Commentaires à propos de votre film du mois

[Rockatansky]

Un mois un peu moins fourni que le précédent pour cause de JO.
Un grand vainqueur The Dark Knight alors que je n'étais ni fan de Batman Begins ni fan du cinéma de Nolan en général, force est de reconnaitre qu'il a réalisé le film de super héros ultime, qui vient rejoindre trés trés haut dans mon estime le X-Men 2 de Bryan Singer. Un film que j'ai également énormément apprécié ce mois ci est le Stanley Kubrick's boxes qui ravira tous les fans du maître à voir absolument. Un autre trés bon film, Juno dont je n'attendais pas grand chose et qui m'a ravi par sa fraicheur.

[Fatalitas]

film du mois : Nuages d'été (Mikio Naruse)

[reuno]

Mon top 3 du mois :

1.

2.

3.

Le film des Dardenne est absolument remarquable mais j'ai quand même choisi Hellboy II pour mon film du mois. Gros coup de coeur... déjà fan du comics, ce nouvel opus en est une adaptation idéale et s'avère bien plus réussi que le premier.

Suivent ce trio de tête Nostalghia de Tarkovski, The Fall de Tarsem Singh.

Ensuite bien mais rien de mémorable... Cidade dos Homens, Am Ende kommen Touristen... très moyen, The Dark Knight... etc... etc...

Et la palme de la nullité revient ce mois-ci à Tsui Hark (qui pourtant est un de mes cinéastes favoris) et son dernier film, Missing. A oublier au plus vite...

[Brody]

Mon film du mois d'août, est comme pour pas mal de monde, l'ample DARK NIGHTde Christopher Nolan. Je dois vraiment être sensible à son sens du spectacle cinématographique, quelques mois après avoir également élu son Prestige. Même s'il souffre d'une certaine linéarité et de quelques faiblesses scénaristiques (les bateaux piégés, la fin expédiée), ça reste un sacré grand spectacle généreux pour le spectateur et enthousiasmant au global.

Une demi-surprise donc, n'ayant que très modérément apprécié Batman Begins, et fondant de grandes espérances sur Wall-E qui m'a un peu déçu par le relatif manque d'imagination de sa seconde partie.

2 films au ciné en sortie nationale dans le même mois, ça doit bien faire 6 ans que je n'avais pas fait cela

Sinon, c'est un "petit mois", composé de films divertissants, ou quelques revisions surnagent très nettement (Rambo, Les Patriotes), ainsi qu'une belle découverte qu'est le Steak de Quentin Dupieux. Place à la rentrée et au monument Bergman dont je viens de recevoir 3 coffrets totalisant 26 films !! Bon, on va y aller doucement hein...

[Tite Bouh]

Un mois de belles découvertes, avec en top 5 :

The Yards de James Gray



The Dark Knight de Christopher Nolan



Le prestige de Christopher Nolan



Hitcher de Robert Harmon



L.I.E de Michael Cuesta

[AtCloseRange]

Petit mois mais avec un gros coup de coeur pour Steak de Quentin Dupieux, meilleur film français vu depuis Coeurs d'Alain Resnais.
Accessit pour l'excellent petit polar: Sables Mouvants d'Irving Pichel avec un étonnant Mickey Rooney.
Pas grand chose d'autre à signaler à part la confirmation du talent d'Eytan Fox avec The Bubble, même s'il m'a semblé moins réussi que Tu marcheras sur l'eau.
Ma série du mois est Swingtown.

[Nada]

Gewalt! Gewalt: shojo geba-geba (Violent Virgin) - Kôji Wakamatsu (1969)

[mannhunter]

Un mois d'Août riche en agréables surprises ("link" de Richard Franklin,"eldorado" de Bouli Lanners,"dorothy" d'Agnès Merlet,"Miami blues" de George Armitage,"Silkwood" de Mike Nichols,"My name is hallam foe","braquage à l'anglaise" de Donaldson et "rude boy" de Jack Hazan")

Film du mois d'Août: "Dorothy" d'Agnès Merlet

[cinephage]

Déplacement, suite à une erreur de manip (2 semaines de vacances, et me voila rouillé)...

