Dvdclassik : cinéma et DVD

Black Bag (Steven Soderbergh) : 7/10

Classe et léger mais ça ne m'a guère passionné (mais je remonte ma note après réflexion).

Vermiglione : 6,5/10

Dommage qu'il y ait cette petite austérité qui plombe l'élan de ce joli film.

Vic Vega a écrit : ↑1 avr. 25, 11:13 Veera Dheera Sooran part two de S.U. Arun Kumar 5/10

Ah, j'ai peut être bien fait de ne pas y aller... Un petit avis en quelques mots ?

Sinon :

A BICYCLETTE ! : 6/10
C’est rarissime que j’aille voir en salle un film sorti depuis plus d’un mois. Si je ne l’ai pas vu au cours de ses deux premières semaines, c’est que j’ai manqué de motivation, et le turnover présent dans les cinémas contribue à voir en priorité les dernières nouveautés. Bref, en l’occurrence j’ai eu ces dernières un faisceau de recommandations (ce topic, une collègue et un article dans le Première de mars) qui m’ont particulièrement motivé pour bouger mes fesses.
Hélas cela a dû créer des attentes chez moi qui n’ont pas été remplies : je n’ai trouvé le film ni hilarant (malgré quelques moments sympathiques) ni très émouvant. J’ai notamment eu du mal avec cette frontière poreuse entre le documentaire et la fiction, faisant que certaines scènes étaient trop invraisemblables pour être réelles. J’ai tout de même ressenti de la compassion pour ce père en deuil et les efforts accomplis par ces deux hommes pour réussir à le surmonter.

NOVOCAÏNE : 7,5/10
Ok le pitch est un brin débile, mais il m’a paru assez attrayant pour me décider à voir le film en salle. Et le résultat fut totalement à la hauteur de mes attentes : ça ne volait pas haut sur le plan scénaristique mais les scènes de baston sont HYPER funs et de plus en plus gores !! Jack Quaid est parfait dans ce rôle de Monsieur Tout le Monde qui se révèle dans un moment d’extrême tension, et depuis « Legion » j’aime beaucoup Amber Midthunder (sans compter « Prey » dans lequel elle était géniale). Qui dit bastons funs & gore dit humour noir à flots, j’ai beaucoup ri pendant ces scènes ! En bref une petite sucrerie parfaitement à mon goût !

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 10:17
A BICYCLETTE ! : 6/10
C’est rarissime que j’aille voir en salle un film sorti depuis plus d’un mois. Si je ne l’ai pas vu au cours de ses deux premières semaines, c’est que j’ai manqué de motivation, et le turnover présent dans les cinémas contribue à voir en priorité les dernières nouveautés. Bref, en l’occurrence j’ai eu ces dernières un faisceau de recommandations (ce topic, une collègue et un article dans le Première de mars) qui m’ont particulièrement motivé pour bouger mes fesses.
Hélas cela a dû créer des attentes chez moi qui n’ont pas été remplies : je n’ai trouvé le film ni hilarant (malgré quelques moments sympathiques) ni très émouvant. J’ai notamment eu du mal avec cette frontière poreuse entre le documentaire et la fiction, faisant que certaines scènes étaient trop invraisemblables pour être réelles. J’ai tout de même ressenti de la compassion pour ce père en deuil et les efforts accomplis par ces deux hommes pour réussir à le surmonter.

Il n'y a pas de fiction dans le film

Tardes de Soledad 9/10

Rockatansky a écrit : ↑2 avr. 25, 11:36

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 10:17
A BICYCLETTE ! : 6/10
C’est rarissime que j’aille voir en salle un film sorti depuis plus d’un mois. Si je ne l’ai pas vu au cours de ses deux premières semaines, c’est que j’ai manqué de motivation, et le turnover présent dans les cinémas contribue à voir en priorité les dernières nouveautés. Bref, en l’occurrence j’ai eu ces dernières un faisceau de recommandations (ce topic, une collègue et un article dans le Première de mars) qui m’ont particulièrement motivé pour bouger mes fesses.
Hélas cela a dû créer des attentes chez moi qui n’ont pas été remplies : je n’ai trouvé le film ni hilarant (malgré quelques moments sympathiques) ni très émouvant. J’ai notamment eu du mal avec cette frontière poreuse entre le documentaire et la fiction, faisant que certaines scènes étaient trop invraisemblables pour être réelles. J’ai tout de même ressenti de la compassion pour ce père en deuil et les efforts accomplis par ces deux hommes pour réussir à le surmonter.

Il n'y a pas de fiction dans le film

Suis très dubitatif sur la scène avec la proprio de l'appartement à Vienne, ça me semble très scénarisé...

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 10:17

Vic Vega a écrit : ↑1 avr. 25, 11:13 Veera Dheera Sooran part two de S.U. Arun Kumar 5/10

Ah, j'ai peut être bien fait de ne pas y aller... Un petit avis en quelques mots ?

