Y'a quand même un arrière gout de "Ministry of Truth" qui me gêne dans tout ca.Flol a écrit : ↑26 août 20, 14:23 C'est tout à fait ça.
Même si on est clairement dans le mouvement d'aseptisation culturelle et de contrition générale lié à Black Lives Matter, dans le cas précis cette décision de changement de titre ne me choque pas plus que ça. Et je comprendrais encore plus que l'on arrête d'utiliser ce terme dans sa définition littéraire, d'autant plus qu'il existe des équivalents bien plus classieux (prête-plume, par exemple).
Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
La décision prise par l'arrière-petit-fils d'Agatha Christie n’est-elle pas tout simplement et avant tout commerciale ? Puisque si je comprends bien, tout part du retrait de la vente du livre par Amazon probablement suite à des demandes/pressions.
Ce qui au delà de cette petite affaire, illustre quelque peu la dépendance croissante (entre les plateformes, amazon et les réseaux sociaux) envers les usa.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Apparemment, ce serait désormais "tête de choco" ou "tête au chocolat".Alexandre Angel a écrit : ↑26 août 20, 14:39 On en est où avec la fameuse "tête de nègre" dont je raffolais en pâtisserie ? Il me semble qu'on lui a réglé son compte mais je n'en suis pas sûr. Et si oui, y a-t-il une appellation de remplacement?
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Comme l'affaire Gone with the Wind de cet été. C'est pas les majors qui se sont soudain découvert une conscience...Supfiction a écrit : ↑26 août 20, 15:01 La décision prise par l'arrière-petit-fils d'Agatha Christie n’est-elle pas tout simplement et avant tout commerciale ?

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Une conscience sociale, non. Une conscience commerciale, à la rigueur. Une pétoche toute bête, sans aucun doute.harry a écrit : ↑26 août 20, 15:05Comme l'affaire Gone with the Wind de cet été. C'est pas les majors qui se sont soudain découvert une conscience...Supfiction a écrit : ↑26 août 20, 15:01 La décision prise par l'arrière-petit-fils d'Agatha Christie n’est-elle pas tout simplement et avant tout commerciale ?
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Boule meringuée chocolat, par chez moi...Flol a écrit : ↑26 août 20, 15:03Apparemment, ce serait désormais "tête de choco" ou "tête au chocolat".Alexandre Angel a écrit : ↑26 août 20, 14:39 On en est où avec la fameuse "tête de nègre" dont je raffolais en pâtisserie ? Il me semble qu'on lui a réglé son compte mais je n'en suis pas sûr. Et si oui, y a-t-il une appellation de remplacement?
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Merci!
Mon premier souvenir d'une décision-geste de contrition franco-française. A l'époque (c'est pas très vieux), je ne m'étais pas alarmé outre-mesure. Je pouvais comprendre (sans acquiescer non plus).
Mais c'est quand est sorti le coffret Tex Avery expurgé de ses blackfaces que j'ai commencé à me dire que ça craignait du boudin.
Tout à faitYaplusdsaumon a écrit : ↑26 août 20, 15:09 Une conscience sociale, non. Une conscience commerciale, à la rigueur. Une pétoche toute bête, sans aucun doute.
Dernière modification par Alexandre Angel le 26 août 20, 15:40, modifié 1 fois.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Pour revenir à l’origine du topic, vous ne trouvez pas qu’il y a beaucoup moins de femmes nues dans le cinéma actuel ? En particulier dans le cinéma français qui en était friand dans les années 70-80 et beaucoup moins maintenant (si l’on oublie Kechiche). C’est flagrant quand on compare les jeunes actrices actuelles avec celles de l’époque.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
En 2003 donc.Alexandre Angel a écrit : ↑26 août 20, 15:38 Mon premier souvenir d'une décision-geste de contrition franco-française. A l'époque (c'est pas très vieux), je ne m'étais pas alarmé outre-mesure. Je pouvais comprendre (sans acquiescer non plus).
Mais c'est quand est sorti le coffret Tex Avery expurgé de ses blackfaces que j'ai commencé à me dire que ça craignait du boudin.
Warner Archive a sorti un premier volume Tex Avery en Blu-ray en début d'année, où ces plans ont été (enfin) réintégrés.
Pas sûr qu'ils se pressent à sortir le Volume 2...

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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Ça rejoint une réflexion qu'on s'était faite récemment avec 7swans : est-ce qu'il existe encore des actrices considérées actuellement comme des sex symbols ? Des actrices que l'on se plait à sexualiser, quitte à faire parfois dans l'excès, mais de celles qui peuvent orner une cabine de chauffeur routier ou des vestiaires de foot.Supfiction a écrit : ↑26 août 20, 15:47 Pour revenir à l’origine du topic, vous ne trouvez pas qu’il y a beaucoup moins de femmes nues dans le cinéma actuel ? En particulier dans le cinéma français qui en était friand dans les années 70-80 et beaucoup moins maintenant (si l’on oublie Kechiche). C’est flagrant quand on compare les jeunes actrices actuelles avec celles de l’époque.
Parce qu'on a eu finalement bien du mal à en trouver.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Il y a plein de jolies femmes (lyna khoudri par exemple) mais des sex-symboles effectivement pratiquement plus.
Là de tête comme ça, je pense aux soeurs Casta qui sont parmi les seules à n’avoir aucun problème à utiliser leur corps.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Qui ça ?
Le fait que je ne sache même pas qui sont ces personnes tend à me confirmer que des superstars/sex symbols, ça n'existe quasiment plus.
La dernière, c'est qui ? Megan Fox peut-être ?
Le fait que je ne sache même pas qui sont ces personnes tend à me confirmer que des superstars/sex symbols, ça n'existe quasiment plus.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Bon ok, il te faut de l’Hollywoodien. Dans ce cas, les deux dernières sont Margot Robbie et avant ça Scarlett Johansson.
Mais de toutes façons, il n’y a déjà presque plus de « superstars » tout court.
Pour rappel :
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 7#p2457677
Mais de toutes façons, il n’y a déjà presque plus de « superstars » tout court.
Pour rappel :
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 7#p2457677