Dvdclassik : cinéma et DVD

Twisters : 3.5/10

A son image (5/10) : Interprétation fluctuante et narration en voix off n'aide pas à rentrer dans le film malgré son sujet historique.
Wicked (3,5/10) : Même si c'est techniquement bien foutu, c'est d'un ennui, et les chansons sans relief n'aident pas.
La prisonnière de Bordeaux (5/10) : Même si le début du film propose un bel échange entre les deux actrices, la suite improbable du scénario laisse un peu de marbre.

Los Delincuentes : 5/10

Trap : 5.5/10

Anora : 7/10
J'étais parti pour lui donner un point de moins mais le film fait bien son chemin dans ma tête depuis sa découverte.

Le robot sauvage : 6.5/10
Bis repetita : 6/10
Anora : 6/10
Le deuxième acte : 6/10
Un p'tit truc en plus : 6/10
Vaiana 2 : 5.5/10
Loups-garous : 5/10
Ellian et le sortilège : 4/10

Les chambres rouges - Pascal Plante - 5,5/10

Septembre sans attendre : 7,5/10

Pourquoi tu souris ? - Christine Paillard & Chad Chenouga - 5,5/10

Le comte de Monte-Cristo : 5/10

-Good Boy: 6/10

EliWallou a écrit : ↑2 janv. 25, 20:56

odelay a écrit : ↑2 janv. 25, 20:43
Oui comme Sidney Sweeney et Margaret Qualey, mais même si elle était bien meilleure que dans Scream 5 (je viens de le revoir, son interprétation ne sort pas du tout du lot, les comédiens n’ayant pas grand chose à défendre), elle n’avait pas franchement marqué.

Remarquée dans la touchante série Better Things de Pamela Adlon & Louis C.K.
52 épisodes entre 2016 et 2022, soit un excellent terrain pour grandir en tant qu'actrice.

Effectivement c’est ce que j’allais écrire, ses talents étaient très notables dans cette série, même si je me suis arrêté au milieu de la S3 car c’était devenu passablement ennuyeux…

Vingt dieux 7/10
Mon inséparable 6.5/10

Un petit truc en plus : 6/10

Un divertissement populaire qui fonctionne très bien. Bon, Artus n'a aucune présence et compte un peu trop sur ses compagnons pour faire le show, mais le film a le mérite de rentrer très vite dans son sujet et de dérouler son programme sans se cacher derrière son petit doigt. Du coup, y a de jolies émotions, c'est rigolo et c'est touchant. Un peu de vie et d'anarchie, de l'affectivité directe et sans faux semblants. L'enfance.

Nosferatu : 6/10

Robert Eggers s'enfonce dans son style lourd et ampoulé, limite ridicule, pétri de révérence envers le chef-d'oeuvre indépassable de 1922. L'esthétique est toujours aussi léchée mais tourne de nouveau à vide, comme désincarnée. Tout n'est pas à jeter mais les 2h12 paraissent bien longues quand on connait déjà très bien le Murnau et le Coppola.