Notez les films : Février 2013
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Re: Notez les films : Février 2013
Un beau film effectivement que ce Room in Rome, mais je trouve, pour rester avec Medem, que L'écureuil rouge, Les amants du cercle polaire et Lucia et le sexe sont plus aboutis.
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Re: Notez les films : Février 2013
J'ai un super souvenir des Amants du cercle polaire vu en salle à l'époque je le reverrais bien. Et effectivement Manuma un très beau score de Jocelyn Cook qui contribue largement à l'atmosphère du film,. Et moi qui adore la chanteuse espagnole Russian Red c'était un peu la cerise sur le gâteau les quelques chansons qui parsèment le film 

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Re: Notez les films : Février 2013
Colqhoun a écrit :J'avais trouvé ça parfaitement nul et très faussement irrévérencieux.monfilm a écrit :God bless America - Bob Goldthwait
Après Dredd et Universal soldier-le jour du jugement encore une excellente série B badass à ne pas prendre au 1er degré, évidemment. C'est drôle, rageur, jusqu'au-boutiste et finalement jouissif comme rarement avec les productions actuelles.
On nage en plein politiquement correct assez fatigant.
Je le rapproche d'idiocracy. Je n'y cherche même pas une subversion mais une "chronique de la haine ordinaire", le reflet des polémiques façons yahoo news et autres déversoirs à merdes. Idiocracy nous parle d'un futur bien crétin, là on est même plus dans l'anticipation. Le film par contre est mal vendu et prête à confusion pour certaines attentes.


Tout le reste est dérisoire.
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Re: Notez les films : Février 2013
Jusqu'à la dernière seconde, en fait. Scenario très bien construit, qui ne perd jamais le nord (on apprécie encore plus cette construction en revoyant le film en connaissant sa conclusion ).Demi-Lune a écrit :Sens unique (Roger Donaldson, 1987)
Film vu, revu, re-revu, re-re-revu, au moins une vingtaine de fois depuis l'adolescence... Sens unique exerce sur moi une fascination qui ne s'est jamais démentie quand bien même je le connaisse par cœur. Typiquement le genre de "petit" film Orion 80's qui me procure un plaisir fou, et cette nouvelle révision ne dérogera pas au principe même si évidemment, la mécanique scénaristique imparable a un peu moins d'impact maintenant que lors de la première fois.
Le générique avec sa typo Macintosh 1985, ce long plan d'hélico qui traverse tous les lieux de pouvoir de Washington, les synthés menaçants de Maurice Jarre, l'ambiance lourde, Kevin Costner au charme dévastateur en officier de la Navy, Sean Young craquante, Gene Hackman comme toujours impérial, l'engrenage qui s'est enclenché sans qu'on y fasse gaffe... Je pourrai citer pratiquement tout le film tant il m'obsède gentiment depuis des années, plus que Police Python 357 que j'aime cependant lui aussi. Faut dire que le Donaldson a ses propres arguments de choix...
Si auparavant j'adorais toute la partie enquête qui se retourne contre le héros, l'étau qui se resserre et le suspense quant à savoir comment et s'il va s'en extraire, je préfèrerais maintenant toute la première partie, celle où, à la découverte, on peut trouver le temps un peu long (alors que...). La relation Costner/Young m'émeut plus que jamais, il y a une forme de piquant et d'amour fou qui sonne juste, comme deux gosses qui découvriraient les joies de la passion. Vous allez trouver que je suis dingo, mais je trouve terriblement émouvants tous ces moments passés à deux (même la scène culte dans la limousine), comme ce week-end sur la côte, surtout si on les remet en perspective, ne serait-ce que par rapport à l'entrave qu'incarne toujours le personnage de Hackman.
Le film a ses atours 80's (qui ne me dérangent pas), mais il dénote quand même un joli savoir-faire, notamment avec la photo de John Alcott, chef op' attitré de Stanley Kubrick. Et puis le cast est très bon. Et le scénario déchire jusqu'à la dernière minute.
Très belle mise en scène ( le plan du début, où on survole Washington pour arriver jusqu'à la maison où se trouvent Costner et les deux hommes, est remarquable,).
Excellente interprétation. Et les atours eighties (entre autres l'ambiance film de guerre froide -2 ans avant la chute du mur de Berlin...- et l'informatique "préhistorique") ajoutent un charme supplémentaire au film.
Dernière modification par riqueuniee le 26 févr. 13, 14:10, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films : Février 2013

