Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Marcus a écrit :Si je comprends bien, il y aura un 2è volume couvrant la période 2000 à aujourd'hui.
Il y aura bien un second volume, comme l'explique Jean-Michel Frodon : ""Nous avons résolu de nous en tenir à un format raisonnable et de publier ce livre à mi-parcours. (....) Aussi, ce livre choisit-il, avec un clin d'oeil au grand amateur de la forme feuilletonnesque qu'est Olivier, de s'interrompre sur un À suivre"
"Jamais je ne voudrais faire partie d'un club qui accepterait de m'avoir pour membre." (Groucho Marx)
En octobre
"Parcourant l’histoire du cinéma français depuis l’invention des frères Lumière jusqu’aux plus récentes récompenses glanées à Cannes ou à Hollywood, cette promenade en 130 films ne rend pas seulement hommage à nos plus grands cinéastes. Jean-Luc Douin y raconte l’évolution d’un art, du muet aux révolutions numériques, l’éclosion de courants esthétiques parmi lesquels le « réalisme poétique » et la « Nouvelle Vague » qui influencèrent les cinématographies du monde entier. Il propose aussi une exploration de la manière dont le cinéma français rend compte de l’histoire de son pays, de sa culture, de ses mœurs, en même temps qu’il honore ses comédiens mythiques, ses techniciens marquants. Le cinéma français tel que le raconte cet ouvrage, c’est une palette de genres, de sensibilités, de films d’auteurs et de divertissements. "
Colossal. Stupendous. Epic. These adjectives, used by movie companies to hawk their wares, became cliches long ago. When used to describe the films of one director, they are accurate. More than any filmmaker in the history of the medium, Cecil B. DeMille mastered the art of the spectacle. In the process, he became a filmland founder. One hundred years ago, he made the first feature film ever shot in Hollywood and went on to become the most commercially successful producer-director in history. DeMille told his cinematic tales with painterly, extravagant images. The parting of the Red Sea in The Ten Commandments was only one of these. There were train wrecks (The Greatest Show on Earth); orgies (Manslaughter); battles (The Buccaneer); Ancient Rome (The Sign of the Cross); Ancient Egypt (Cleopatra); and the Holy Land (The Crusades). The best of these images are showcased here, in Cecil B. DeMille: The Art of the Hollywood Epic. This lavish volume opens the King Tut's tomb of cinematic treasures that is the Cecil B. DeMille Archives, presenting storyboard art, concept paintings, and an array of photographic imagery. Historian Mark A. Vieira writes an illuminating text to accompany these scenes. Cecilia de Mille Presley relates her grandfather's thoughts on his various films, and recalls her visits to his sets, including the Egyptian expedition to film The Ten Commandments. Like the director's works, Cecil B. DeMille: The Art of the Hollywood Epic is a panorama of magnificence--celebrating a legendary filmmaker and the remarkable history of Hollywood.
Lu il y a quelques jours. C'est intéressant mais très frustrant. Le livre ne fait que 300 pages et beaucoup de choses sont à peine esquissées. On aimerait en savoir beaucoup plus, passer plus de temps avec les personnages. Le style de l'auteur, très abrupt, n'est pas exceptionnel.