Dvdclassik : cinéma et DVD

The Alto Knights 6/10
The Electric State (Netflix) 4.5/10

A way to die, the films of Peter Christopherson and John Balance : 7/10

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan 8.5/10 film plein de grâce et de charme
Lumières, l'aventure continue 7/10 (mon voisin à côté dormait, je reconnais que niveau rythme ce n'était pas Jason Statham mais j'ai trouvé la famille de gymnaste fascinante), l'enchaînement des vidéos est un peu répétitive au bout d'un moment, j'aurais pas été contre des interventions de spécialistes de cette période cinématographique.

Velvet a écrit : ↑23 mars 25, 11:18 Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan 8.5/10 film plein de grâce et de charme
Lumières, l'aventure continue 7/10 (mon voisin à côté dormait, je reconnais que niveau rythme ce n'était pas Jason Statham mais j'ai trouvé la famille de gymnaste fascinante), l'enchaînement des vidéos est un peu répétitive au bout d'un moment, j'aurais pas été contre des interventions de spécialistes de cette période cinématographique.

Je trouve que cet absence d'intervention de "specialistes" sert le film et participe à sa singularité (et à mon avis aurait cassé mon degré d'implication par rapport à ce que je voyais), qui est un "voyage" à travers les films Lumiere (pas mal de bandes jamais vues et restaurées magnifiquement).
Pas une seconde d'ennui pour moi, c'est la fascination qui predomine, voix-off de Fremaux incluse (d'ailleurs, ce qu'il dit est passionnant, il connait suffisamment les films Lumiere pour etre aussi erudit qu'un specialiste ou historien du cinema)

Mickey I7 (Bong joon ho) : 7/10
Une réussite mineure, mais réussite néanmoins. Bong joon ho est précieux : il incarne la persistance du divertissement à gros moyens pétillant, inventif, généreux, humaniste et compétent techniquement. Il y a du reste dans sa manière quelque chose qui m'évoque ce qu'il y avait de meilleur chez Emir Kusturica : une sorte de truculence bouffonne et carnavalesque. Le film marque un peu le pas dans des dernières séquences qui font un tantinet de l'œil au public ado mais l'imagination règne du début à la fin, portée par une technicité jamais prise en défaut de laideur.

Cleaner (Martin Campbell) :1/10

Je sais pas quand ca sort et si c'est prévu que ça sorte chez nous (en fait j'espère pas). C'est de la merde en barre. Voila c'est dit. martin Campbell n'a jamais été le plus grand des réalisateurs mais il a a son palmarès quelques films que j'apprécie : Goldeneye, Casino Royale, Le masque de Zorro, The Foreigner et le cultissime Absolom 2022. Mais la on touche le fond, c'est nul, on s'emmerde ferme pendant les 3/4 du film. Un Die Hard Like avec 35 ans de retard. Des acteurs a chié, tous sans exception, surtout Clive Owen juste venu prendre son cheque (il doit apparaitre 20 minutes a tout casser), le scénario est vu et revu. C'est mou du genou, les scènes d'action sont chiantes alors que c'est sensé être un film de baston. Les 1 point sont pour la pauvre Daidy Ridley venu s'enterrer dans cette galère d'un autre âge. Elle y joue une ancienne soldat d'élite devenue laveuse de vitre (rien que ça déjà tu sais que ca part mal) qui se retrouve confronté a une prise d'otage dans l'immeuble ou elle bosse. Le seul souci c'est qu'elle passe presque la moitié du film dans sa putain de nacelle de laveuse de vitre et qu'elle ne sert a rien.

nunu a écrit : ↑23 mars 25, 17:30
Daisy Ridley (...) joue une ancienne soldat d'élite devenue laveuse de vitre (...) qui se retrouve confronté a une prise d'otage dans l'immeuble ou elle bosse.

Considérant Daisy Ridley comme une des actrices les plus nulles en activité avec Gal Gadot (exceptionnelle dans Blanche Neige, au passage), j'avoue que rien qu'avec ce pitch tu me donnes furieusement envie d'y jeter un œil malsain

Ça vend en effet du rêve (et moi qui croyais que la carrière de l'actrice repartait avec son 1er rôle dans La Vie rêvée de Miss Fran).

tchi-tcha a écrit : ↑23 mars 25, 17:51

nunu a écrit : ↑23 mars 25, 17:30
Daisy Ridley (...) joue une ancienne soldat d'élite devenue laveuse de vitre (...) qui se retrouve confronté a une prise d'otage dans l'immeuble ou elle bosse.

Considérant Daisy Ridley comme une des actrices les plus nulles en activité avec Gal Gadot (exceptionnelle dans Blanche Neige, au passage), j'avoue que rien qu'avec ce pitch tu me donnes furieusement envie d'y jeter un œil malsain

Fais toi plaisir. Le pire d'apres ce que j'ai vu c'est que les critiques sont pas si mauvaises que ca. Alors que bon c'est nul

Manas : 7/10
Lire Lolita à Téhéran : 6,5/10
Le joueur de go : 6/10
Las Demás : 6/10

When the Light Breaks, Rúnar Rúnarsson : 7/10.

Un film minimaliste qui passe presque comme un moyen-métrage, et recèle des compositions de cadres assez époustouflantes. Le récit, très resserré, et lorgnant vers un naturalisme parfois un peu trivial, s'achève en beauté.

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Le Quatrième mur
Le Jardin zen
La Mer au loin
When the Light Breaks

un nouveau Kuosmanen (Olli Maki, Compartiment 5) en salles ce mercredi

Blanche-Neige : 3,5/10

Un remake dans la droite lignée de ce que Disney nous fait subir depuis de nombreuses années : long, moche et aseptisé. Tout ce qui faisait le sel de l'original a pour ainsi dire disparu. Vous aviez été terrifié enfant par la transformation de la reine en sorcière ou par le passage de Blanche-Neige dans la forêt sombre, ou encore par la mort de la grande méchante ? Ne vous inquiétez pas pour vos gosses, tout cela a bien été atténué pour ne surtout plus choquer personne. Tout ce qui faisait le génie du film d'animation a comme été ignoré. Ils se sont même permis d'oublier certaines des chansons les plus emblématiques de l'histoire de Disney, tout en inventant des nouvelles sans intérêt. Mais pourquoi ? En revanche ce qui est bien terrifiant mais involontairement c'est la bande des sept "nains". Le genre de vision qui viendra vous hanter lors de votre prochaine paralysie du sommeil. Quant aux polémiques accusant le film de "wokisme" elles en deviennent ridicules à la vision du film. Il s'en dégage par moment une vibe vaguement progressiste mais ça reste bien trop timide pour en constituer un réel défaut (du moins pour certains). Non le principal problème c'est que Disney, dans leur perpétuelle recherche du pognon sans prise de risque, continue à s'enfoncer dans une indigence artistique qui ferait honte au visionnaire et expérimentateur qu'était Walt Disney.