Entre Ennemi D’Etat (sur lequel il fut script doctor) et les Jason Bourne, le scénariste Tony Gilroy avait écrit ce Piégé dans la même veine. On retrouve ici son intérêt à mixer des mécanismes de thriller avec toutes les possibilités de télésurveillance offertes par la technologie moderne. Suite à un casse dont le butin a disparu sans laisser de trace, un petit malfrat est utilisé par les autorités pour jouer à son insu les appâts et débusquer les responsables. Forcément rien ne va marcher comme prévu puisqu’ils ont choisit le type qu'il fallait pas. En même temps, c’était prévisible vu que le type en question est un Jamie Foxx donnant une nouvelle définition au terme insupportable. Un mauvais point auquel se rajoute au bout du compte la mauvaise gestion du concept. On sent tout l’intérêt de celui-ci au détour de certaines scènes. Il y a le rapport distancé et en même temps proche entre le héros et les types de la surveillance. Ce rapport prend un tour étrange plus ils s’immiscent dans son intimité. De manière plus ludique, il y a la manière de dépeindre comment ils essaient d’influencer ses actions et se heurtent à un comportement qui n’est pas raccord avec le profil de son dossier. Si le point de base ne tient pas vraiment la route, il y a là un sujet assez passionnant à traiter. Dommage que le film reste centré sur son optique de film d’action. Il y avait pas vraiment plus à espérer d’Antoine Fuqua qui, tel un Robert Rodriguez, passe son temps à compenser ses maigres talents de mise en scène par le montage (hystérique à souhait) et la photographie (très classieuse). Il y avait bien mieux à offrir
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Re: Notez les films : Février 2013
La Dame de Fer
Assez agréablement surpris. C'est certes un peu hagiographique (même si les dégâts de l'ère Thatcher et la dureté du personnage ne sont pas cachés), par le parti-pris de filmer une vieille dame perdue dans son passé et grâce au talent de Meryl Streep, remarquable dans le rôle. J'ai trouvé la réalisation assez astucieuse dans sa façon de jouer avec le personnage du mari, d'amener le passé et de troubler les frontières du temps et du réel. J'ai aussi trouvé le parti-pris très intéressant, filmer le grand personnage historique quand il ne l'est plus, dans une optique assez différente du Président (avec Gabin), en mettant autant (voire plus) l'accent sur les souvenirs intimes que sur les souvenirs politiques. Finalement l'hésitation entre biopic et portrait d'une vieillesse ordinaire fonctionne assez bien, je trouve.
Assez agréablement surpris. C'est certes un peu hagiographique (même si les dégâts de l'ère Thatcher et la dureté du personnage ne sont pas cachés), par le parti-pris de filmer une vieille dame perdue dans son passé et grâce au talent de Meryl Streep, remarquable dans le rôle. J'ai trouvé la réalisation assez astucieuse dans sa façon de jouer avec le personnage du mari, d'amener le passé et de troubler les frontières du temps et du réel. J'ai aussi trouvé le parti-pris très intéressant, filmer le grand personnage historique quand il ne l'est plus, dans une optique assez différente du Président (avec Gabin), en mettant autant (voire plus) l'accent sur les souvenirs intimes que sur les souvenirs politiques. Finalement l'hésitation entre biopic et portrait d'une vieillesse ordinaire fonctionne assez bien, je trouve.
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Re: Notez les films : Février 2013
Trois heures, l'heure du crime de Phil Joanou (1986)