Déjà le concept est particulier : un numéro 2 en salles alors qu'il n'y a pas encore eu de clap de début du numéro 1. Disons que, sans être formellement extraordinaire, ça avait le potentiel pour être le type de bon polar noir que HK (et Hollywood bien sûr, n'en parlons pas) ne fait plus vraiment. Déjà parce que S.J. Suryah et Vikram sont (comme d'habitude) très charismatiques. Et pour son pitch de départ. Madurai, un soir au cours duquel la police est fortement mobilisée par un festival. Le flic Arunagiri (Suryah, suffisamment arrogant pour faire un personnage moralement gris plutôt qu'on good guy), qui a un mystérieux compte à régler avec le parrain Ravi, pense avoir trouvé le moyen d'arrêter Ravi et son fils. Mis au courant, ces derniers échafaudent un projet d'assassinat d'Arunagir. Ravi tente alors de convaincre Kaali (Vikram), ancien truand qui a promis à son épouse de mener une vie rangée, d'exécuter ce projet. Kaali finit par céder. Suit une nuit au cours de laquelle il va se retrouver pris en étau entre Arunagiri et Ravi. Plutôt pas mal dans sa première partie, avant de se gâcher dans la seconde. D'abord dans son flash back explicatif mal écrit. De retour au présent, le film commence par retrouver son côté désespéré... mais se retrouve saboté par les conventions du cinéma indien du Sud: avoir un personnage à l'invincibilité rajamoulienne ne marche pas dans un polar réaliste. Je ne regrette cependant pas ma place pour le petit effet madeleine de Proust du polar d'avant de sa première moitié et les deux acteurs mentionnés.

Vic Vega a écrit : ↑2 avr. 25, 12:20

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 10:17
Ah, j'ai peut être bien fait de ne pas y aller... Un petit avis en quelques mots ?

Déjà le concept est particulier : un numéro 2 en salles alors qu'il n'y a pas encore eu de clap de début du numéro 1. Disons que, sans être formellement extraordinaire, ça avait le potentiel pour être le type de bon polar noir que HK (et Hollywood bien sûr, n'en parlons pas) ne fait plus vraiment. Déjà parce que S.J. Suryah et Vikram sont (comme d'habitude) très charismatiques. Et pour son pitch de départ. Madurai, un soir au cours duquel la police est fortement mobilisée par un festival. Le flic Arunagiri (Suryah, suffisamment arrogant pour faire un personnage moralement gris plutôt qu'on good guy), qui a un mystérieux compte à régler avec le parrain Ravi, pense avoir trouvé le moyen d'arrêter Ravi et son fils. Mis au courant, ces derniers échafaudent un projet d'assassinat d'Arunagir. Ravi tente alors de convaincre Kaali (Vikram), ancien truand qui a promis à son épouse de mener une vie rangée, d'exécuter ce projet. Kaali finit par céder. Suit une nuit au cours de laquelle il va se retrouver pris en étau entre Arunagiri et Ravi. Plutôt pas mal dans sa première partie, avant de se gâcher dans la seconde. D'abord dans son flash back explicatif mal écrit. De retour au présent, le film commence par retrouver son côté désespéré... mais se retrouve saboté par les conventions du cinéma indien du Sud: avoir un personnage à l'invincibilité rajamoulienne ne marche pas dans un polar réaliste. Je ne regrette cependant pas ma place pour le petit effet madeleine de Proust du polar d'avant de sa première moitié et les deux acteurs mentionnés.

Merci pour cet avis !

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 11:45

Rockatansky a écrit : ↑2 avr. 25, 11:36

Il n'y a pas de fiction dans le film

Suis très dubitatif sur la scène avec la proprio de l'appartement à Vienne, ça me semble très scénarisé...

Ecoutes je t'avoue que cela m'a interpellé aussi, mais ils se sont contenté de suivre le journal de bord du fils et d'aller aux mêmes endroits que lui dont ce airbnb, après...

Rockatansky a écrit : ↑2 avr. 25, 13:04

zemat a écrit : ↑2 avr. 25, 11:45

Suis très dubitatif sur la scène avec la proprio de l'appartement à Vienne, ça me semble très scénarisé...

Ecoutes je t'avoue que cela m'a interpellé aussi, mais ils se sont contenté de suivre le journal de bord du fils et d'aller aux mêmes endroits que lui dont ce airbnb, après...

Je viens de regarder la fiche IMDB, l'équipe de tournage fut intégralement masculine : tu penses vraiment qu'une femme puisse se mettre nue devant une équipe pour un tel projet ?
Et confirmation, c'est effectivement une actrice : https://www.imdb.com/name/nm7089573/?ref_=ttfc_cst_4

Il me semble qu'elle dit qu'elle est actrice dans le film, pour moi je ne pense pas que cela scripté tel qu'on l'entends dans une fiction.
L'équipe de tournage c'était 4 personne.

Rockatansky a écrit : ↑2 avr. 25, 13:48 Il me semble qu'elle dit qu'elle est actrice dans le film, pour moi je ne pense pas que cela scripté tel qu'on l'entends dans une fiction.

OK, je ne me rappelle pas de ce point, si c'est ça les scènes ont pu être tournées en improvisation et non scénarisées.

Vermiglio : 7,5/10