C'est pas incompatible !Fatalitas a écrit :et puis, il y a Johnnie To en meme tempsAnn Harding a écrit : Comme le dit, Cosmo, il ne semble pas que cette rétro attire les foules -du moins sur DVDClassik????

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C'est pas incompatible !Fatalitas a écrit :et puis, il y a Johnnie To en meme tempsAnn Harding a écrit : Comme le dit, Cosmo, il ne semble pas que cette rétro attire les foules -du moins sur DVDClassik????
Acteur immense par le talent que les parisiens pourront (re)découvrir ce soir au sommet de sa forme, puisque la Cinémathèque projette Les Nouveaux Monstres. Roy avait écrit un très beau texte sur ce film dans le cadre des conseils télé. Je crois savoir que le DVD français ne possède qu'une piste VF (quelle horreur !). Une bonne occasion donc de savourer en V.O. ce sommet de méchanceté que constitue le film (il est sorti la même année qu'un Bourgeois tout petit, petit...en 1977, marquant la fin d'un âge d'or pour la Comédie Italienne)Alligator a écrit :Parlons plutôt de la performance hallucinante de Sordi qui m'a totalement ébloui. J'avoue que je ne connaissais pas énormément cet acteur. Je l'avais vu dans trois ou quatre films tout au plus.
Ici il prend le film sur ses épaules et l'amène avec une facilité étonnante là où l'histoire et la mise en scène doivent le mener. Impressionnant. J'ai le sentiment de le découvrir, là, maintenant.
J'ai une certaine affection pour ce film malgré les défauts que tu soulignes avec justesse. Au début on pense se diriger vers un portrait de famille intimiste, un Woody Allen dramatique (Intérieurs, September), alors que le film ménage des moments de pure comédie comme Monicelli sait si bien le faire. Peut être cette oeuvre est-elle un peu trop dispersée pour être un grand cru monicellien, mais la petite musique qu'elle distille reste bien agréable.bruce randylan a écrit :Caro Michele ( 1976 )
On peut voir ce film comme une variation monicellienne sur Drame de la jalousie . Le début souffre un peu de la comparaison avec le film de Scola. Mais Tognazzi est effectivement grandiose (à la fois drôle et émouvant) et les dialogues concoctés par la dream team scénarique (Monicelli-Age-Scarpelli) font une nouvelle fois mouche. Ce film coquasse, mélancolique, mutin et très bien écrit mérite mieux que son titre français assez nase (l'original étant Romanzo Popolare)bruce randylan a écrit :[Romances et confidences ( 1974 )
Pas revu récemment, mais le souvenir reste encore vivace de même que le leitmotiv musical très entraînant. Le picaresque réussit décidemment bien à Monicelli (cf. les deux Brancaleone). Les caméos de Manfredi et Gassman valent leur pesant d'or et le trop rare Giancarlo Giannini est convaincant en premier rôle. Etonnant qu'un tel film avec un tel sujet ait été produit à la fin des années 80. Il détonne un peu au milieu des productions italiennes de l'époque.bruce randylan a écrit :[I Picari (1988 )