Un lycéen nerd, Jerry Mitchell, est contraint d'écrire une nouvelle pour le journal officiel de l'établissement à propos d'un nouveau venu, Buddy Revell, qui est réputé pour être un vrai barjo. Quand Jerry heurte accidentellement Buddy, ce dernier le met au défi de le retrouver à 3 heures du matin dans le parking du lycée pour régler leurs comptes. Jerry va devoir tout faire pour éviter la confrontation avec ce psychopathe.
Les trentenaires se souviennent certainement de Parker Lewis, excellente et délirante série ado qui rencontra un grand succès au début des années 90. Le plus souvent on associe la série à un décalque télévisé de La Folle Journée de Ferris Bueller, ultime et loufoque teen movie de John Hughes mais finalement hormis son facétieux héros pour tout le reste il faut aller chercher du côté de ce survolté et méconnu Three O'Clock High.
Le film est une sorte de géniale déclinaison adolescente du Train sifflera trois. Le lycée est en ébullition avec l'arrivée d'un nouvel élève que sa terrible légende précède, Buddy Revell (Richard Tyson). Le film débute d'ailleurs sur la rumeur de ses violents méfaits lors du brouhaha des conversations de couloirs. Jerry Mitchell (Casey Siemaszko) élève sans histoire va bien malgré lui croiser la route du danger public qu'il va se mettre à dos en ayant commis l'irréparable : le toucher. Revell lui fixe donc un funeste rendez-vous, à trois heures lors de la fin des cours il lui réglera son compte. Comme dans Le train sifflera trois fois, toute tentative d'aide extérieure est vouée à l'échec et une grande partie de l'intrigue repose sur les astuces de Jerry pour éviter la confrontation. Le script s'avère des plus inventifs pour faire monter avec drôlerie la tension et dépeindre les mœurs de cette communauté lycéenne. La rumeur du combat s'étend à toute vitesse, attirant sur le discret Jerry les figures les plus azimutées tel ces deux élèves souhaitant faire un documentaire sur le "condamné" (pour le coup c'est carrément visionnaire du fonctionnement ado contemporain qui immortalise tout par l'image), les parieurs misant sur son temps de résistance, le principal qui arbore une allure à la Blofeld installé à son bureau. Cette journée maudite (phrase récurrente de Jerry accablé It's one of those days...) constitue en fait une forme de parcours initiatique pour Jerry forcé de sortir de sa coquille pour relever son plus grand défi. Les stratagèmes pour y échapper se font ainsi plutôt lâche (cacher une arme dans le casier de Buddy pour le faire renvoyer, payer un membre de l'équipe de football pour lui régler son compte...) tandis que l'intrigue multiplie les allusions aux mythes (le cours de littérature où l'on étudie l'Iliade et le professeur ricanant avec sadisme sur le passage où Achille écharpe Hector
) où dotant Buddy d'une menace quasi surnaturelle et omnisciente que Jerry ne peut fuir.
Le grand atout, c'est la mise en scène virevoltante et cartoonesque de Phil Joanou dont c'est le premier film (mais qui s'était fait la main sur la série Histoires Fantastiques de Spielberg ici producteur même s'il demanda à ne plus figurer au générique la folie du film étant loin de l'ersatz de Karaté Kid auquel il s'attendait). Cadrage alambiqués et déroutant, zoom agressif, mouvements de grue improbable, tout est fait ici pour désarçonner et nous plonger dans l'esprit apeuré de Jerry. Les contres plongées donnent à Buddy des allures de cyclope (Tyson s'en donnant à cœur joie dans le jeu monolithique), l'échelle des décors varie d'une scène à l'autre et à nouveau en hommage au Train sifflera trois fois les inserts d'horloge nous rapprochant de l'heure fatidique se multiplient de façon toujours plus démesurée. Casey Siemaszko est épatant en nerd insignifiant forcé de se faire violence. Plutôt placide et quelconque au départ, son jeu se met progressivement à la hauteur de la folie de l'ensemble avec notamment une scène de fiche de lecture comme on a rarement vue (et une enseignante sous le charme qui reviendra suite aux projections test pour une sacrée scène finale
) et surtout une résolution finale le voyant accepter le duel avec dignité. La bagarre en elle-même est assez décevante vu la montée en puissance pour l'introduire, Joanou ne parvenant pas tout à fait à croiser la dimension loufoque et le côté mythologique amorcé jusque-là (malgré un beau panoramique sur les spectateurs lycéens aux fenêtres faisant du parking une arène romaine) même si le tout s'avère plutôt efficace.
Le final rattrape cependant cet écueil avec une nouvelle fois bons sentiments et légèreté (Jerry sauvé par la solidarité lycéenne) et facette héroïque où Jerry devenu légende à son tour voit ses exploits sources de conversations et rumeurs déformées par ses camarades admiratifs.4,5/6

