Oui, là-dessus, pas de problème : il est connu et unanimement louangéTout de même, il me semble qu'il est unanimement considéré comme un chef d’œuvre, non?
+1En tout cas, c'est magistral, je suis bien d'accord avec toi!
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Oui, là-dessus, pas de problème : il est connu et unanimement louangéTout de même, il me semble qu'il est unanimement considéré comme un chef d’œuvre, non?
+1En tout cas, c'est magistral, je suis bien d'accord avec toi!
Pour moins de dix euros, c'est possibleRatatouille a écrit : J'adorerais le revoir.
J'ajouterais même : "de tous les temps !"Major Tom a écrit : Un de mes films préférés.
C'est vrai. Une de tes prochaines découvertes alors?Demi-Lune a écrit :J'ajouterais même : "de tous les temps !"Major Tom a écrit : Un de mes films préférés.
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Malheureusement je n'ai pas ça en stock.Major Tom a écrit :Une de tes prochaines découvertes alors?
Pour moins de dix euros, c'est possibleDemi-Lune a écrit :Malheureusement je n'ai pas ça en stock.Major Tom a écrit :Une de tes prochaines découvertes alors?
Ratatouille a écrit :Mais pas en Blu-ray.
Et je pense que ça plairait à Demi-Lune, le film est en VF.
La suiteApparemment, tout semblait séparer ces deux grands cinéastes français. D’un côté, Robert Bresson, énigmatique et secret, en marge du cinéma dominant, avec ce style volontairement dépouillé, le recours systématique à des acteurs inconnus, dès 1951, pour Journal d'un curé de campagne, la recherche de la grâce ou, du moins, d’une certaine forme de mysticisme inhérente à toute action humaine. De l’autre, Jacques Becker, un cinéaste mieux intégré dans le système du cinéma français des années 1950, entomologiste de la société française, épris de réalisme et d’authenticité, plus matérialiste et moins spiritualiste que Bresson, utilisant des acteurs connus et reconnus. A priori donc, rien de commun entre ces deux réalisateurs jusqu’à ce que Becker réalise, en 1959, son dernier film Le Trou (sorti en mars 1960), qui rappelle inévitablement Un condamné à mort s'est échappé, de Bresson, sorti quatre ans auparavant, en 1956. Même si les deux films ont chacun leur spécificité, il n’y a évidemment ni plagiat ni remake ; on y trouve des correspondances, des figures et des thèmes similaires : même sujet (le film de prison, avec la préparation d’une évasion), le refus commun d’utiliser des comédiens professionnels, une même volonté d’échapper au scénario fondé sur l’action et le suspense, pour préférer filmer, avec une écriture volontairement dépouillée, le monde carcéral dans sa quotidienneté.
Père Jules a écrit :Ratatouille a écrit :Mais pas en Blu-ray.
Et je pense que ça plairait à Demi-Lune, le film est en VF.![]()