Dvdclassik : cinéma et DVD

AtCloseRange a écrit :ça dépasse l'entendement (Christophe Lambert était pas dispo, ils ont pris Thomas Jane)

nobody smith a écrit :

Il a fallu attendre le dernier jour pour tomber sur la bonne grosse bouse du mois avec Les Dossier Secrets Du Vatican.

Zeldoune a écrit :

AtCloseRange a écrit :ça dépasse l'entendement (Christophe Lambert était pas dispo, ils ont pris Thomas Jane)

Vu dans l'avion. C'est assez merveilleux.

Edouard a écrit :

Enorme déception pour mon premier Jerry Lewis. Je pensais les gens sévère avec lui et bien en fait non. En attendais-je trop de ce film ? Sans doute mais l'idée de transposer le roman de Robert Louis Stevenson en comédie combinée au charme des 60's fournissaient un bon postulat de départ.
Les situations comiques le sont mais elles sont trop appuyées, trop étirées et trop redondantes. Jerry Lewis n'a pas le génie de De Funès. Cela fait peu de choses à sauver, sans oublier la jolie Stella Stevens.

G.T.O a écrit :The Fabulous baker boys ( Steve Kloves, 1989).




Grosse déception.

Chouette casting, photo sympathique mais l'ensemble souffre de vacuité, d'absence d'originalité, de mise en scène. Loin d'être désagréable, c'est l'exemple type du film incolore et inodore, équivalent ciné de la musique d'ascenseur. C'est un film égalitaire où chaque composante joue une partition bien connue et très peu excitante. Le film a très peu de volume, d'allant, de mise en scène ou de parti-pris : le réalisateur choisit toujours la voie la moins pertinente - le milieu. C'est un drame sentimentalo-musical réussissant l'exploit d'être ni touchant ni rythmé. ça se regarde comme on dit et ça s'oublie aussi très vite.

Bogus a écrit :

G.T.O a écrit :The Fabulous baker boys ( Steve Kloves, 1989).




Grosse déception.

Chouette casting, photo sympathique mais l'ensemble souffre de vacuité, d'absence d'originalité, de mise en scène. Loin d'être désagréable, c'est l'exemple type du film incolore et inodore, équivalent ciné de la musique d'ascenseur. C'est un film égalitaire où chaque composante joue une partition bien connue et très peu excitante. Le film a très peu de volume, d'allant, de mise en scène ou de parti-pris : le réalisateur choisit toujours la voie la moins pertinente - le milieu. C'est un drame sentimentalo-musical réussissant l'exploit d'être ni touchant ni rythmé. ça se regarde comme on dit et ça s'oublie aussi très vite.

Supfiction a écrit :

Bogus a écrit :

Il est vrai que le film est assez lent. Mais quand on a découvert à l'adolescence Michelle Pfeiffer sur son piano, crois-moi qu'on ne l'oublie pas.
En plus elle chante divinement.

G.T.O a écrit :

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Supfiction a écrit :
Il est vrai que le film est assez lent. Mais quand on a découvert à l'adolescence Michelle Pfeiffer sur son piano, crois-moi qu'on ne l'oublie pas.
En plus elle chante divinement.

Oh mais si il n y avait que ça...
Après, je suis d'accord avec vous : Michelle n'a jamais été aussi belle. Par contre, niveau chant, je n'ai pas trouvé qu'elle chantait extrêmement bien. Mais à la rigueur, ce n'est pas très grave. Après tout, Eastwood ne chantait pas non plus très bien dans Honkytonk man. Cela n'a pas empêché d'être un superbe film.