Un lycéen nerd, Jerry Mitchell, est contraint d'écrire une nouvelle pour le journal officiel de l'établissement à propos d'un nouveau venu, Buddy Revell, qui est réputé pour être un vrai barjo. Quand Jerry heurte accidentellement Buddy, ce dernier le met au défi de le retrouver à 3 heures du matin dans le parking du lycée pour régler leurs comptes. Jerry va devoir tout faire pour éviter la confrontation avec ce psychopathe.
Les trentenaires se souviennent certainement de Parker Lewis, excellente et délirante série ado qui rencontra un grand succès au début des années 90. Le plus souvent on associe la série à un décalque télévisé de La Folle Journée de Ferris Bueller, ultime et loufoque teen movie de John Hughes mais finalement hormis son facétieux héros pour tout le reste il faut aller chercher du côté de ce survolté et méconnu Three O'Clock High.
Le film est une sorte de géniale déclinaison adolescente du Train sifflera trois. Le lycée est en ébullition avec l'arrivée d'un nouvel élève que sa terrible légende précède, Buddy Revell (Richard Tyson). Le film débute d'ailleurs sur la rumeur de ses violents méfaits lors du brouhaha des conversations de couloirs. Jerry Mitchell (Casey Siemaszko) élève sans histoire va bien malgré lui croiser la route du danger public qu'il va se mettre à dos en ayant commis l'irréparable : le toucher. Revell lui fixe donc un funeste rendez-vous, à trois heures lors de la fin des cours il lui réglera son compte. Comme dans Le train sifflera trois fois, toute tentative d'aide extérieure est vouée à l'échec et une grande partie de l'intrigue repose sur les astuces de Jerry pour éviter la confrontation. Le script s'avère des plus inventifs pour faire monter avec drôlerie la tension et dépeindre les mœurs de cette communauté lycéenne. La rumeur du combat s'étend à toute vitesse, attirant sur le discret Jerry les figures les plus azimutées tel ces deux élèves souhaitant faire un documentaire sur le "condamné" (pour le coup c'est carrément visionnaire du fonctionnement ado contemporain qui immortalise tout par l'image), les parieurs misant sur son temps de résistance, le principal qui arbore une allure à la Blofeld installé à son bureau. Cette journée maudite (phrase récurrente de Jerry accablé It's one of those days...) constitue en fait une forme de parcours initiatique pour Jerry forcé de sortir de sa coquille pour relever son plus grand défi. Les stratagèmes pour y échapper se font ainsi plutôt lâche (cacher une arme dans le casier de Buddy pour le faire renvoyer, payer un membre de l'équipe de football pour lui régler son compte...) tandis que l'intrigue multiplie les allusions aux mythes (le cours de littérature où l'on étudie l'Iliade et le professeur ricanant avec sadisme sur le passage où Achille écharpe Hector

Le grand atout, c'est la mise en scène virevoltante et cartoonesque de Phil Joanou dont c'est le premier film (mais qui s'était fait la main sur la série Histoires Fantastiques de Spielberg ici producteur même s'il demanda à ne plus figurer au générique la folie du film étant loin de l'ersatz de Karaté Kid auquel il s'attendait). Cadrage alambiqués et déroutant, zoom agressif, mouvements de grue improbable, tout est fait ici pour désarçonner et nous plonger dans l'esprit apeuré de Jerry. Les contres plongées donnent à Buddy des allures de cyclope (Tyson s'en donnant à cœur joie dans le jeu monolithique), l'échelle des décors varie d'une scène à l'autre et à nouveau en hommage au Train sifflera trois fois les inserts d'horloge nous rapprochant de l'heure fatidique se multiplient de façon toujours plus démesurée. Casey Siemaszko est épatant en nerd insignifiant forcé de se faire violence. Plutôt placide et quelconque au départ, son jeu se met progressivement à la hauteur de la folie de l'ensemble avec notamment une scène de fiche de lecture comme on a rarement vue (et une enseignante sous le charme qui reviendra suite aux projections test pour une sacrée scène finale

Le final rattrape cependant cet écueil avec une nouvelle fois bons sentiments et légèreté (Jerry sauvé par la solidarité lycéenne) et facette héroïque où Jerry devenu légende à son tour voit ses exploits sources de conversations et rumeurs déformées par ses camarades admiratifs.4,5/6
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Re: Notez les films : Février 2013
J'en avais entendu parler de celui-ci, je suis bien tenté (apparemment juste un dvd zone 1). 
Un petit mot sur la musique de Tangerine Dream ?

Un petit mot sur la musique de Tangerine Dream ?

