Les films d'horreur
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- Colqhoun
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Abandonnnée de Nacho cerda
Bon pour la prochaine fois il faudra un scénario qui se tienne vraiment car malgré la maitrise impressionnante de Cerda on s'ennuie ferme pendant la majeur partie du film. La mise en place est particulièrement laborieuse, après avoir traversé la maison délabrée 10 fois, un coup au ralenti, l'autre à vitesse normale, un coup en plein jour, l'autre dans l'obscurité en croisant les même spectres on manque de piquer du nez. La dernière partie relève largement le niveau scènes angoissante savament distillée, réalisation impressionnante (la maison qui revient à son etat de 1966 superbe scène, Nikolaï se faisant dévorer par les loups) où la noirceur du drame familial et le machiavelisme du piège se revèle dans toute sa splendeur. Avec une vraie histoire bien écrite Cerda devrait faire des ravages pour l'instant à moitié réussi (ou raté). 3/6 pour la dernière demi heure.
Bon pour la prochaine fois il faudra un scénario qui se tienne vraiment car malgré la maitrise impressionnante de Cerda on s'ennuie ferme pendant la majeur partie du film. La mise en place est particulièrement laborieuse, après avoir traversé la maison délabrée 10 fois, un coup au ralenti, l'autre à vitesse normale, un coup en plein jour, l'autre dans l'obscurité en croisant les même spectres on manque de piquer du nez. La dernière partie relève largement le niveau scènes angoissante savament distillée, réalisation impressionnante (la maison qui revient à son etat de 1966 superbe scène, Nikolaï se faisant dévorer par les loups) où la noirceur du drame familial et le machiavelisme du piège se revèle dans toute sa splendeur. Avec une vraie histoire bien écrite Cerda devrait faire des ravages pour l'instant à moitié réussi (ou raté). 3/6 pour la dernière demi heure.
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2001 Maniacs || Tim Sullivan
Ouhlala, le joli film complètement foiré que voilà.
Pourtant ça s'annonçait bien. Des jeunes cons chez des rednecks cannibales tous plus allumés les uns que les autres avec Robert -Freddy- Englund en grand patron. Mais en fait non. Vas-y que ça veut jouer au film gore et rigolard alors qu'en fait ça perd son temps dans plein de scènes qui servent à rien et que lorsque ça charcle un peu, y sont pas foutus de nous montrer cette barbaque correctement (ou alors si peu). Les idées sont sympas, c'est sur. Entre le coup de la cloche, des chevaux, du pieu dans le cul, de la presse à coton, etc... mais tout est tellement mal exploité que ça finit par devenir gonflant. Bon, y a des passages plutôt marrants (la gamine qui presse le rat, le type avec son mouton, etc..) mais en fait, une fois passée le début et que l'on réalise gentiment que jamais ça ne va décoler, on commence à sérieusement compter les minutes. Et vas-y que je t'enfonce le clou avec cette fin méga minable à coup de vieux twist pourri et de machins fantastiques qu'ont rien à foutre là (c'est quoi cette meuf et ses dents en fer là ???). Reste l'ultime scène, prévisible mais rigolote.
Donc 2001 Maniacs, c'est un peu l'arnaque. On nous le vend comme une comédie méga gore et tout et tout alors que non, Sullivan et ses potes font n'importe quoi (Eli Roth à la production, ça ne m'étonne pas, la fin du film est autant moisie que celle de Cabin Fever) et si on sourit à quelques reprises, c'est pas franchement suffisant pour passer un bon moment.
Ouhlala, le joli film complètement foiré que voilà.
Pourtant ça s'annonçait bien. Des jeunes cons chez des rednecks cannibales tous plus allumés les uns que les autres avec Robert -Freddy- Englund en grand patron. Mais en fait non. Vas-y que ça veut jouer au film gore et rigolard alors qu'en fait ça perd son temps dans plein de scènes qui servent à rien et que lorsque ça charcle un peu, y sont pas foutus de nous montrer cette barbaque correctement (ou alors si peu). Les idées sont sympas, c'est sur. Entre le coup de la cloche, des chevaux, du pieu dans le cul, de la presse à coton, etc... mais tout est tellement mal exploité que ça finit par devenir gonflant. Bon, y a des passages plutôt marrants (la gamine qui presse le rat, le type avec son mouton, etc..) mais en fait, une fois passée le début et que l'on réalise gentiment que jamais ça ne va décoler, on commence à sérieusement compter les minutes. Et vas-y que je t'enfonce le clou avec cette fin méga minable à coup de vieux twist pourri et de machins fantastiques qu'ont rien à foutre là (c'est quoi cette meuf et ses dents en fer là ???). Reste l'ultime scène, prévisible mais rigolote.
Donc 2001 Maniacs, c'est un peu l'arnaque. On nous le vend comme une comédie méga gore et tout et tout alors que non, Sullivan et ses potes font n'importe quoi (Eli Roth à la production, ça ne m'étonne pas, la fin du film est autant moisie que celle de Cabin Fever) et si on sourit à quelques reprises, c'est pas franchement suffisant pour passer un bon moment.
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2001 Maniacs se regarde sans déplaisir pour ma part.
Un petit film d'horreur bricolé, tantôt maladroit tantôt abouti, avec des effets de maquillage pas trop mal comme l'écartelage par les chevaux, des nanas sexy, un peu de gore, mais surtout un humour qui passe ou qui casse, incarné cela dit par un Robert Englund, accent texan en prime, jubilant comme un vrai gamin.
Un film de potaches, qui ne fait pas peur, pas un seul frisson, et qui se veut avant tout comédie gentiment horrifique. La scène de la fille aux dents de fer m'a beaucoup plu perso.
Un petit film d'horreur bricolé, tantôt maladroit tantôt abouti, avec des effets de maquillage pas trop mal comme l'écartelage par les chevaux, des nanas sexy, un peu de gore, mais surtout un humour qui passe ou qui casse, incarné cela dit par un Robert Englund, accent texan en prime, jubilant comme un vrai gamin.
Un film de potaches, qui ne fait pas peur, pas un seul frisson, et qui se veut avant tout comédie gentiment horrifique. La scène de la fille aux dents de fer m'a beaucoup plu perso.
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Oui, oui c'est pour ca que je la cite, car j'ai tout oublié de ce film dispensable.MJ a écrit :Hu, hu, on la citait déjà dans Opération Frisson.ARAGORN elessar a écrit :Quand meme, y a de la réplique : " Un jour j'ai voulu faire confiance à un pet : je me suis chier dessus "


Si la vie réelle est un chaos, en revanche une terrible logique gouverne l'imagination.
Ôtez le mensonge vital à un homme moyen, vous lui ôtez le bonheur, du même élan.
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