Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014 [clos]
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Nightcall 7/10
Magic in the Moonlight 4.5/10
Le Septième Fils 5.5/10
Prédestination 5/10
Des Lendemains qui chantent 4/10
Magic in the Moonlight 4.5/10
Le Septième Fils 5.5/10
Prédestination 5/10
Des Lendemains qui chantent 4/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Nymphomaniac vol.1 (von Trier) 6/10
Un plaisir de la narration, un humour malicieux qui autorise les métaphores les plus farfelues et les provocations les plus grossières, et qui débouche sur quelques instants à la frontière précise entre le sublime et le grotesque. On ne peut pas dire que j'adhère à la vision du monde développé par le film, mais l'ensemble est assez stimulant...
Nymphomaniac vol.2 (von Trier) 3,5/10
Bon, le côté sardonique, sale gosse, de von Trier a repris le dessus dans une seconde partie qui se complaît un peu dans le sordide ou le violent. Presque encore plus grave à mes yeux, le film me paraît désamorcer une partie de son dispositif (et donc, quelque part, de sa crédibilité artistique) en deux occasions, l'une formelle (le montage alterné lors des séances avec Jamie Bell) et l'autre "morale" (même si le mot ferait rire le cinéaste) avec cette toute fin, un peu crétinement gratuite. Pas spécialement hâte de voir la director's cut.
Les rayures du zèbre (Mariage) 6/10
J'aime décidément vraiment le cinéma de Benoît Mariage. Ce n'est pas Cowboy, très grand film à mes yeux, mais ce film trouve (encore une fois) son ton, drôle et grave à la fois, pour parler, en sourdine, de plein de choses pertinentes...
La Grande aventure Lego (Miller & Lord) 3,5/10
Honnêtement, j'ai peiné à aller au bout (ça aurait été dommage, la fin fait un peu de bien) : couleurs criardes, montage hystérique, humour constamment décalé qui désamorce tout enjeu, quel qu'il soit... Je ne dois pas être suffisamment Lego-geek pour apprécier, mais hormis la pure prouesse d'animation (sur laquelle j'aimerais bien, par curiosité technique, quelques détails), je vois bien peu de cinéma là-dedans.
Le Conte de la Princesse Kaguya (Takahata) 7,5/10
Animation délicate mais qui sait saisir quand elle se déchaîne ; narration assez virtuose (même s'il y a un tout petit creux au moment des "5 prétendants") ; et surtout, cette tristesse incroyable, profonde, qui renverse dans sa dernière partie. Je fais partie des conquis
Under the skin (Glazer) 8/10
L'expérience de cinéma de l'année. Je comprends que l'on n'y adhère pas (et je n'adhère pas à tout), mais il y a indéniablement plus (au niveau esthétique comme thématique) dans certains plans de ce film que dans beaucoup de longs-métrages entiers vus cette année. Le plus précieux, pour moi, c'est la manière dont le film m'a stimulé sensoriellement, spirituellement, intellectuellement... je n'y reviendrai pas tout de suite (il doit mûrir), mais j'y reviendrai.
Magic in the moonlight (Allen) 6/10
Photo exquise, acteurs délicieux, dialogues aux petits oignons... mais construction en trois actes un peu laborieuse et sans réelles surprises. Appréciable, mais mineur.
Interstellar (Nolan) 6,5/10
Je loue l'ambition du film, et reconnais bon nombre de ses qualités, mais déplore parfois les excès dans le spectaculaire ou dans la narration, qui font passer trop vite sur des moments superbes, limités dès lors à de simples fulgurances. Ceci étant, le propos général du film - qui est peut-être ce qui me reste le plus, une fois le brouhaha dissipé - est vraiment émouvant.
Le Hobbit : la Bataille des Cinq armées (Jackson) 4/10
On s'accuse de trahison, on gonfle les pectoraux et on menace de se faire la guerre pendant une heure. Puis on se fout sur la gueule pendant une heure et demie. Et à la fin, j'ai un peu mal à la tête et je suis bien en peine d'expliquer à ceux qui me demandent pourquoi ça fait 2h30 s'il ne s'y passe que ça...
Un plaisir de la narration, un humour malicieux qui autorise les métaphores les plus farfelues et les provocations les plus grossières, et qui débouche sur quelques instants à la frontière précise entre le sublime et le grotesque. On ne peut pas dire que j'adhère à la vision du monde développé par le film, mais l'ensemble est assez stimulant...
Nymphomaniac vol.2 (von Trier) 3,5/10
Bon, le côté sardonique, sale gosse, de von Trier a repris le dessus dans une seconde partie qui se complaît un peu dans le sordide ou le violent. Presque encore plus grave à mes yeux, le film me paraît désamorcer une partie de son dispositif (et donc, quelque part, de sa crédibilité artistique) en deux occasions, l'une formelle (le montage alterné lors des séances avec Jamie Bell) et l'autre "morale" (même si le mot ferait rire le cinéaste) avec cette toute fin, un peu crétinement gratuite. Pas spécialement hâte de voir la director's cut.
Les rayures du zèbre (Mariage) 6/10
J'aime décidément vraiment le cinéma de Benoît Mariage. Ce n'est pas Cowboy, très grand film à mes yeux, mais ce film trouve (encore une fois) son ton, drôle et grave à la fois, pour parler, en sourdine, de plein de choses pertinentes...
La Grande aventure Lego (Miller & Lord) 3,5/10
Honnêtement, j'ai peiné à aller au bout (ça aurait été dommage, la fin fait un peu de bien) : couleurs criardes, montage hystérique, humour constamment décalé qui désamorce tout enjeu, quel qu'il soit... Je ne dois pas être suffisamment Lego-geek pour apprécier, mais hormis la pure prouesse d'animation (sur laquelle j'aimerais bien, par curiosité technique, quelques détails), je vois bien peu de cinéma là-dedans.
Le Conte de la Princesse Kaguya (Takahata) 7,5/10
Animation délicate mais qui sait saisir quand elle se déchaîne ; narration assez virtuose (même s'il y a un tout petit creux au moment des "5 prétendants") ; et surtout, cette tristesse incroyable, profonde, qui renverse dans sa dernière partie. Je fais partie des conquis
Under the skin (Glazer) 8/10
L'expérience de cinéma de l'année. Je comprends que l'on n'y adhère pas (et je n'adhère pas à tout), mais il y a indéniablement plus (au niveau esthétique comme thématique) dans certains plans de ce film que dans beaucoup de longs-métrages entiers vus cette année. Le plus précieux, pour moi, c'est la manière dont le film m'a stimulé sensoriellement, spirituellement, intellectuellement... je n'y reviendrai pas tout de suite (il doit mûrir), mais j'y reviendrai.
Magic in the moonlight (Allen) 6/10
Photo exquise, acteurs délicieux, dialogues aux petits oignons... mais construction en trois actes un peu laborieuse et sans réelles surprises. Appréciable, mais mineur.
Interstellar (Nolan) 6,5/10
Je loue l'ambition du film, et reconnais bon nombre de ses qualités, mais déplore parfois les excès dans le spectaculaire ou dans la narration, qui font passer trop vite sur des moments superbes, limités dès lors à de simples fulgurances. Ceci étant, le propos général du film - qui est peut-être ce qui me reste le plus, une fois le brouhaha dissipé - est vraiment émouvant.
Le Hobbit : la Bataille des Cinq armées (Jackson) 4/10
On s'accuse de trahison, on gonfle les pectoraux et on menace de se faire la guerre pendant une heure. Puis on se fout sur la gueule pendant une heure et demie. Et à la fin, j'ai un peu mal à la tête et je suis bien en peine d'expliquer à ceux qui me demandent pourquoi ça fait 2h30 s'il ne s'y passe que ça...
Me, I don't talk much... I just cut the hair


