Dvdclassik : cinéma et DVD

Commissaire Juve a écrit : ↑17 mai 25, 02:57 J'ai découvert ça tout à l'heure sur DVDfr.com... incroyable !
Incroyable qu'un éditeur de chez nous prenne le risque d'éditer ces films !

J'en ai trois sur les quatre en DVD (éditions suédoises et US des années 2006-2008).
Je n'ai plus trop le temps de regarder des films, mais je vais sans doute me l'offrir.

Et voilà... commandé ! J'ai même désactivé le bloqueur de pubs
pour cliquer sur le lien Amazon du forum.

Commissaire Juve a écrit : ↑17 mai 25, 02:57 Je n'ai plus trop le temps de regarder des films, mais je vais sans doute me l'offrir.

Je pourrais même ajouter que les films ne m'avaient pas plus emballé que ça !
L'image DVD de "Les Amoureux" était tout à fait potable, celle de "Les Filles" était "space"
(mais c'était peut-être un choix de réalisation) et celle de "Jeux de nuit" n'était pas fantastique.

Quant à "Amorosa", jamais vu.

Bref : achat compulsif. Pour voir ce que ça donne en HD.

Ah donc tu les verras un jour ca me rassure

J'ajoute... Que c'est peut-être en voyant Bibi Andersson sur la jaquette que j'ai eu envie de passer à la caisse ! Un coup de nostalgie ! (bien joué, l'éditeur)

Je n'avais pas fait attention, mais c'est fort sympathique (et va me permettre de me défausser de mes éditions britanniques) : l'upgrade 4K de Dragon Inn & A Touch of Zen ne se contente pas de reprendre les bonus déjà proposés par Carlotta à l'époque, mais y ajoute un nouveau bonus vidéo (un nouvel entretien entre le critique de cinéma Steven Tu et l’acteur Shih Chun), et surtout un livret de 80 pages qui est en fait principalement une traduction des livrets proposés par Eureka / Masters of Cinema au Royaume-Uni. Par ailleurs, le documentaire de Hubert Niogret sur King Hu, exclusif au coffret BR des 2 films et auparavant sur un DVD dédié, est repris sur l'UHD de Dragon Inn.

La question est : est-ce que ça vaut le coup de repasser en caisse si on a déjà le précédent coffret blu-ray ?
Car j'ai l'impression qu'il s'agit des mêmes masters 4k... A moins que Carlotta a corrigé l'étalonnage "signature" (mais j'y crois pas des masses)

Ce sont les mêmes masters 4K de base, mais je ne sais pas encore si des "color-corrections" ont été effectuées, comme Dragon Inn a pu en recevoir en Chine chez Disk Kino. Carlotta sont cependant peu coutumiers du fait, et généralement éditent les masters tels quels (comme ce fut le cas pour les Stanley Kwan par exemple).

Murielle Joudet parle du seul et unique documentaire de Manuela Serra sur une communauté rural au Portugal pendant la révolution des œillets. Si c'est du genre œil et regard documentaire comme la 1ère heure de l'Arbre au Sabots, je suis capable de l'acheter direct.

https://www.lemonde.fr/culture/article/ ... _3246.html

Jeremy Fox a écrit : ↑12 mai 25, 20:58

Jack Carter a écrit : ↑12 mai 25, 20:52 Joker
Sublime melo pour ma part (une de mes principales decouvertes naphtas en 2024)

Oui j'avais vu ça
J'y crois en tout cas. Ça me fait penser au cinéma japonais que j'adore.

Avec du retard
Je pense tout de même que ton intuition ne te trompe pas.
D'autant que ce Yoshimura, comme Les papillons de la nuit l'année suivante (les deux films forment une sorte de diptyque avec pour toile de fond l'adaptation parfois conflictuelle de femmes professionnellement ancrées dans la tradition aux mutations sociétales de l'époque) est écrit par Sumie Tanaka en lieu et place de Kaneto Shindô, son collaborateur quasi attitré. Au vu de ton appréciation du cinéma de Naruse et de ta réception très favorable de Maternité éternelle et La nuit des femmes, et sachant que le beau polissage plastique ne tire en rien l'œuvre vers un formalisme dont tu es peu friand, tous les astres semblent ici alignés pour prévenir la déconvenue.

Beule a écrit : ↑28 mai 25, 13:19 un formalisme dont tu es peu friand

Ok pour le reste mais un certain formalisme n'est pas forcément pour me déplaire. Sinon je ne serais pas adorateur de Minnelli par exemple
A moins ne pas t'avoir compris à ce propos.

Pour faire simple, je dirai que l'indéniable attention portée à la splendeur plastique, via la couleur en particulier puisqu'il est ici question de teinture, tire vers l'art d'un Minnelli plus qu'elle n'évoque les recherches formelles d'un Mizoguchi, par exemple.

Beule a écrit : ↑28 mai 25, 13:53 Pour faire simple, je dirai que l'indéniable attention portée à la splendeur plastique, via la couleur en particulier puisqu'il est ici question de teinture, tire vers l'art d'un Minnelli plus qu'elle n'évoque les recherches formelles d'un Mizoguchi, par exemple.

Noté : je trouvais justement magnifiques les images vues dans la bande-annonce. Et le film m'attirait ainsi encore plus. Bref, 99% de chances pour que ça me plaise

Voilà, c'est histoire d'affinités électives ressenties. Quoi que je puisse en penser (le plus grand bien) je ne te conseillerais pas Le bal de la famille Anjo, La belle et le dragon ou même La poupée brisée les yeux fermés. Celui-ci, ben... presque

Pour avoir adoré Riviere de nuit et La Poupée Brisée, voila un realisateur dont j'aimerai decouvrir d'autres films...