
24 saison 6
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Je parle de la trame générale en fait, et de ce qu'est encore capable de faire Bauer (et là avec son frangin, ça me plait bien je dois dire ) mais pas vraiment de Bauer en lui-même, qui lui, est immuable. Là où les autres tomberont comme des mouches, il restera encore et toujours le seul survivant. Car il est clair que la série s'arrêtera soit quand il mourra, soit quand les martiens attaqueront 

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ep 06
un épisode assez décevant...sans grande surprise, je dirais même, avec beaucoup de mal, lassant
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Episode de transition, on l'on apprend pas grand chose, si ce n'est que des mysteres couvent 

Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Nicofieu a écrit :ep 06
un épisode assez décevant...sans grande surprise, je dirais même, avec beaucoup de mal, lassant![]()
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Kiefer Sutherland a torturé la poupée à son effigie
L'acteur a torturé puis brûlé un prototype de poupée représentant son personnage Jack Bauer de la série 24 Heures chrono.
Kiefer Sutherland a avoué dernièrement avoir torturé un prototype de poupée le représentant après une nuit arrosée, il y a deux ans. Cela avait retardé la sortie de la poupée de Jack Bauer en magasins, puisqu'il s'agissait d'un prototype.
Il a avoué au National Enquirer : "On a sorti la poupée pour s'amuser et on a bu des verres. On l'a assise sur le bord de la table. On l'a torturée de 11 heures du soir à 2 heures du matin et on l'a faite brûler sur le parking. On est arrivé le jour suivant, et c'était devenu une flaque de cire. Ses vêtements n'avaient pas brûlé, ce que j'ai trouvé cool." Malheureusement, la poupée était le fruit d'un travail d'un an et elle était le seul prototype existant…



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Tu veux direNicofieu a écrit :ep 06
un épisode assez décevant...sans grande surprise, je dirais même, avec beaucoup de mal, lassant![]()
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6.07
Excellent épisode avec un Kiefer qui cartonne tout d'abord dans une séquence de torture familiale. En terme de jeu d'acteur, il fait très fort. Le frangin bauer n'est pas à négliger non plus (ça fout même les boules tellement il est dedans)
Et le finish avec le père bauer qui tue sa progéniture, c'est grandiose et effrayant à la fois. Bon, on passera sur le fait que le papa soit dans le coup, c'était prévisible à mort mais c'est bien le seul bemol de l'histoire...
Pour l'instant, ça reste très bon
Excellent épisode avec un Kiefer qui cartonne tout d'abord dans une séquence de torture familiale. En terme de jeu d'acteur, il fait très fort. Le frangin bauer n'est pas à négliger non plus (ça fout même les boules tellement il est dedans)
Et le finish avec le père bauer qui tue sa progéniture, c'est grandiose et effrayant à la fois. Bon, on passera sur le fait que le papa soit dans le coup, c'était prévisible à mort mais c'est bien le seul bemol de l'histoire...
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Alan Shore a écrit :6.07
Excellent épisode avec un Kiefer qui cartonne tout d'abord dans une séquence de torture familiale. En terme de jeu d'acteur, il fait très fort. Le frangin bauer n'est pas à négliger non plus (ça fout même les boules tellement il est dedans)
Et le finish avec le père bauer qui tue sa progéniture, c'est grandiose et effrayant à la fois. Bon, on passera sur le fait que le papa soit dans le coup, c'était prévisible à mort mais c'est bien le seul bemol de l'histoire...
Pour l'instant, ça reste très bon

Une video avec un montage sympa sur l'intérogatoire de l'épisode 7 :
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From 1996 to 2001, prime time television had 102 torture scenes. From 2002 to 2005, there were 624. But it wasn't only the quantity that change. "During this uptick in violence, the torturer's identity was more likely to be an American hero like "24's" Jack Bauer (Kiefer Sutherland) than the Nazis and drug dealers in pre-9/11 days."Alan Shore a écrit :6.07
Excellent épisode avec un Kiefer qui cartonne tout d'abord dans une séquence de torture familiale.
A competent analyst of culture could probably wring a three-book deal from the datum, but let me just say this: There's been an unsettling change in not only what heroes do, but what makes a hero at all. Any comic book reader knows that what separates heroes from evildoers is their unwillingness to kill, torture, or even personally punish the guilty. Restraint, in and of itself, is a heroic attribute. DC's Identity Crisis series spends quite a bit of time on that question, as it comes out that a few caped crusaders have spent decades covering up the one night when they went too far against an enemy, as they know the larger community of superheroes would be enraged if they discovered the transgression. It isn't that their actions were indefensible, or even particularly avoidable. The merits of the act itself are beside the point. You can't transgress ever, or you blur that line separating you from your enemies (another treasured trope is the defeated villain taunting the hero to give in and kill him, the subtext being that if the evildoer can make the hero act the villain, he will have won even as he died).
Bauer, of course, is the antithesis of that attitude. His heroism stems from his brutality, his willingness to dissolve every ethical boundary in pursuit of higher ends. His is a heroism for a weak and scared nation, one that's decided the old ways of restraint and ethical exceptionalism are insufficiently effective and is trying to convince itself that a loosening of those bonds could restore order and security. That's a scary shift in the culture. An America that looks to Bauer rather than Batman is an altered nation indeed.
--Ezra Klein.
http://www.prospect.org/weblog/2007/02/post_2782.html
The gospel was told, some souls it swallowed whole
Mentally they fold, and they eventually sold
Their life and times, deadly like the virus design
But too, minute to dilute, the scientist mind.
Wu.
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