Dvdclassik : cinéma et DVD

Fanon : 5,5/10

Black dog (Guan Hu) : 6/10

Ce n'est qu'un au revoir 5/10
Un pincement au cœur 6/10
Deux sœurs 5/10

Flol a écrit : ↑4 avr. 25, 21:54

ballantrae a écrit : ↑4 avr. 25, 19:46 J'apprécie Lindon mais là c'était un peu trop autocentré pour m'emballer

C’est-à-dire qu’il s’agit à la base d’un autoportrait de Lindon. Donc évidemment que c’est autocentré, c’est intrinsèque à la nature même du projet.

J'ai bien compris que c'est un autoportrait mais quand je dis qu'il est autocentré c'est une critique que je ne n'adresserai pas à Moretti par exemple dans Journal intime qui parle d'un rapport au monde et aux autres avec pas mal de générosité, d'autodérision et d'invention. Trois éléments dont le projet de Lindon est dépourvu, tombant dans les affres de l'autofiction.
Et j'aurais pu aller plus loin en évoquant Fellini mais là ce serait plus cruel encore et disproportionné.
Pacino dans Looking for Richard fait un autoportrait mais parle d'abord de sa passion du jeu.
Ici Lindon parle de Lindon, un peu aussi de Lindon... avec un soupçon de Lindon.
Et encore une fois, je précise que j'apprécie Lindon comme acteur mais là, c'est un peu trop...

Journal intime reste une fiction, le film de Lindon un documentaire

The Insider 5.5/10

Mise à jour du classement

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Il leur manque une note...

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Eephus, le dernier tour de piste
Le Quatrième mur
Le Jardin zen
La Fabrique du mensonge (Goebbels and the Führer)
When the Light Breaks
La Cache

Novocaine = 4/10.

Je suis Toujours là (Ainda Estou Aqui) de Walter Salles 6/10

Objectivement, je reconnais de par son histoire (vraie) que c'est un très beau Film, dominé notamment par l'interprétation exceptionnelle de Fernanda Torres.
Cependant, l'Oeuvre de Walter Salles n'a pas "matché" avec moi comme je l'aurais souhaité. A dire vrai, je m'y suis assez souvent ennuyé.
Le parti pris du réalisateur reposant exclusivement sur le point de vue de l'actrice principale et de ses enfants, je reste frustré de ne pas avoir pu assister

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à un descriptif plus réaliste de la réhabilitation du défunt mari d'Eunice Facciolla Paiva. Ce travail, que j'imagine colossal, n'est en rien décrit ici et l'acte de décès arrive et tombe subitement comme un cheveu sur la soupe et, de ce fait, laisse malheureusement dans l'ombre le chemin long et difficile de cette femme forte et courageuse. La durée du Film aurait, pourtant, pu permettre l'intégration de cette partie essentielle rendant un véritable hommage à l'oublié Rubens Paiva

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Chime de Kurosawa Kiyoshi 6/10
Cloud de Kurosawa Kiyoshi 3/10

Chime de Kurosawa Kiyoshi 6/10

Chime : 8/10

Jeunesse : les tournents (Wang Bing) : 9/10
- Je viens de sortir de la salle, le soleil brule ma rétine. Je viens de faire un voyage au bout de l'enfer. C'est le cauchemar. Et c'est au plus brut du brut du réel. Juste WOW. C'est comme si le mot dignité avait complètement disparu de notre langage. La structure de Wang Bing est toujours parfaite, elle fait copier/collé au premier Jeunesse sauf que là, c'est le cœur des négociations entre les jeunes travailleurs et travailleuses et ses patrons, et c'est en enfer. Celui-là il restera graver dans ma tête longtemps (plus que le premier).