Dvdclassik : cinéma et DVD

The Gorge : 4/10

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C'est quand même un petit peu foireux, tout ça. Le concept (deux personnages séparés d'une centaine de mètres et surveillant une fosse cachant de mystérieuses créatures), pourtant intriguant sur le papier, est très vite abandonné, on nous dévoile les créatures bien trop rapidement, on a évidemment droit à une partie romantique qui donne l'impression que le film ne sait plus très bien ce qu'il tient à nous raconter...

Avant de se transformer en énième film de créatures en full CGI (mais au concept étonnant, faut le reconnaître : ce mélange entre l'humain, l'animal et le végétal parvient à produire quelques images marquantes...même si on pense très fort à The Thing et au boulot de Rob Bottin) que l'on dézingue à tour de bras avec des gros guns sans qu'on en ait quoique ce soit à battre.
Sans parler de la base secrète où l'on tombe par un heureux hasard sur une bobine de film expliquant tout le mystère...bref, ça devient un actioner générique as fuck.

Une prod' de plateforme de plus, pas même sauvée par l'évidente alchimie entre Miles Teller et Anya Taylor-Joy (elle est déjà fascinante en temps normal, mais alors en brune et avec les cheveux courts...wow).

Une note dans la foulée de celles déjà attribuées, merci donc de confirmer que le visionnage est absolument (in)dispensable

Flol a écrit : ↑28 févr. 25, 13:33 The Gorge : 4/10

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C'est quand même un petit peu foireux, tout ça. Le concept (deux personnages séparés d'une centaine de mètres et surveillant une fosse cachant de mystérieuses créatures), pourtant intriguant sur le papier, est très vite abandonné, on nous dévoile les créatures bien trop rapidement, on a évidemment droit à une partie romantique qui donne l'impression que le film ne sait plus très bien ce qu'il tient à nous raconter...

Avant de se transformer en énième film de créatures en full CGI (mais au concept étonnant, faut le reconnaître : ce mélange entre l'humain, l'animal et le végétal parvient à produire quelques images marquantes...même si on pense très fort à The Thing et au boulot de Rob Bottin) que l'on dézingue à tour de bras avec des gros guns sans qu'on en ait quoique ce soit à battre.
Sans parler de la base secrète où l'on tombe par un heureux hasard sur une bobine de film expliquant tout le mystère...bref, ça devient un actioner générique as fuck.

Une prod' de plateforme de plus, pas même sauvée par l'évidente alchimie entre Miles Teller et Anya Taylor-Joy (elle est déjà fascinante en temps normal, mais alors en brune et avec les cheveux courts...wow).

Et je la trouve encore plus fascinante dans les première images de Lucky, la nouvelle série dans laquelle est est a bientot l'affiche ou elle est rousse. Bon apres je suis pas objectif aussi

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The Brutalist : 6/10

Wolf Man - Leigh Whannell : 6.5/10
Un parfait inconnu - James Mangold : 6/10
Vol à haut risque – Mel Gibson : 6/10
Vous êtes cordialement invités - Nicholas Stoller : 4.5/10
The Brutalist - Brady Corbet : 4/10
The Gorge – Scott Derrickson : 4/10

Bastion 36 - Olivier Marchal - 4,5/10

Mercato 6/10

Queer (3,5/10)
A real pain (5/10)

Creation of the Gods 2 : Demon Force 7/10

Contre attaque - Chava Cartas - 6/10

Presence - 3/10

Dragon de Ashwath Marimuthu 6/10

The Monkey : 5.5/10

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Je ne me souviens pas assez de la nouvelle originale de King pour jouer au petit jeu des comparaisons. Je me contenterais donc de dire que l’approche bourrée d’humour noir de Perkins était sans doute la bonne, d’autant plus que Perkins restant lui-même, il parvient aussi à y injecter cette espèce de noirceur atmosphérique qui imprègne la totalité de sa filmographie.

Le problème, c’est que tous ces éléments ont beaucoup de mal à cohabiter. J’aurais aimé y voir des ruptures de tons bienvenues, j’y ai plutôt vu un mélange des genres pas toujours bien géré (les petits instants dramatiques avec le fiston m’ont un peu soulé).
Comme si Perkins ne savait sur quel pied danser, n’y allant jamais à fond dans l’aspect farce (oui on pense forcément aux Final Destination), puisque le côté ludique des mises à mort est terriblement sous-exploité - en dehors de la mort rigolote de la tante, toutes les autres sont hyper attendues.
Et n’y allant jamais à fond non plus dans l’aspect très sombre de la mort soudaine et inéluctable, du deuil et de la perte de l’être cher. Tout semble traité un peu n’importe comment, par-dessus la jambe.

En revanche, j’aime beaucoup le prologue et la scène finale. J’aurais juste souhaité que tout le film soit à cette image, proche du grand-guignol, et pas simplement à un mélange des genres pas toujours bien digéré.

Queer 5.5/10