Billy Wilder (1906-2002)

[AtCloseRange]

Mais il n'y a que Boulevard du crépuscule qui ne m'ait pas plu pour le moment.

[allen john]

Mais il n'y a que Boulevard du crépuscule qui ne m'ait pas plu pour le moment.

...avec des clous.

[El Dadal]

Eh beh, je suis content de ne pas m'exprimer sur les multiples classiques naphta qui me laissent de marbre. J'aurai été banni il y a longtemps je crois

[allen john]

Eh beh, je suis content de ne pas m'exprimer sur les multiples classiques naphta qui me laissent de marbre. J'aurai été banni il y a longtemps je crois

Oui, nous autres, les ayatollahs, nous sommes comme ça.

[AtCloseRange]

Eh beh, je suis content de ne pas m'exprimer sur les multiples classiques naphta qui me laissent de marbre. J'aurai été banni il y a longtemps je crois

le goudron et les plumes, c'est bien suffisant.

[homerwell]

Des séances à venir :

La rétrospective Billy Wilder proposée, du 28 juin au 8 juillet, par le Festival du film de La Rochelle fait, sans nul doute, partie des cures cinématographiques qui devraient être remboursées par la Sécurité sociale.

http://www.lemonde.fr/culture/article/2 ... _3246.html

Le Festival qui s'ouvre ce vendredi rend un hommage appuyé au cinéaste (jusqu'au 8 juillet)

http://cinema.nouvelobs.com/articles/26 ... a-rochelle

Oui, nous autres, les ayatollahs, nous sommes comme ça.

le goudron et les plumes, c'est bien suffisant.

T'inquiète pas El Dadal, faudrait déjà que les deux vieux croutons me rattrapent.

[allen john]

le goudron et les plumes, c'est bien suffisant.

T'inquiète pas El Dadal, faudrait déjà que les deux vieux croutons me rattrapent.

[homerwell]

Je vais y aller doucement avec les comédies pures.

Certains l'aiment chaud, c'est quand même le nec plus ultra de la comédie à l'américaine. On a le droit de d'en préférer d'autres, mais ça reste un indispensable. Personnellement, si je me suis un peu détachée de ce film que j'ai du voir et revoir un milliard de fois dans mon adolescence, j'en admire toujours la maîtrise folle. Et en revoyant quelques images sur google, je me dis que c'est quand même que du bonheur!!! J'en reprendrais bien un petit coup.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Certains l'aiment chaud, je ne sais pas en parler, j'ai assurément passé un bon moment, les acteurs sont formidables, mais... Certains l'aiment désenchanté, je ne trouve pas tout à fait mon compte dans cette comédie, à part avec le personnage de Marilyn Monroe. J'en reprendrai un petit coup aussi à l'occasion. Cheers !

[Miss Nobody]

Certains l'aiment chaud, je ne sais pas en parler, j'ai assurément passé un bon moment, les acteurs sont formidables, mais... Certains l'aiment désenchanté, je ne trouve pas tout à fait mon compte dans cette comédie, à part avec le personnage de Marilyn Monroe. J'en reprendrai un petit coup aussi à l'occasion. Cheers !

Alors c'est tout ce qui compte.
Vraiment contente que ta réconciliation avec le réal se passe aussi bien.

[homerwell]

Vraiment contente que ta réconciliation avec le réal se passe aussi bien.

Je vais poursuivre avec Sabrina

[homerwell]

Sabrina
Très bon moment avec ce film qui m'a semblé faire feu de tout bois sans cependant atteindre la maestria des œuvres qu'il a en quelque sorte inspiré, la fantaisie d'Ariane, l'humour de Certains l'aiment chaud,l’impertinence de La Garçonnière. Mais avec une charmante Audrey Hepburn !

[Jeremy Fox]

Billy Wilder est à l'honneur cet été dans les salles avec pas moins de quatre rééditions de ses films. L'occasion pour DVDClassik de proposer une semaine spéciale consacrée à ce géant !

On démarre avec Spéciale Première

[Federico]

Il en a peut-être déjà été question sur ce topic mais voici un grand moment d'humour wilderien en 1956 avec la complicité de son interviewer (François Chalais) et surtout de son principal comédien dans un compartiment de train en Gare de Lyon lors du tournage en France d'Ariane.

Document tourné pour l'émission Cinépanorama.

[Jeremy Fox]

Le cycle se poursuit avec Un, deux, trois

[Frances]

Le cycle se poursuit avec Un, deux, trois

Beaucoup aimé ! De la dynamite ce film avec un James Cagney qui tourne à 300 à l'heure. Jubilatoire !