Dvdclassik : cinéma et DVD

Super Mario Bros, le film - Aaron Horvath et Michael Jelenic : 5,5/10

Watkinssien a écrit : ↑14 avr. 23, 10:18 Renfield = 5.5/10.

Déjà ?
(ça sort fin mai, je le précise au cas où)

Flol a écrit : ↑14 avr. 23, 16:43

Watkinssien a écrit : ↑14 avr. 23, 10:18 Renfield = 5.5/10.

Déjà ?
(ça sort fin mai, je le précise au cas où)

J'ai des copains corsaires.

Personne n'a vu A mon seul desir ?


Il me tente bien

Moi aussi mais plus dans mon ciné A&E, et j'ai du mal à penser qu'il sera dans un cinéma rural ... quoique (j'ai bien réussi à voir un film sélectionné à l'Acid Cannes & Locarno dans un village de 3000 habitants alors ...)

Sinon ...
Alma Viva : 6,5/10

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- La jeune Salomé passe des vacances tranquille dans un village autant pépouze dans les montages du nord-est du Portugal. Le traitement documentaire fait son effet, entre bal populaire pour les adultes et carnaval du diable chez les enfants. Et en ce qui concerne le diable, les invocations et les traditions font partie prépondérante de ses lieux sans âge. C'est à ce moment là que le regard de cette fille et de l'autrice va prendre sens : après une introduction d'un regard sur la mort, explosion de poisson dans un lac. Au Portugal, c'est carré pour pécho des poissons ^^ . Salomé ramène cela à sa voisine, dans une préparation et un vidage au couteau. Elle est rêche la voisine, et la petit est un peu apeuré. Mise en scène au poil : sur une phrase dite par la voisine, Salomé tend son bras derrière son dos, d'un geste digne d'un signe. Avec sa grand-père, c'est le St-George qui va lui répondre : ton corps va se libérer du diable. Un sort va être lancer après la mort de la grand-mère, et la petite sera la première à en faire les frais, prêt à mettre un zbeul dans le village. Belle idée qui tient la route, qui, comme El Agua, s'avère être une ethnographie des sens. Dommage que la manière de faire de la cinéaste soit trop droite,et qui agence pas assez son étrangeté et sa puissance évocatrice avec les éléments de la nature, trop appuyé par l'évidence du récit. Il mérite malgré tout d'être vue.

Dancing Pina : 4/10
Bon, on va pas danser autour du sacre du printemps : Dancing Pina, c'est Pina Bausch pour les nuls. OK, l'héritage est là ; OK, le traitement de la mise en scène des deux œuvres, en pratique et action fait son travail. Mais STOP le traitement audiovisuel, cette rigidité digne d'un doc Infratrouge en mode Pratique + dialogues in situ + personnage en solo sur une chaise qui parle de souvent pas grand chose (souvent à gauche l'élève). Anti-thèse de la danse : à vouloir faire parler parler et parler, le doc oublie à 70% les corps et les gestes, avec une interprétation et un point de vue libre. Danse=Liberté. Pina=Liberté ... mais pas ici, Wim Wenders à fait laaaaargement le taff il y a 12 ans.

Suzume 4/10 une nana et une"chaise"(!)coursent un chat pendant 1H,la suite n'est pas plus engageante,ayant vu l'intégralité de sa filmo je considère les enfants du temps comme un"one shot" ou une"anomalie"

Edit

The Last Kingdom : Sept rois doivent mourir (Netflix) (7/10) : Ceux qui n'ont pas suivi la série risquent d'être un peu perdu, reste que cet épilogue reste dans le ton des saisons précédentes avec une séquence de bataille (de Brunanburh) assez réussie.

L'établi : 6.5/10

Donjons et Dragons : l'honneur des voleurs (J. Goldstein & J.F. Daley) 4,5/10
(Ce n'est pas antipathique, les touches d'humour absurde sont plus proches - lointainement quand même - des Monty Python que des Gardiens de la Galaxie, et même si Chris Pine joue comme un gland (pardon, je devais la faire), même si Michelle Rodriguez joue comme un camion de déménagement (dix ans de Fast & Furious, ça fait des ravages) même si Hugh Grant devrait avoir honte, ça reste globalement bon enfant et sans prétention. Sauf que c'est une série B surfriquée à laquelle il manque ce petit supplément d'âme artisanal des séries B... Sauf que malgré toutes ses péripéties le rythme reste plutôt pépère... Sauf que les effets numériques ont vingt ans de retard (imaginez un Seigneur des Anneaux sous-traité par un studio nord-coréen, paye ta fantasy qui pique les yeux)... Bref c'est sympa mais je suis resté sur ma faim.)

Note importante pour les fans de Mylène :

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Même si je l'ai vu en VOST, OUI on a bien droit à la chanson de Mylène en générique de fin, rassurez-vous.



Je ne sais pas trop ce qu'elle fout là, mais ça me semblait important de le préciser pour ses admirateurs.

65 - La Terre d'avant : 6.5/10

N'en déplaise à certains (coucou bis tchi-tcha ! ), le film a bien fonctionné sur moi, remplissant haut la main son contrat de chouette divertissement. Beaucoup apprécié le prologue déjà et ensuite dès les premières péripéties de l'ami Adam en terre super hostile (les mecs se sont vraiment fait plaisir au niveau des petites et grosses bébêtes, repoussantes à souhait, peuplant cette bonne vieille planète bleue), je me suis retrouvé en immersion à ses côtés, à vibrer pour lui et sa petite sauvageonne d'infortune. Pour ne rien gâcher, les décors en partie naturels sont superbes et la partition écrite à 4 mains par l'inconnu au bataillon Chris Bacon et Danny Elfman (non-crédité au générique, m'est avis qu'il y a eu quelques remous niveau production) est plutôt joliment troussée. Bref, à part 1 ou 2 trucs prévisibles (ooohhh, des sables mouvants !) et un grand final que j'ai trouvé un peu too much, je n'ai pas vu le temps passer.

Suzume 7.5/10

65 - la terre d’avant : 4/10
Cet été-là : 4/10

Donjons & Dragons : L'Honneur des voleurs 7/10

Les âmes sœurs : 5/10