Publié : 31 août 06, 23:40
Bon là moi je dis, il te faudra bien lire la chronique publiée sur le site pour changer d'avis
Je ne demande pas mieux... D'autant que j'attends avec impatience cette chronique pour voir si je peux me jeter sur le coffret. Mais j'ai un peu peur que cette chronique ne transpire trop le féminisme... surtout si écrite par une femme...Jack Sullivan a écrit :Bon là moi je dis, il te faudra bien lire la chronique publiée sur le site pour changer d'avis
Je ne crois pas que toute femme soit féministe, ni que Gertrud se prête nécessairement à une lecture féministe. Par ailleurs j'ignore si le film sera chroniqué par une femme Che sera sera...gnome a écrit :Mais j'ai un peu peur que cette chronique ne transpire trop le féminisme... surtout si écrite par une femme...
On va dire, parti pris feminin si pas féministe...Jack Sullivan a écrit :Je ne crois pas que toute femme soit féministe, ni que Gertrud se prête nécessairement à une lecture féministe. Par ailleurs j'ignore si le film sera chroniqué par une femme Che sera sera...gnome a écrit :Mais j'ai un peu peur que cette chronique ne transpire trop le féminisme... surtout si écrite par une femme...
Oui moi aussignome a écrit : On va dire, parti pris feminin si pas féministe...
J'attends la chronique en tout cas...
D'accord avec toi, je suis un peu réducteur (beaucoup?)...Jack Sullivan a écrit :Oui moi aussignome a écrit : On va dire, parti pris feminin si pas féministe...
J'attends la chronique en tout cas...
Mais encore une fois, c'est toi qui est de parti-pris si tu penses qu'une femme va nécessairement, parce qu'elle est une femme, prendre fait et cause pour Gertrud. Ce n'est pas une condition nécessaire pour aimer le film, et ce serait comme de dire que tu ne peux comprendre Rambo que si et seulement si tu es un gros bourrin. J'ose croire que les gens ne marchent pas uniquement par réflexe corporatiste ou clanique.
N'est-ce pas? enfin maintenant le défi de la chronique c'est de convaincre aussi Mme gnomette, y'a du boulotgnome a écrit : Mon épouse a eu du mal avec Gertrud aussi (mais elle l'a regardé d'un seul oeil...). Comme quoi...
On sait jamais, c'est vrai que son avatar aime bien l'eye-liner, ça peut induire en erreurgnome a écrit : Puis je crois savoir que Sergius Karamzin est un fan du film et je ne le crois pas de sexe féminin (mais je peux me tromper... )...
Tu l'as dit... Elle risque d'être plus dure à convaincre que moi... A un point que quand j'ai voulu lui montrer un film il y a deux jours, elle m'a dit... OK, mais pas un truc comme Gertrud aujourd'hui...Jack Sullivan a écrit :N'est-ce pas? enfin maintenant le défi de la chronique c'est de convaincre aussi Mme gnomette, y'a du boulotgnome a écrit : Mon épouse a eu du mal avec Gertrud aussi (mais elle l'a regardé d'un seul oeil...). Comme quoi...
Oh, c'est pour bientôt depuis pas mal de temps. Ca va sûrement pas tarder, le Coefficient Neary de Retard Extrême est presque à pointgnome a écrit : Au fait...c'est pour quand la chronique?
Continue comme ça et j'écris un article sur Almodovar avec le "style Philippe Garnier" de Libé...Jack Sullivan a écrit :Ca va sûrement pas tarder, le Coefficient Neary de Retard Extrême est presque à point
C'est pas un naphtaaaaaaa!Roy Neary a écrit : Continue comme ça et j'écris un article sur Almodovar avec le "style Philippe Garnier" de Libé...
C'est vrai que Lang, Murnau, Chaplin et Griffith, pour ne citer qu'eux, s'étaient royalement tourné les pouces jusque-là.Watkinssien a écrit :Je viens de revoir La passion de Jeanne d'Arc (1928).
Monumental et subtil, ce film est une sorte d'apothéose de l'art muet, puisque avec l'utilisation époustouflante du gros plan, Dreyer appella en quelque sorte le cinéma parlant.
Fulgurant et puissant.
Bien sûr, d'ailleurs tous les noms que tu cites ne m'évoques rien du tout.Jack Sullivan a écrit :C'est vrai que Lang, Murnau, Chaplin et Griffith, pour ne citer qu'eux, s'étaient royalement tourné les pouces jusque-là.Watkinssien a écrit :Je viens de revoir La passion de Jeanne d'Arc (1928).
Monumental et subtil, ce film est une sorte d'apothéose de l'art muet, puisque avec l'utilisation époustouflante du gros plan, Dreyer appella en quelque sorte le cinéma parlant.
Fulgurant et puissant.