- Joe Gillis
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Cold in July: 4/10
Whiplash: 8,5/10
The Ryan initiative: 4,5/10
La grande aventure de Lego: 3/10
Les trois frères le retour: 2/10
Le crocodile du Botswanga: 5/10
La belle et la bête: 4/10
Whiplash: 8,5/10
The Ryan initiative: 4,5/10
La grande aventure de Lego: 3/10
Les trois frères le retour: 2/10
Le crocodile du Botswanga: 5/10
La belle et la bête: 4/10
- Karras
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Locke (6/10) : L'exercice de style ne rend pas très passionnant ce qui se passe à l'écran, mais malgré tout une certaine tension apparait tout au long de cette suite de conversations téléphoniques et rend l'ensemble assez immersif.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Comme il ne me reste que très peu de sorties 2014 à voir en salles, je mets les notes ici pour les films vus en salles en 2015 :
The Riot Club (sorti 31/12) 9/10
Coming home (sorti 17/12) 8/10
The Riot Club (sorti 31/12) 9/10
Coming home (sorti 17/12) 8/10
Dernière modification par aelita le 3 janv. 15, 15:32, modifié 2 fois.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
le topic 2015 existe deja 


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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Ce sont des films sortis en 2014 (le 31), donc c'est OK.Jack Carter a écrit :le topic 2015 existe deja
Dernière modification par Karras le 3 janv. 15, 15:24, modifié 1 fois.
- Jack Carter
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
ah oui...la fatigueKarras a écrit :Ce sont des films sorties en 2014 (le 31), donc c'est OK.Jack Carter a écrit :le topic 2015 existe deja


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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Cold in July (Jim Mickle) : 7/10.
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
A most violent Year : 7/10
Une alimentation saine dirige l'énergie sexuelle dans les parties concernées
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Asterix: le domaine des dieux: 7/10
Vraiment une adaptation réussie mais j'ai l'impression qu'il manque un peu de potion magique quand même...
Vraiment une adaptation réussie mais j'ai l'impression qu'il manque un peu de potion magique quand même...
Elever des enfants c'est comme ranger sa collection de films : c'est pas comme on voudrait mais c'est bien quand même.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
Les Pingouins de Madagascar : 5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2014
A MOST VIOLENT YEAR (J. C. Chandor) : 7,5/10