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Re: Notez les films : Février 2013
Le zone 1 VOSTF s'envole à des prix indécents chope plutôt le zone 2 anglais VOSTA. Pour Tangerine Dream ce n'est pas leur BO la plus marquante sympa mais pas inoubliable et surtout largement entrecoupé de zic 80's et il y a même un score additionnel d'un autre compositeur donc on ne les entends pas tant que ça.Anorya a écrit :J'en avais entendu parler de celui-ci, je suis bien tenté (apparemment juste un dvd zone 1).
Un petit mot sur la musique de Tangerine Dream ?
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Re: Notez les films : Février 2013
Tiens, dernièrement je suis tombé sur deux films composés par eux: le women in prison CHALEUR ROUGE et le porno BODY LOVE (enfin là c'est Klaus Schulze tout seul)...Je connais pas bien ce groupe mais ça m'a quand même surpris qu'ils participent à ce genre de chosesAnorya a écrit :Un petit mot sur la musique de Tangerine Dream ?

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Re: Notez les films : Février 2013
Allright.Profondo Rosso a écrit : Le zone 1 VOSTF s'envole à des prix indécents chope plutôt le zone 2 anglais VOSTA. Pour Tangerine Dream ce n'est pas leur BO la plus marquante sympa mais pas inoubliable et surtout largement entrecoupé de zic 80's et il y a même un score additionnel d'un autre compositeur donc on ne les entends pas tant que ça.

Pour Red Heat (tel que imdb le titre apparemment), tu m'apprends quelque chose. Je savais qu'ils avaient fait des B.Os au kilomètre mais ce truc n'est jamais sorti sur disque apparemment. Parfois je me demande si à la disparition d'Edgar Froese, on va pas avoir une avalanche de 200 et quelques soundtracks inédits de TD... Et si c'était ça en fait la fin du monde ? IMDB dit qu'ils auraient composé près de 44 B.Os mais vu que je connais des choses qui n'y sont pas répertoriées, là c'est pas vraiment à jour. Et je découvre en même temps d'autres choses assez surprenantes (B.O de Spasmes ? hein ? un film d'horreur avec un serpent géant, Oliver Reed et Peter Fonda et TD à la B.O ?hellrick a écrit : Tiens, dernièrement je suis tombé sur deux films composés par eux: le women in prison CHALEUR ROUGE et le porno BODY LOVE (enfin là c'est Klaus Schulze tout seul)...Je connais pas bien ce groupe mais ça m'a quand même surpris qu'ils participent à ce genre de choses

Body love j'étais au courant par contre. Superbe compo de Klaus Schulze qui avait tellement gardé de matériel qu'il a sorti un Body Love vol.2 qui peut se voir comme un prolongement de la B.O du film du même nom. Jamais vu Body love le film mais j'aime beaucoup la musique.
J'en disais ça en 2007...
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Re: Notez les films : Février 2013
Pour la longue scène d'orgie finale (qui a un côté très flower power d'ailleurs) la musique est bien utilisée avec ses montées planante et ses rythmiques un peu "transe", y a pas à dire ça change des "boumtchak" actuellement utilisés dans le X...Sinon le film est plutôt réussi (dans son genre) et m'a permis (enfin) de découvrir Catherine Ringer sous un autre jourAnorya a écrit :
Body love j'étais au courant par contre. Superbe compo de Klaus Schulze qui avait tellement gardé de matériel qu'il a sorti un Body Love vol.2 qui peut se voir comme un prolongement de la B.O du film du même nom. Jamais vu Body love le film mais j'aime beaucoup la musique.

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Re: Notez les films : Février 2013
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Re: Notez les films : Février 2013
MERANTAU
Un poil trop long, un début un peu mou mais une fois que c'est parti c'est parti...après 35 minutes le film commence à enchainer les bastons et n'arrête plus. Un vrai concentré d'adrénaline ultra furieux, un peu dans l'esprit Ong Bak. Bref du fight du fight et encore du fight.
Nettement mais alors nettement meilleur que The Raid
4,5/6
Un poil trop long, un début un peu mou mais une fois que c'est parti c'est parti...après 35 minutes le film commence à enchainer les bastons et n'arrête plus. Un vrai concentré d'adrénaline ultra furieux, un peu dans l'esprit Ong Bak. Bref du fight du fight et encore du fight.
Nettement mais alors nettement meilleur que The Raid
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Re: Notez les films : Février 2013
Pour être franche, j'avais un peu peur de l'aspect "film qui a horriblement mal vieilli". Hé bien non...J'ai même été encore plus épatée par la construction scénaristique.Federico a écrit :Je me sens idiot et bien seul face à de telles louanges. Je l'ai revu et il m'est tombé des yeux. Dans la catégorie : "qui a atrocement mal vieilli", pour moi, c'est un must.
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Dernière modification par riqueuniee le 27 févr. 13, 16:41, modifié 1 fois.