Dvdclassik : cinéma et DVD

Rockatansky a écrit :Un de mes anciens profs

Lequel ?

Viviani

Veinard. Rien qu'à le lire, je l'imagine extrêmement sympathique. Tu confirmes ?

Oui il était plutôt sympa, il avait ses marottes (Hitchcok, Lubitsch, Truffaut) à force ça nous faisait marrer.
Je me souviens qu'un jour j'avais présenter Halloween en analyse ciné, ce qui ne manquait pas de détonner
Et il m'avait défendu sous la risée de mes petits camarades, disant que Carpenter était un excellent réalisateur

Ça ne m'étonne pas.

Jeremy Fox a écrit :

Kevin95 a écrit :N.T. Ninh est un excellent critique qui touche pas mal sa bille au sujet du cinéma hollywoodien classique. J'espère de tout cœur trouver les bouquins au pauvre Noz joignable depuis chez moi.

Quant à Viviani, il est déjà au moins l'auteur d'un des meilleurs bouquins sur le western, à mon avis. A signaler que leur style à tous deux est très fluide, pas du tout obscur.

Michel Ciment a aussi un style fluide et point pompeux (à savoir compréhensible pour la pékine moyenne que je suis), incluant des annecdotes annexes, qui fait que quand je tombe sur un Positif, je lis ses critiques même sur des films qui ne m'intéresseraient pas à priori, c'est rare. Mais c'est aussi un cas un peu exceptionnel du à un statut mythique auquel je l'associe presque toujours, à savoir la discussion filmée chez Joe Manckievicz (dans le Maine je crois), quand je pense qu'il a respiré le même air que lui !! ...bon j'exagère Et puis c'est une très belle interview (elle est en bonus dans le coffret Carlotta), Mankiewicz est relax et désabusé mais vous mettrait presque sur orbite quand il évoque ses films et Hollywood. Je recommande du même dans la collection Découvertes Gallimard "Fritz Lang-Le meurtre et la loi" et " Le crime à l'écran-Une histoire de l'Amérique".

moonfleet a écrit :

Jeremy Fox a écrit : Quant à Viviani, il est déjà au moins l'auteur d'un des meilleurs bouquins sur le western, à mon avis. A signaler que leur style à tous deux est très fluide, pas du tout obscur.

Michel Ciment a aussi un style fluide et point pompeux (à savoir compréhensible pour la pékine moyenne que je suis), incluant des annecdotes annexes, qui fait que quand je tombe sur un Positif, je lis ses critiques même sur des films qui ne m'intéresseraient pas à priori, c'est rare.

Pareil pour moi.

Moi, j'aime les textes abscons de Eithne O'Neill

Spoiler (cliquez pour afficher)

bien sur que non, c'est insupportable...

Jack Carter a écrit :Moi, j'aime les textes abscons de Eithne O'Neill

Spoiler (cliquez pour afficher)

bien sur que non, c'est insupportable...

L'ancienne compagne de Bertrand Tavernier je crois , elle a rédigé un excellent bouquin (et l'un des premiers en France )sur Stephen Frears, dans cette même collection d'ailleurs... Elle est très référentielle, avec d'autres domaines que le cinéma, mais je la suis bien.

moonfleet a écrit :

Jack Carter a écrit :Moi, j'aime les textes abscons de Eithne O'Neill

Spoiler (cliquez pour afficher)

bien sur que non, c'est insupportable...

L'ancienne compagne de Bertrand Tavernier je crois , elle a rédigé un excellent bouquin (et l'un des premiers en France )sur le grand Stephen Frears, dans cette même collection d'ailleurs...

je vais rarement au bout de ses critiques ou de ses papiers tellement ça se regarde ecrire, et c'est tres souvent incomprehensible pour mon pauvre cerveau...

Jack Carter a écrit :Moi, j'aime les textes abscons de Eithne O'Neill

Spoiler (cliquez pour afficher)

bien sur que non, c'est insupportable...

Je me demande si je ne les comprendrais pas mieux si elle les écrivait en grec. Et au bout du compte, on ne sait jamais si elle a aimé ou non les films qu'elle critique

A une certaine époque, je pensais que "Eithne O'Neill" était un pseudo collectif utilisé par la réfaction de Positif pour se foutre de la gueule des Cahiers du Cinéma "période sabir incompréhensible".
Mais non en fait.

Roy Neary a écrit :A une certaine époque, je pensais que "Eithne O'Neill" était un pseudo collectif utilisé par la réfaction de Positif pour se foutre de la gueule des Cahiers du Cinéma "période sabir incompréhensible".
Mais non en fait.

Vous me rassurez, je pensais être seul dans ce cas.

Reçu...



Je n'ai pas pu m’empêcher... j'ai (bien) commencé à le bouquiner. Fallait s'y attendre, c'est jouissif et ça se lit en deux temps trois mouvements.