Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Pas reussi à m’intéresser à ce « chef d’oeuvre » de Duvivier.
J’en gardait le souvenir lointain d’un film impressionnant dans ses outrances noires (les scenes avec la mere droguée, le fouet,...), un film borderline,...
D’un point de vue technique, rien a redire: la photo est magnifique, l’ambiance impeccable, les decors impressionnants (le restaurant, les rues,...)...
Mais ca m’a pas passionné. Je crois que les raisons en sont les suivantes:
* J’ai du mal avec Gabin: non pas qu’il soit mauvais mais je ne vois que lui et pas le personnage.
* La mise en scene est « classique », lisse. Il n’y a pas de projet de mise en scene. Pas d’experimentation sur la forme, en phase avec le fond. Le film ne bascule pas à un moment vers un truc surprenant, inattendu, percutant. Je repense à Marianne de ma jeunesse où Duvivier essaye des trucs, à un propos plastique. Ici, c’est assez neutre. Il s’en remet aux decors et a sa maitrise incontestable. Ca manque de vie, de prise de risque. On voit la difference meme avec un film comme L’affaire Maurizius où il y a des passages frappants. Meme les deux Don camillo me semblent plus inspirés de ce point de vue, j’entends l’adéquation entre la mise en scene et le propos. Quant on voit ce que Duvivier fait des gros moyens de studio mis a sa disposition dans Lydia ou Anna Karenine, on est un peu déçu. Il y a un truc qui marche pas, on reste dans le reconstitué (avec brio certes) mais cette reconstruction est surjouée sans atteindre les qualités expressionnistes ou naturaliste des films des annees 30 ou de Au royaume des cieux par exemple. Je tente de creuser: le restaurant. Pour le trio de bouchers saisis sur le vif, grace au detail piquant de celui qui ne boit que du lait par exemple, ou le couple de clientes chics que l’on comprend lesbiennes, ou meme le clodo qui veut se payer son reve de gueuleton, on a aussi des trucs qui sonnent faux : les clients americains, le producteur de cinema et ses starlettes, tres #metoo, le gas aux billets, la comtesse au chien, .... Coté cuisine, c’est mieux mais on a du mal à y croire vraiment. Comme si le soin apporté a la reconstitution suffisait.
Autre exemple, l’hotel miteux: la cage d’escallier « too much » avec ses murs souillés, ses bassines sordides, semble sortie d’un muet allemands ou americain mais en 56 ca passe pas. Du moins pas tout seul. La chambre de la drogué idem. Il ne manque aucun lambeau de papier peint qui tombe, aucune tache glauque,... mais c’est un décor qu’il aurait fallu animé/exploité par un vrai geste de mise en scene pour le rendre « vivant ». De ce point de vue, la guinguette et les bords de marne sont plus reussis car moins marqués par cet effort visible décoratif et puis c’est le lieu des scenes l’extérieur qui font respirer l’ensemble.
* le film est un peu trop long, au vu de son programme assez lineaire. Danielle Delorme est tres bien ainsi que globalement les personnages feminins (les meres, la vieille servante). Ce qui permet de passer outre un recit trop rectiligne.
* Le fin est peu credible, cf l’erreur de casting évoqué ci dessus.
Bref, pas convaincu par ce film qui doit sa reputation a sa noirceur, Mais qui pour moi n’a ni la splendeur perverse des oeuvres de studio citées plus haut, ni la sensibilité et/ou l’engagement des oeuvres plus personnelles.
J’en gardait le souvenir lointain d’un film impressionnant dans ses outrances noires (les scenes avec la mere droguée, le fouet,...), un film borderline,...
D’un point de vue technique, rien a redire: la photo est magnifique, l’ambiance impeccable, les decors impressionnants (le restaurant, les rues,...)...
Mais ca m’a pas passionné. Je crois que les raisons en sont les suivantes:
* J’ai du mal avec Gabin: non pas qu’il soit mauvais mais je ne vois que lui et pas le personnage.
