film de SF dont je rêvais depuis 20 ans", pas vraiment une série B hongkongaise vite emballée et pas regardante sur le droit d'auteur. Ca a été le début de ma grosse méfiance envers Besson, ensuite pris comme un actioner SF concon et criard pour une soirée bière pizza ça fait effectivement le boulot.Supfiction a écrit :Effectivement, il y a ce même passage avec images de guerre vu par un alien dans Abyss et Le cinquième élément. Même si Besson s’en était inspiré, ce n’est qu’un passage. Et Le cinquième élément reste un film très fun (qui vieillit bien) sans tomber dans le tout n’importe quoi.
Pas faux. De bonne guerre, car Abyss avait (je développe) piqué au Grand Bleu cet homme qui se laisse volontairement couler vers le fond, ce en mode lacrymal efficace ds les 2 cas. Un sacrifice d'un côté, un suicide de l'autre.Shin Cyberlapinou a écrit :Allez, chipotons: quand Bruce Willis attaque sa journée et que la mise en scène est très analogue à une scène à la fonction identique de Brazil, que ce soit de l'hommage, de la reprise inconsciente ou du plagiat scandaleux, ça reste une scène périphérique. Mais dans mon exemple il s'agit de deux scènes très voisines, utilisées de la même façon en termes dramaturgiques et dont le dénouement (l'alien comprend qu'au delà des guerres l'humain mérite le salut car capable d'amour) constitue le climax du film. J'étais sincèrement choqué quand j'ai découvert ce montage d'Abyss après Le cinquième élémentSupfiction a écrit :Effectivement, il y a ce même passage avec images de guerre vu par un alien dans Abyss et Le cinquième élément. Même si Besson s’en était inspiré, ce n’est qu’un passage. Et Le cinquième élément reste un film très fun (qui vieillit bien) sans tomber dans le tout n’importe quoi.
En 2013, la rémunération perçue par Luc Besson en tant qu'auteur-réalisateur d'un film avait été plafonnée: elle devait être inférieure au bénéfice opérationnel d'EuropaCorp. Mais, depuis l'exercice clos fin mars 16, ce résultat opérationnel est dans le rouge. Autrement dit, le plafond est lui aussi devenu négatif... ce qui aurait réduit à zéro cette rémunération. En juin 2017, Luc Besson a donc obtenu que ce plafond soit supprimé.
Tu dis ça mais en fait avoue que tu aimerais le même tatoo :Thaddeus a écrit : Léon
S’il ne fallait qualifier qu’un seul film au monde de poubelle nauséeuse, alors peut-être choisirais-je celui-ci. Le pire n’est pas encore constitué par les penchants stylistiques les plus horripilants de Besson, par ces plans m’as-tu vu en recherche constante de performance, par ces filtres esthétisants d’une insondable vulgarité. Il ne tient pas non plus à cette pseudo-poésie de maternelle qui fait s’attendrir sur un tueur neuneu et trop gentil (la preuve, il épargne femmes et enfants), dont le seul ami est une plante verte. Il réside dans l’irresponsabilité crasse consistant à rendre jolie l’ultraviolence, à montrer avec empathie et la plus abjecte complaisance un homme initier une gamine à la vengeance et au meurtre, et le justifier parce que les salauds en ce bas monde sont pléthoriques. Totalement gerbant. 0/6
Si je ne connaissais pas le film, je te croirai sur parole car tu le critiques avec talent. Et pourtant, j’ai toujours aimé (même adoré à une époque) ce film. Moi qui déteste pourtant la violence même au cinéma. Soit je suis un total paradoxe soit il y a bien autre chose que ce que tu décris dans ce film qui tu souvent du muet et dont la musique est primordiale.Thaddeus a écrit : Léon
S’il ne fallait qualifier qu’un seul film au monde de poubelle nauséeuse, alors peut-être choisirais-je celui-ci. Le pire n’est pas encore constitué par les penchants stylistiques les plus horripilants de Besson, par ces plans m’as-tu vu en recherche constante de performance, par ces filtres esthétisants d’une insondable vulgarité. Il ne tient pas non plus à cette pseudo-poésie de maternelle qui fait s’attendrir sur un tueur neuneu et trop gentil (la preuve, il épargne femmes et enfants), dont le seul ami est une plante verte. Il réside dans l’irresponsabilité crasse consistant à rendre jolie l’ultraviolence, à montrer avec empathie et la plus abjecte complaisance un homme initier une gamine à la vengeance et au meurtre, et le justifier parce que les salauds en ce bas monde sont pléthoriques. Totalement gerbant. 0/6