Dvdclassik : cinéma et DVD

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Eephus, le dernier tour de piste
Le Quatrième mur
Le Jardin zen
La Fabrique du mensonge (Goebbels and the Führer)
When the Light Breaks
La Cache
Lumière, l’aventure continue
Un pincement au cœur
Bergers

Dunn a écrit : ↑13 avr. 25, 15:10

Rockatansky a écrit : ↑12 avr. 25, 12:28 On voit ceux qui vont au cinéma

ça se mérite vu la programmation depuis le début d'année

Spongebob a écrit : ↑14 avr. 25, 11:08 Plus de trois semaines que je n'y suis pas allé. Rien ne me donne vraiment envie. Alors que j'ai la carte en plus !

Spongebob a écrit : ↑14 avr. 25, 11:08

Dunn a écrit : ↑13 avr. 25, 15:10

ça se mérite vu la programmation depuis le début d'année

Plus de trois semaines que je n'y suis pas allé. Rien ne me donne vraiment envie. Alors que j'ai la carte en plus !

tchi-tcha a écrit : ↑14 avr. 25, 23:45

Spongebob a écrit : ↑14 avr. 25, 11:08 Plus de trois semaines que je n'y suis pas allé. Rien ne me donne vraiment envie. Alors que j'ai la carte en plus !

Pourtant, les bons films c'est pas ce qui manque pour les vrais ! cinéphiles !
La preuve :

The Amateur (James Hawkes) 4/10
(Chaque mimique de Rami Malek nous rappelle qu'il est un homme ordinaire lancé dans une croisade vengeresse pour retrouver les assassins de sa femme. Sauf qu'il s'avère aussi costaud qu'un vrai professionnel au fur et à mesure que le récit devient un banal film d'espionnage aux grosses ficelles mal ficelées et aux scènes d'action sans élan. Bof bof...)

The Brutalist (Bradley Corbet) 4,5/10
(C'est donc ça, le fameux grand film ? Il suffit donc de filmer en VistaVision, de coller un accent ridicule à Adrien Brody (quand il s'énerve au volant vers la fin, c'est magique) et de faire durer la chose 3h30 entracte compris pour accoucher d'un chef d'œuvre ? La conclusion est édifiante : "l'important ce n'est pas le voyage, c'est la destination." Comprendre : c'est l'explication de texte sur le travail de l'architecte qui compte, pas les trois heures qui précèdent durant lesquelles on est complètement passé à côté de l'homme décrit par sa petite-nièce. Beaucoup d'ambition, des beautés certaines (les carrières de Toscane), pas d'ennui sur la durée, mais un goût de PTA indé-fauché qui aura eu du mal à me convaincre qu'il est aussi génial qu'il pense l'être.)

In the Lost Lands (Paul W.S. Anderson) 3/10
(Un récit de l'auteur de Game of Thrones passé à travers un filtre Mad Max : Fury Road roumain fauché avec la prétention de s'élever au rang d'un western mythologique. Pour un moment nanar (les méchants qui se protègent du regard de la sorcière avec des lunettes de soleil - pas con), tout ça se prend hélas beaucoup trop au sérieux pour être amusant.)

The Insider (Steven Soderbergh) 5/10
(Un scénario qui exhibe sa sophistication et son intelligence, tout fier de lui, au croisement d'un Ocean's Eleven et d'un Hors d'atteinte saupoudrés de Sexe mensonges et vidéo parce qu'on est dans un film cérébral et glacé. Ennui poli devant cet exercice de style aussi vain que voyant.)

Piégé (David Yarovesky) 2/10
(Un petit voyou piégé dans une voiture Tesla dernier cri par un vieux trumpiste délirant. Jamais ce postulat ne cherche à être crédible une seule seconde, le réalisateur s'agite pour empêcher qu'on s'ennuie mais perd toute tension en route, c'est gratuitement sadique et idéologiquement douteux, et le cabotinage pleine charge d'Anthony Hopkins est une torture absolue. Bref, j'ai pas trop aimé.)


Et il m'en reste encore plein d'autres à déstocker !