* La mise en scene est « classique », lisse. Il n’y a pas de projet de mise en scene. Pas d’experimentation sur la forme, en phase avec le fond. Le film ne bascule pas à un moment vers un truc surprenant, inattendu, percutant. Je repense à Marianne de ma jeunesse où Duvivier essaye des trucs, à un propos plastique. Ici, c’est assez neutre. Il s’en remet aux decors et a sa maitrise incontestable. Ca manque de vie, de prise de risque. On voit la difference meme avec un film comme L’affaire Maurizius où il y a des passages frappants. Meme les deux Don camillo me semblent plus inspirés de ce point de vue, j’entends l’adéquation entre la mise en scene et le propos. Quant on voit ce que Duvivier fait des gros moyens de studio mis a sa disposition dans Lydia ou Anna Karenine, on est un peu déçu. Il y a un truc qui marche pas, on reste dans le reconstitué (avec brio certes) mais cette reconstruction est surjouée sans atteindre les qualités expressionnistes ou naturaliste des films des annees 30 ou de Au royaume des cieux par exemple. Je tente de creuser: le restaurant. Pour le trio de bouchers saisis sur le vif, grace au detail piquant de celui qui ne boit que du lait par exemple, ou le couple de clientes chics que l’on comprend lesbiennes, ou meme le clodo qui veut se payer son reve de gueuleton, on a aussi des trucs qui sonnent faux : les clients americains, le producteur de cinema et ses starlettes, tres #metoo, le gas aux billets, la comtesse au chien, .... Coté cuisine, c’est mieux mais on a du mal à y croire vraiment. Comme si le soin apporté a la reconstitution suffisait.
Autre exemple, l’hotel miteux: la cage d’escallier « too much » avec ses murs souillés, ses bassines sordides, semble sortie d’un muet allemands ou americain mais en 56 ca passe pas. Du moins pas tout seul. La chambre de la drogué idem. Il ne manque aucun lambeau de papier peint qui tombe, aucune tache glauque,... mais c’est un décor qu’il aurait fallu animé/exploité par un vrai geste de mise en scene pour le rendre « vivant ». De ce point de vue, la guinguette et les bords de marne sont plus reussis car moins marqués par cet effort visible décoratif et puis c’est le lieu des scenes l’extérieur qui font respirer l’ensemble.
* le film est un peu trop long, au vu de son programme assez lineaire. Danielle Delorme est tres bien ainsi que globalement les personnages feminins (les meres, la vieille servante). Ce qui permet de passer outre un recit trop rectiligne.
* Le fin est peu credible, cf l’erreur de casting évoqué ci dessus.
Bref, pas convaincu par ce film qui doit sa reputation a sa noirceur, Mais qui pour moi n’a ni la splendeur perverse des oeuvres de studio citées plus haut, ni la sensibilité et/ou l’engagement des oeuvres plus personnelles.
- Ikebukuro
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Film excellent, extrêmement noir et malsain mais quelle brochette d'acteurs :
- Gabin impérial
- Danièle Delorme parfaite alors qu'elle est constamment sous tension, entre sa mère et son désir violent d'échapper à toute cette saleté
- Gérard Blain lumineux, juste, il glisse dans ce film (ben oui, c'est drôle mais le verbe est venu de lui même)
- Lucienne Bogaert en droguée qui vous dégoutterait à vie du moindre joint
- Gabrielle Fontan, parfaite comme toujours en petite vieille...
Gabrielle, dans un autre film (le retrouverez-vous?)

- Gabin impérial
- Danièle Delorme parfaite alors qu'elle est constamment sous tension, entre sa mère et son désir violent d'échapper à toute cette saleté
- Gérard Blain lumineux, juste, il glisse dans ce film (ben oui, c'est drôle mais le verbe est venu de lui même)
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
J’ai tout de suite pensé a l’affaire st fiacre, le role de l’epiciere qui a connu Maigret jeune.Ikebukuro a écrit :
Gabrielle, dans un autre film (le retrouverez-vous?)
Pour Voici le temps des assasins, la distribution et l’interpretation n’est pas le point faible. Nos avis divergent. Ta position reflete bien celle qui etait la mienne quand j’ai decouvert le film mais qui a un peu vacillé a la revoyure.
