1kult a écrit :C'est une formule toute faite, mais ça me semble plutôt juste non ? A elle seule, elle représente tout un pan d'un certain cinéma (B, Z, X) aujourd'hui encore.
J'ai vu sur ton (?) site effectivement une image donnant la répartition de tous ses films par genre, elle a tourné 50% de ses films dans d'autres genres (comédie, policier, etc).
Sinon, pour faire mon Bernard Pivot, une épopée est un long poème d’envergure nationale narrant les exploits historiques ou mythiques d’un héros ou d’un peuple. Bon.. d'un certain point de vue...
Jerome a écrit :tu nous diras ce que vaut le Noiret. je suis curieux de savoir s'il parle beaucoup de de Broca
Je me permets de couper la route d'1Kult.
Livre très attachant dans lequel Noiret se livre sincèrement, y compris au sujet des tournages difficiles notamment l'ego imposant d'Arcady sur LE GRAND CARNAVAL (mais il est très light sur ses brouilles avec Boisset sur UN TAXI MAUVE ou son premier rendez-vous raté avec Enrico sur LE SECRET). Pas beaucoup de mots sur de Broca en revanche, juste (de mémoire) son entente radieuse avec Girardot sur TENDRE POULET ou son regret que CHOUANS ! n'ait pas marché.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Jerome a écrit :tu nous diras ce que vaut le Noiret. je suis curieux de savoir s'il parle beaucoup de de Broca
Je me permets de couper la route d'1Kult.
Livre très attachant dans lequel Noiret se livre sincèrement, y compris au sujet des tournages difficiles notamment l'ego imposant d'Arcady sur LE GRAND CARNAVAL (mais il est très light sur ses brouilles avec Boisset sur UN TAXI MAUVE ou son premier rendez-vous raté avec Enrico sur LE SECRET). Pas beaucoup de mots sur de Broca en revanche, juste (de mémoire) son entente radieuse avec Girardot sur TENDRE POULET ou son regret que CHOUANS ! n'ait pas marché.
Très bien ce bouquin édité par le Centre Pompidou !! Un des rares livre français sur le cinéma anglais en général, petit et concis, avec des textes de Michel Ciment ( John Boorman, Joseph Losey ), François Guérif ( Agatha Christie et le whodunit ), Bertrand Tavernier ( Robert Hamer ), Marc Cirusuelo ( Michael Powell ), N.T Binh bien sur ( Le rêve d'Alexander Korda ) qui a aussi écrit dans la collection RIVAGES/CINEMA un livre très abordable et intéressant sur Ernst Lubitsch ( en collaboration avec Christian Viviani )
Dernière modification par moonfleet le 7 nov. 15, 20:01, modifié 2 fois.
moonfleet a écrit :Très bien ce bouquin édité par le Centre Pompidou (dixit) !! Un des rares livre français sur le cinéma anglais en général, petit et concis, avec des textes de Michel Ciment ( John Boorman, Joseph Losey ), François Guérif ( Agatha Christie et le whodunit ), Bertrand Tavernier ( Robert Hamer ), Marc Cirusuelo ( Michael Powell ), N.T Binh bien sur ( Le rêve d'Alexander Korda ) qui a aussi écrit dans la collection RIVAGES/CINEMA un livre très abordable et intéressant sur Ernst Lubitsch ( en collaboration avec Christian Viviani )
Le bouquin Typiquement british, je me souviens l'avoir potassé et trouvé fort intéressant. Je ne connais pas le Ernst Lubitsch et me fie à ton avis !
N.T. Ninh est un excellent critique qui touche pas mal sa bille au sujet du cinéma hollywoodien classique. J'espère de tout cœur trouver les bouquins au pauvre Noz joignable depuis chez moi.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Kevin95 a écrit :N.T. Ninh est un excellent critique qui touche pas mal sa bille au sujet du cinéma hollywoodien classique. J'espère de tout cœur trouver les bouquins au pauvre Noz joignable depuis chez moi.
Quant à Viviani, il est déjà au moins l'auteur d'un des meilleurs bouquins sur le western, à mon avis. A signaler que leur style à tous deux est très fluide, pas du tout obscur.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky