Classement des sorties Cinéma/VOD 2025

[Tina Quintero]

L'Énigme Velázquez 8/10
J'adore les documentaires sur la peinture et les musées, et celui-ci est une grande réussite. Il n'est pas exempt de défauts (laideur du numérique sur plusieurs plans, manque d'homogénéité, intrusion dispensable de créateurs actuels - même si je comprends l'idée...) mais, surtout, offre 1h30 d'érudition et d'émerveillement. La filmographie de Stéphane Sorlat en tant que producteur indique une obsession pour l'Espagne : il a co-financé des films de Bigas Luna (Volavérunt, déjà une histoire de peinture), Carlos Saura et Rodrigo Sorogoyen, ou encore de Cédric Klapisch à Barcelone (L'Auberge espagnole) et Christophe Honoré aux Canaries (Ma Mère). Cette première et probablement unique réalisation, à 69 ans, est donc celle d'un passionné. On ressent concrètement une vie à admirer Velázquez (cf. la fin où il filme sa femme devant Les Ménines), la fréquentation répétée des musées, les connaissances accumulées. Alors il fait des choix judicieux, va bien sûr à Séville et Madrid, mais interviewe aussi Guillaume Kientz à l'Hispanic Society de New York ou Isabel Coixet au musée Picasso de Barcelone, n'oublie pas de faire intervenir (et vraiment, ce n'est pas du tout du name-dropping) Édouard Manet et Francis Bacon, Michel Foucault et Jean-Luc Godard, inclut si judicieusement le théâtre de Calderón... Sans être virtuose, mais avec plusieurs moments magnifiques comme le lent dé-zoom sur L'Infante Marguerite en bleu ou le montage de regards peints (biche comprise), ce documentaire possède une densité rare, témoigne d'une sincère envie de partager une passion, avec lesquelles ne saurait rivaliser un réalisateur confirmé mais qui se serait contenté de lire une biographie et de faire appel à un consultant. On en ressort dans un état de plénitude rare. Avis aux amateurs - nombreux ici -, le narrateur n'est autre que Vincent Lindon.

[Jeremy Fox]

L'attachement : 7.5/10

[Velvet]

Yosai, le monde des esprits 7/10 (la BO+++)
The monkey 6/10

[Boubakar]

Presence : 5/10

[Rockatansky]

F*ckin’ Fred : Comme un Léopard - Clément Cotentin - 6/10

[Spongebob]

The Monkey : 5/10

Des moments bien fun mais aussi d'autres bien chiants (tout ce qui tourne autour du gosse). Le ton est étrange, oscillant entre la farce et le drame sans jamais vraiment choisir. Les dialogues sont affligeants, pas aidés par une VF absolument ignoble. On peut passer un bon moment si on prend le film pour ce qu'il est, c'est à dire une grosse blague. En revanche ceux qui sont venus chercher du frissons risquent d'être fortement déçus.

[Dunn]

Oui comme 95% des films d'horreur d'aujourd'hui qui cherchent plus à amuser qu'à faire peur.

[Wulfa]

Personne n'y comprend rien, Yannick Kergoat : 5/10.

Un film qui intéresse le débat public, mais très peu le cinéma.

[santiago]

Bonjour l'asile : 5,5/10
Yokai-le monde des esprits : 7/10
Black Dog : 6,5/10
Les filles du Nil : 6/10
Le système Victoria : 6,5/10
Brujeria-Sorcellerie : 5,5/10
Anna : 8/10

[Harkento]

L'attachement (Carine Tardieu) : 7,5 / 10
Becoming Led Zeppelin (Bernard MacMahon) : 7,5 / 10
Le jardin zen (Naoko Ogigami) : 7 / 10
Un parfait inconnu (James Mangold) : 7 / 10
Mon gâteau préféré (Maryam Moghadam, Behtash Sanaeeha) : 7 / 10
La Pampa (Antoine Chevrollier) : 7 / 10
5 septembre (Tim Fehlbaum) : 6,5 / 10
Maria (Pablo Larrain) : 6,5 / 10
Jane Austen a gâché ma vie (Laura Piani) : 6 / 10
Presence (Steven Soderbergh) : 6 / 10
The Brutalist (Brady Corbet) : 6 / 10
Wallace et Gromit : La palme de la vengeance (Merlin Crossingham, Nick Park) : 5,5 / 10
The monkey (Osgood Perkins) : 5,5 / 10
Companion (Drew Hancock) : 4 / 10
Better Man (Michael Gracey) : 3,5 / 10

[Karras]

Mise à jour du classement

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Le Quatrième mur
Jane Austen a gâché ma vie
Paddington au Pérou
La Mer au loin
Broken Rage [Amazon Prime]
A Real Pain
Queer

[Coxwell]

Oddity - 3/10

[tchi-tcha]

Je rejoins l'enthousiasme général :

The Monkey (Osgood Perkins) 5,5/10
(Quand Perkins Jr. adapte une nouvelle trop courte de Stephen King en y injectant trop d'humour, on se retrouve avec un cousin des Destination Finale qui passe à côté de toutes les thématiques qui s'offraient à lui (la famille, la mort, l'aspect fantastique), et devant lequel je me suis trop souvent demandé ce que j'avais bien pu aimer dans son précédent Longlegs. Ne pas se prendre au sérieux n'empêche pas de faire les choses sérieusement, ici c'est un peu trop léger.)

[odelay]

A better man : 7/10

[Karras]

Nickel Boys [Amazon Prime] (5/10) : Belle photo, mais récit trop fragmenté.