Un film un peu « extreme » a voir et juger selon sa sensibilité.
- Ikebukuro
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
C'est bien ça, l'Affaire St Fiacre 

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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Bonjour tout le monde,
Je viens de voir le film sur France 3, et étonné par la noirceur du récit, qui aurait pu être dans le cerveau d'un Simenon par exemple (La vérité sur Bébé Donge). En parallèle, c'est la première fois que je vois un film de Duvivier, et c'est vrai qu'il ne caresse pas dans le bon poil l'époque de l'après guerre. Un double jeu qui profile un malaise d'une ancienne génération froide et patriarcale, face à une jeune génération qui veux vivre.
Double jeu du rôle de Danielle Delorme, qui rappelle Les Diaboliques. C'est sobre mais ça touche vif. Décors très Français pour un récit très film de série B Américain (surtout la deuxième partie).
Je viens de voir le film sur France 3, et étonné par la noirceur du récit, qui aurait pu être dans le cerveau d'un Simenon par exemple (La vérité sur Bébé Donge). En parallèle, c'est la première fois que je vois un film de Duvivier, et c'est vrai qu'il ne caresse pas dans le bon poil l'époque de l'après guerre. Un double jeu qui profile un malaise d'une ancienne génération froide et patriarcale, face à une jeune génération qui veux vivre.
Double jeu du rôle de Danielle Delorme, qui rappelle Les Diaboliques. C'est sobre mais ça touche vif. Décors très Français pour un récit très film de série B Américain (surtout la deuxième partie).
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Je ne saurais trop t’inviter a aller trainer par ici :Alibabass a écrit : En parallèle, c'est la première fois que je vois un film de Duvivier
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... &start=540
Tu y trouveras 37 pages de bonnes raisons de découvrir la filmographie atypique, inegale mais souvent passionnante du bonhomme.
Et qui, en tant que metteur en scene, demeure pour moi, l’egal des plus grands.
Bon continuation!
- Cathy
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Quand je pense que la nouvelle vague a "craché" sur le cinéma de Duvivier, le cinéma de papa ! Pourtant c'est un de mes réalisateurs préférés et ce Voici le temps des assassins est excellent.
Mon blog : http://leblogdecathy.over-blog.fr/
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Complètement d'accord avec ta (très bonne) critique : le film ne m'a laissé aucun souvenir pour toutes les raisons que tu évoques, je l'ai trouvé mécanique... Pourtant je suis friand de Gabin deuxième carrière, même si je partage l'allergie de la Nouvelle Vague pour le Naturalisme au cinéma.The Eye Of Doom a écrit : Bref, pas convaincu par ce film qui doit sa reputation a sa noirceur, Mais qui pour moi n’a ni la splendeur perverse des oeuvres de studio citées plus haut, ni la sensibilité et/ou l’engagement des oeuvres plus personnelles.
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
Non mais ALLOOOO quoi
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
N'oublions JAMAIS que Julien DUVIVIER est entré dans l'immortalité cinématographique pour "Le Petit Monde de don Camillo".
On aime ou non, ce film nous survivra à tous bien bien après notre mort!
Pour l'anecdote, si Fernandel marche d'une façon aussi pataude, c'est qu'on l'avait forcé à utiliser des chaussures trop grandes, ce qui lui donné ce caractère un peu Dingo, maladroit.
Sinon j'ai deux tomes des livres de Giovanni GUARESCHI; ils se lisent bien pour qui est fan. A noter que "Le Petit Monde de don Camillo" est le numéro 1 de la collection "J'ai Lu"

On aime ou non, ce film nous survivra à tous bien bien après notre mort!
Pour l'anecdote, si Fernandel marche d'une façon aussi pataude, c'est qu'on l'avait forcé à utiliser des chaussures trop grandes, ce qui lui donné ce caractère un peu Dingo, maladroit.
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Intéressante l’anecdote des chaussures !Ikebukuro a écrit :N'oublions JAMAIS que Julien DUVIVIER est entré dans l'immortalité cinématographique pour "Le Petit Monde de don Camillo".
