
Top 15 Ennio Morricone
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- two lovers
- Doublure lumière
- Messages : 503
- Inscription : 12 déc. 08, 09:26
Re: Top 15 Ennio Morricone
Une plongée dans le western spaghetti crépusculaire ... Sorti, le 21 Janvier 1976 sur les écrans français, "UN GENIE, DEUX ASSOCIES, UNE CLOCHE" (Un genio, due compari, un pollo) est un film réalisé par Damiano Damiani qui a donné lieu a cette musique particulièrement entraînante. D'ailleurs, si un éditeur pensait à ce titre pour une édition blu-ray ...

-
- Monteur
- Messages : 4696
- Inscription : 20 mai 03, 16:41
Re: Top 15 Ennio Morricone
J'ai finalement vu le top 15 Morricone de Major Tom, à qui je redis à nouveau bravo pour le travail colossal de recherche, de réflexion et de montage qui m'a donné envie de revoir la quasi-totalité des grands classiques égrenés au fil de la vidéo. Et même un Barbe Bleue que j'ai vu très (trop?) jeune et qui m'avait assez plu à l'époque (diffusion sur Canal à la fin des années 80, c'est dire...) , d'autant plus que voir Richard Burton et Jean Lefebvre dans un même film m'avait fait l'effet d'être passé dans la twilight zone. Je suis séduit aussi par le casting original du Major.
J'ai écouté finalement Windows et je n'ai pas été trop emballé: ce n'est pas la veine Morricone que je préfère. Un titre qui demande à mûrir peut-être...
Sinon en effet le thème Israel du Moise de De Bosio (que j'aimerai beaucoup revoir aussi) est fantastique mais on sent quand même que Queimada est déjà passé par là...
Tiens en passant, je mets un titre assez inconnu que j'aime beaucoup avec un Morricone en mode polisson et influencé par Bach (dans le film, ça allait très bien avec les formes généreuses de Stefania Sandrelli).

J'ai écouté finalement Windows et je n'ai pas été trop emballé: ce n'est pas la veine Morricone que je préfère. Un titre qui demande à mûrir peut-être...
Sinon en effet le thème Israel du Moise de De Bosio (que j'aimerai beaucoup revoir aussi) est fantastique mais on sent quand même que Queimada est déjà passé par là...
Tiens en passant, je mets un titre assez inconnu que j'aime beaucoup avec un Morricone en mode polisson et influencé par Bach (dans le film, ça allait très bien avec les formes généreuses de Stefania Sandrelli).
Re: Top 15 Ennio Morricone
Merci pour ce beau (et ingénieux) voyage musical, Major Tom.
Morricone fait partie de mes 4 maestros fétiches de la musique de film, et c'est d'ailleurs celui pour lequel j'ai toujours eu du mal à déterminer un top.
Ce que je trouve incroyable chez lui - entre autres choses - c'est cette faculté de passer avec une telle aisance et une telle créativité entre ce qu'on pourrait appeler compositions "classiques" et compositions "expérimentales" (notamment pour le cinéma de genre italien aux qualités cinématographiques disons "très variées"
mais avec un apport musical d'une richesse incroyable). Morricone sait faire saigner mon coeur avec ses thèmes lyriques ou mélancoliques, tout comme à d'autres occasions il sait faire appel à mon cerveau "analytique" avec des audaces de composition folles.
Par ailleurs je bénis les années 2000 avec ces blogs à profusion sur Internet sur lesquels on pouvait "récupérer" pas mal de choses...
(Justement, j'ai une énorme pensée pour la personne - forumeur classikien également - qui m'a pas mal orienté à ce niveau, et qui nous a quittés bien trop tôt...)

Morricone fait partie de mes 4 maestros fétiches de la musique de film, et c'est d'ailleurs celui pour lequel j'ai toujours eu du mal à déterminer un top.
Ce que je trouve incroyable chez lui - entre autres choses - c'est cette faculté de passer avec une telle aisance et une telle créativité entre ce qu'on pourrait appeler compositions "classiques" et compositions "expérimentales" (notamment pour le cinéma de genre italien aux qualités cinématographiques disons "très variées"

Par ailleurs je bénis les années 2000 avec ces blogs à profusion sur Internet sur lesquels on pouvait "récupérer" pas mal de choses...


(Justement, j'ai une énorme pensée pour la personne - forumeur classikien également - qui m'a pas mal orienté à ce niveau, et qui nous a quittés bien trop tôt...)

- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18427
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Top 15 Ennio Morricone
De loin. Mais avec les images très "film noir 80's post giallo deuxième partie de soirée Ciné Dimanche", je me suis rué illico sur mon dealer numérique de péloches.Major Tom a écrit :Ah merde.Kevin95 a écrit :Nota bene : n’empêche, tu m'as méchamment donné envie de voir Windows.Tu ne connaissais pas la musique ?
Dès que j'ai un créneau, je te fais un compte-rendu tranquilou année par année.Major Tom a écrit :Tu pourrais même faire une chronique au fur et à mesure comme Jeremy avec les westerns.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- Major Tom
- Petit ourson de Chine
- Messages : 22225
- Inscription : 24 août 05, 14:28
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Merci Roy et O'Malley. 
L'Eros et le Thanatos du giallo résumé en un seul thème (et ce, dès le premier film du genre sur lequel il a travaillé soit dit en passant) :
Parfois aussi pour de vrais films érotiques, comme le Tinto Brass que tu cites, et il existe d'ailleurs une anthologie "Erotica Morricone".
Je ne connais pas Dedicato Al Mare Egeo et ignore donc si c'est un film purement érotique ou s'il y a une volonté intellectuelle (genre avec deux minutes psychologiques). J'avoue que celui-là, je n'ai pas trop cherché à le voir en fait. Mais à travers sa B.O. et quelques images, ça y ressemble un peu en tout cas...


Oui, il a parfois fait de la musique un peu "suggestive" même dans le cinéma mainstream (certains thèmes dans les gialli ou ceux qui accompagnent les scènes dans des boîtes de strip, comme dans Le Casse)...O'Malley a écrit :Tiens en passant, je mets un titre assez inconnu que j'aime beaucoup avec un Morricone en mode polisson et influencé par Bach (dans le film, ça allait très bien avec les formes généreuses de Stefania Sandrelli).
L'Eros et le Thanatos du giallo résumé en un seul thème (et ce, dès le premier film du genre sur lequel il a travaillé soit dit en passant) :
Parfois aussi pour de vrais films érotiques, comme le Tinto Brass que tu cites, et il existe d'ailleurs une anthologie "Erotica Morricone".
Je ne connais pas Dedicato Al Mare Egeo et ignore donc si c'est un film purement érotique ou s'il y a une volonté intellectuelle (genre avec deux minutes psychologiques). J'avoue que celui-là, je n'ai pas trop cherché à le voir en fait. Mais à travers sa B.O. et quelques images, ça y ressemble un peu en tout cas...
J'espère que tu ne m'en voudras pas trop après ta séance...kevin95 a écrit :Mais avec les images très "film noir 80's post giallo deuxième partie de soirée Ciné Dimanche", je me suis rué illico sur mon dealer numérique de péloches.

- Major Tom
- Petit ourson de Chine
- Messages : 22225
- Inscription : 24 août 05, 14:28
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Cool !Kevin95 a écrit :Dès que j'ai un créneau, je te fais un compte-rendu tranquilou année par année.

Ici trois grandes années où dans ma liste il n'y a absolument rien à jeter

- 1969
Quelle honte, salauds ! (Vergogna schifosi) de Mauro Severino (je ne connaissais pas le titre français de celui-là, merci Wiki-je l'ai vu aussi, encore un mauvais film mais avec une musique géniale)
Disons, un soir à dîner (Metti una sera a cena) de Giuseppe Patroni Griffi
La stagione dei sensi (Season of the Senses) de Massimo Franciosa
Le Clan des Siciliens de Henri Verneuil
Le Naturel absolu (L’assoluto naturale/She and He) de Mauro Bolognini
La Tente rouge (The Red Tent/La tenda rossa) de Mikheil Kalatozishvili
L'Oiseau au plumage de cristal (L'Uccello dalle piume di cristallo) de Dario Argento
Eat it (Mangiala) de Francesco Caseratti
Les Intouchables (Gli Intoccabili) de Giuliano Montaldo
Queimada de Gillo Pontecorvo
Fräulein Doktor d'Alberto Lattuada
Sais-tu ce que faisait Staline aux femmes ? (Sai cosa faceva Stalin alle donne) de Maurizio Liverani (dont le thème principal sera repris la B.O. d'Anche se volessi lavorare, che faccio ?)
La Femme invisible (La donna invisible/The Invisible Woman) de Paolo Spinola
Sans rien savoir d'elle (Senza sapere niente di lei) de Luigi Comencini
Una breve stagione (A Brief Season) de Renato Castellani
Cinq hommes armés (Un esercito di cinque uomini/The Five Man Army) de Don Taylor
1970
Sierra torride (Two Mules for Sister Sara) de Don Siegel
Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto) d'Elio Petri
Seule contre la mafia (La moglie più bella) de Damiano Damiani
Metello, ou la naissance de la colère (Metello) de Mauro Bolognini
La Cité de la violence (Città violenta) de Sergio Sollima
Quand les femmes avaient une queue (Quando le donne avevano la coda/When women had tails) de Pasquale Festa Campanile
Tuez le veau gras et faites-le rôtir (Uccidete il vitello grasso e arrostitelo) de Salvatore Samperi
À l'aube du cinquième jour (Dio è con noi/Gott mit uns/The Fifth Day/God with us) de Giuliano Montaldo (musique qui sera célèbre en France pour accompagner de 1971 à 1974 le générique de l'émission littéraire du vendredi soir Italiques présentée par Marc Gilbert)
Les Cannibales (Os Canibais) de Liliana Cavani
La Califfa (Lady Caliph) d'Alberto Bevilacqua
L'Assaut des jeunes loups (Hornet's Nest /I lupi attaccano in branco) de Phil Karlson
Compañeros (Vamos a matar compañeros) de Sergio Corbucci
1971
Il était une fois la révolution (Giù la testa) de Sergio Leone
Forza G (Winged Devils) de Duccio Tessari
Quatre mouches de velours gris (Quatre mosche di velluto grigio) de Dario Argento
La Tarentule au ventre noir de Paolo Cavara
La classe ouvrière va au paradis (La classe operaia va in paradiso) d'Elio Petri
Sacco et Vanzetti (Sacco e Vanzetti) de Giuliano Montaldo
Veruschka (Poesia di una donna) de Franco Rubartelli
Dommage qu'elle soit une putain (Addio fratello crudele) de Giuseppe Patroni Griffi
Incontro de Piero Schivazappa
Le Venin de la peur (Una lucertola con la pelle di donna) de Lucio Fulci
Le Chat à neuf queues (Il gatto a nove code) de Dario Argento
Journée noire pour un bélier (Giornata nera per l’ariete) de Luigi Bazzoni
Photo interdite d'une bourgeoise (Le foto proibite di una signora per bene) de Luciano Ercoli
Le Casse de Henri Verneuil
Je suis vivant ! (La corta notte delle bambole di vetro) d'Aldo Lado
Sans mobile apparent de Philippe Labro

Hallucinant, quand même.

Et en 1969, Morricone a également filé un coup de main à son chef d'orchestre fétiche, Bruno Nicolai, en inversant les rôles.
Ici, c'est Nicolai qui a composé la musique et c'est Morricone qui dirige l'orchestre... et c'est merveilleux (à mi-chemin entre du Morricone, forcément, et... du John Barry) :
***
Petit bonus "Making of" sur ma vidéo, quelques images du storyboard (avant / après), je me suis dit que ça pouvait éventuellement vous intéresser

- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18427
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Top 15 Ennio Morricone
Ennio, qui ne joue pourtant pas les modestes d'ordinaire, a toujours surligné l'importance de Bruno Nicolai durant cette période (lequel pouvait même composer une poignée de titres discretos lorsque le maitre était trop occupé sur des projets importants). Je pense que le surrégime (typiquement italien) de Morricone de 1964 à la fin des 70's doit pas mal au soutient de son arrangeur.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- Major Tom
- Petit ourson de Chine
- Messages : 22225
- Inscription : 24 août 05, 14:28
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Arf, du coup pour Zenabel, je me demande si Morricone n'aurait pas fait plus que juste diriger l'orchestre comme c'est écrit sur le CD (ça lui ressemble beaucoup quand même).Kevin95 a écrit :Ennio, qui ne joue pourtant pas les modestes d'ordinaire, a toujours surligné l'importance de Bruno Nicolai durant cette période (lequel pouvait même composer une poignée de titres discretos lorsque le maitre était trop occupé sur des projets importants). Je pense que le surrégime (typiquement italien) de Morricone de 1964 à la fin des 70's doit pas mal au soutient de son arrangeur.

- Supfiction
- Charles Foster Kane
- Messages : 22920
- Inscription : 2 août 06, 15:02
- Localisation : Have you seen the bridge?
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Ça plaira pas a tout le monde ce type d'interprétation mais je conseille cet album sorti il y a quelques années. Les adaptations des airs d’Il était une fois en Amérique sont terribles.


- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18427
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Top 15 Ennio Morricone
Supfiction a écrit :Ça plaira pas a tout le monde ce type d'interprétation mais je conseille cet album sorti il y a quelques années. Les adaptations des airs d’Il était une fois en Amérique sont terribles.
- Spoiler (cliquez pour afficher)

C'est compliqué de départager le boulot de chacun tant les deux étaient en totale fusion. Même après leur association, les scores de Bruno Nicolai (à quelques exceptions près) gardaient une saveur Morricone-ienne évidente. Pour le cas de Zenabel, il est probable que Nicolai ait bossé la compo et qu'Ennio, par amitié et pour renvoyer l’ascenseur, se soit contenté de diriger.Major Tom a écrit :Arf, du coup pour Zenabel, je me demande si Morricone n'aurait pas fait plus que juste diriger l'orchestre comme c'est écrit sur le CD (ça lui ressemble beaucoup quand même).Kevin95 a écrit :Ennio, qui ne joue pourtant pas les modestes d'ordinaire, a toujours surligné l'importance de Bruno Nicolai durant cette période (lequel pouvait même composer une poignée de titres discretos lorsque le maitre était trop occupé sur des projets importants). Je pense que le surrégime (typiquement italien) de Morricone de 1964 à la fin des 70's doit pas mal au soutient de son arrangeur.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
-
- Monteur
- Messages : 4696
- Inscription : 20 mai 03, 16:41
Re: Top 15 Ennio Morricone
Kevin95 a écrit :Supfiction a écrit :Ça plaira pas a tout le monde ce type d'interprétation mais je conseille cet album sorti il y a quelques années. Les adaptations des airs d’Il était une fois en Amérique sont terribles.
- Spoiler (cliquez pour afficher)

A première vue, je croyais que c'était Hélène Segara .
J'aime bien la gueule de Robert Vaughn en plus.
D'après les infos que j'ai glanées ici et là, Dedicato Al Mare Egeo serait effectivement un film purement érotique avec une petite volonté intellectuelle.Major Tom a écrit : Oui, il a parfois fait de la musique un peu "suggestive" même dans le cinéma mainstream (certains thèmes dans les gialli ou ceux qui accompagnent les scènes dans des boîtes de strip, comme dans Le Casse)...
...
Parfois aussi pour de vrais films érotiques, comme le Tinto Brass que tu cites, et il existe d'ailleurs une anthologie "Erotica Morricone".
Je ne connais pas Dedicato Al Mare Egeo et ignore donc si c'est un film purement érotique ou s'il y a une volonté intellectuelle (genre avec deux minutes psychologiques). J'avoue que celui-là, je n'ai pas trop cherché à le voir en fait. Mais à travers sa B.O. et quelques images, ça y ressemble un peu en tout cas...
De toute façon, la musique d'Ennio Morricone est souvent très sensuelle (tu quotes une musique plus obscure et expérimentale que Morricone a composé pour L'oiseau au plumage de cristal et qui se rapproche d'une composition similaire et encore plus audacieuse qu'il a effectué pour Je suis vivant d'Aldo Lado mais déjà le thème principal du film d'Argento laisse entrevoir l'Eros et Thanatos).
Et beaucoup de films pour lesquels il a participé entre la fin des années 60 et le milieu des années 80 ont des sujets très audacieux et un ton très érotique, voir libertin comme la plupart des giallos tels Le venin de la peur ou Disons, un soir à diner, Photo interdite d'une bourgeoise, Les cannibales, La vénitienne, Le jardin des délices...
Pour la collaboration inversée Bruno Nicolai, compositeur, et Ennio Morricone, arrangeur, c'est le cas pour El chuncho de Damiani et, sans en être totalement sûr, Saludos Hombre de Sollima.
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18427
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Top 15 Ennio Morricone
Je vais jouer les relous mais pour Quién sabe ? (El Chuncho) la musique est de Luis Bacalov tandis que pour Corri uomo corri (Saludos hombre) j'ai cru comprendre que par manque de temps, Morricone a laissé le dossier à Nicolai (tout en donnant un coup de main sur quelques titres comme le dit la légende).O'Malley a écrit :Pour la collaboration inversée Bruno Nicolai, compositeur, et Ennio Morricone, arrangeur, c'est le cas pour El chuncho de Damiani et, sans en être totalement sûr, Saludos Hombre de Sollima.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
-
- Monteur
- Messages : 4696
- Inscription : 20 mai 03, 16:41
Re: Top 15 Ennio Morricone
ah oui en effet c'est Luis Bacalov avec Morricone comme arrangeur... Comme d'habitude, la collaboration se faisait avec Nicolai d'où ma méprise...Kevin95 a écrit :Je vais jouer les relous mais pour Quién sabe ? (El Chuncho) la musique est de Luis BacalovO'Malley a écrit :Pour la collaboration inversée Bruno Nicolai, compositeur, et Ennio Morricone, arrangeur, c'est le cas pour El chuncho de Damiani et, sans en être totalement sûr, Saludos Hombre de Sollima.
- Supfiction
- Charles Foster Kane
- Messages : 22920
- Inscription : 2 août 06, 15:02
- Localisation : Have you seen the bridge?
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Ennio apprécie lui.Kevin95 a écrit :![]()
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 57203
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Top 15 Ennio Morricone
Actuellement en train de réécouter son thème pour Orca.

