
J’en suis au debut du 9. L’intrigue n’est pas extraordinaire mais le rythme est la. La force est dans la mise en scene de Feuillade, qui produit deci dela des plans qui marquent la retine. L’ange du bizarre d’un coup visite le film, dans un esprit « roman populaire » à son meilleur.
J’ai bien aimé le passage aux colonies ou l’attaque des soeurs.
Pur bonheur du serial où l’on voudrait capturer des photos des plus beaux plans. C’est souvent Georgette Faranoni, qui par sa chevelure d’un noir de jaie et son visage de femme austere, est le plus souvent convoquée par Feuillade pour les plans les plus marquants plastiquement.
Je comprends que d’aucun puisse s’ennuyer. Il faut jouer le jeu de voir un episode de temps de temps, pour en profiter vraiment.
Edit : la copie est superbe!