On aime ou non, ce film nous survivra à tous bien bien après notre mort!
Pour l'anecdote, si Fernandel marche d'une façon aussi pataude, c'est qu'on l'avait forcé à utiliser des chaussures trop grandes, ce qui lui donné ce caractère un peu Dingo, maladroit.
Sinon j'ai deux tomes des livres de Giovanni GUARESCHI; ils se lisent bien pour qui est fan. A noter que "Le Petit Monde de don Camillo" est le numéro 1 de la collection "J'ai Lu"![]()
J’ai dit tout le bien que je pensais des deux Don Camillo dans le topic Duvivier.
- Erich
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Pas aussi systématiquement qu'on le dit : à sa sortie, Voici le temps des assassins a eu une bonne critique de Truffaut dans Arts et a reçu un accueil globalement positif de André S. Labarthe dans Les Cahiers du Cinéma et de Jacques Doniol-Valcroze dans France Observateur. Truffaut y voit le meilleur film de Duvivier, "celui dans lequel on peut sentir sur tous les éléments : scénario, mise en scène, jeu, photo, musique, etc. un contrôle qui est celui d'un cinéaste parvenu à une totale sûreté de lui-même, et de son métier". Pour Doniol-Valcroze, "la réalisation est puissante, sobre, dense avec cette sorte d'épaisseur, de profondeur, d'intelligence qui fait en littérature l'art d'un Balzac ou d'un Tolstoï."Cathy a écrit :Quand je pense que la nouvelle vague a "craché" sur le cinéma de Duvivier(...).
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
C’est quand meme marrant de lire ca.
Les commentaires s’appliquent plus pour Panique, Pepe le Moko ou Marrianne de ma jeunesse...
Quand a Balzac, David Golder me paraittrait plus justifié.
Les commentaires s’appliquent plus pour Panique, Pepe le Moko ou Marrianne de ma jeunesse...
Quand a Balzac, David Golder me paraittrait plus justifié.
- Ikebukuro
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
"Marianne de ma jeunesse" est un très beau film, un conte de fée moderne, genre "La belle au bois dormant".
Si vous ne l'avez pas vu, je vous le recommande CHAUDEMENT!

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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
C'est plus "Le grand Meaulnes" je trouve, en très réussi, contrairement à la version d'Albicocco.Ikebukuro a écrit :"Marianne de ma jeunesse" est un très beau film, un conte de fée moderne, genre "La belle au bois dormant".
Si vous ne l'avez pas vu, je vous le recommande CHAUDEMENT!
Bizarrement ce très beau film a été tourné avec deux acteurs différents.
Pierre Vaneck dans le rôle principal et horst buchholz dans un petit rôle dans le réfectoire pour la version française.
Horst buchholz dans le rôle principal et Pierre Vaneck dans un petit rôle dans le réfectoire pour la version allemande.
Les deux actrices sont très belles, Marianne Hold, qui fut l'épouse de Frederic Stafford et Isabelle Pia.
J'avais rencontré Pierre Vaneck en 1967 dans une crêperie de Perros-Guirec je lui avais dit que je me souvenais des dialogues
( Les heures passent, les minutes et secondes s'écoulent ), il ne s'en souvenait plus, il a éclaté de rire.
Préparez vos mouchoirs.
- Jeremy Fox
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Re: Voici le temps des assassins (Julien Duvivier - 1956)
Je laisse cette fois afin que l'on ne m'accuse plus de censure.
Pour ta gouverne et c'est juste un conseil de bonne utilisation des outils à ta disposition, à la place d'avoir répondu à nouveau au premier message (ce qui fait doublon tu l'admettras), tu aurais pu éditer ton propre message (grâce au petit crayon) en rajoutant ta première phrase.
Pour ta gouverne et c'est juste un conseil de bonne utilisation des outils à ta disposition, à la place d'avoir répondu à nouveau au premier message (ce qui fait doublon tu l'admettras), tu aurais pu éditer ton propre message (grâce au petit crayon) en rajoutant ta première phrase.