Décidément, 2008 est une bonne année pour la salle : The Dark Knight, de Christopher Nolan, est mon film du mois, et représente pour ce réalisateur doué le film de la maturité, reprenant les points forts de ses films précédents (montage, direction d'acteurs, usage du son), tout en montrant une vraie maitrise, une réflexion sur soi, pour ce qui pénalisait son précédent film d'action (actions illisibles, problèmes de rythme, caractérisation parfois baclée). Ce film d'une grande noirceur est tendu du début (un plan programmatique nous y montre d'ailleurs des bus scolaires disparaissant au loin : ce film fait de batman un héros pour adultes, comme l'avait fait en son temps l'oeuvre éponyme de Frank Miller) à la fin.

Mais la salle recelait ce mois-ci d'autres trésors, notamment dans le domaine de l'animation : le poétique Wall-e célèbre l'union robotique des looks apple et IBM, dans une jolie fable sur fonds écologique, et Valse avec Bashir vient nous rappeler, un an après Persepolis, combien l'animation est une forme qui convient pour parler du réel. Dans un tout autre registre, Le silence de Lorna, des frères Dardenne, est une nouvelle preuve de l'immense de leur talent, qui parvient à donner au cinéma l'apparence de la vérité.

Vacances obligent, j'ai surtout vu des films en dvds, et renoué avec des cinéastes familiers que j'avais un peu négligés ces derniers temps. Cette « révision des classiques » m'a permis de découvrir d'excellents films, qui s'inscrivent parfaitement, tant par leurs thématiques et leurs mises en scène caractéristiques de leur oeuvre, dans le parcours de ces auteurs : Marnie, d'Alfred Hitchcock, thriller psychologique à la mise en scène d'une incroyable précision formelle (je ne regrette pas d'avoir attendu pour le voir, celui-là, étant aujourd'hui plus apte à apprécier cette richesse), La maison des étrangers, de Joseph L. Mankiewicz, qui évoque le délitement par le temps des traditions, use de flashbacks et de dialogues percutants, Le droit du plus fort, de R.W.Fassbinder, reflexion sociale sur fonds d'amour homosexuel, et The Steel Helmet, film de guerre de Samuel Fuller frappant par sa dureté, son énergie, et sa description détaillée du quotidien des soldats...

Deux classiques du fantastique m'ont également bien plu : Le cirque du Docteur Lao, de George Pal, ludique et bien fichu, livre une fantaisie charmante et ingénieuse. Doctor X, de Michael Curtiz, offre un film en couleur sous influence expressionniste, d'une richesse énorme, et aux séquences souvent tendues ou frappantes.

Au niveau des déceptions, signalons le bien médiocre film de la franchise X-Files, mais surtout un film de science-fiction dont j'attendais peut-être trop, Journey to the Far Side of the Sun, de Robert Parrish, qui, s'il repose sur un postulat ingénieux et des maquettes réussies, ne parvient pas à se hisser au dessus d'un épisode très moyen de la quatrième dimension, la faute à une mise en scène trainante et paresseuse (les errances dans l'espaces, les séquences d'hypnose reposent sur des effets visuels lassants, lents, et sans intéret).

Restent à évoquer, pour les points forts du mois, le jeu sublime de Heath Ledger, ma réconciliation avec Tippi Hedren, qui est, dans Marnie, vraiment émouvante, la beauté de la photographie des Tambours de la colère, Zatoichi dans lequel K.Misumi commence à privilégier par moments le décor et le cadrage sur l'action proprement dite, pour le bonheur des yeux, la cruauté de Bruno Cremer dans Un jeu brutal, de Brisseau, et la mèche blanche de Bogart en méchant dans le médiocre retour du Docteur X. Sur un plan musical, Rambo et sa suite se révèlent à moi sous un nouveau jour, lorsque l'on fait attention à la bande sonore de Jerry Goldmith.

[AtCloseRange]

Petit rappel pour faciliter le travail de Boubakar et la consultation de ce topic : les résumés, les résultats et les commentaires doivent se faire sur le topic commentaire de votre film du mois

http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... =3&t=22545

Nous devrions chacun ne poser qu'un seul post par topic "votre film du mois"

De là à effacer des message de ce topic

[cinephage]

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J'ai effacé le mien moi-même, pour le reposter ici.

[Art Core]

La lutte a été rude entre deux monuments, L'Ile Nue de Shindo et l'énorme Edvard Munch de Peter Watkins. Mais finalement là où le Watkins m'a plus touché par sa théorisation du geste cinématographique, le film japonais reste devant par la simplicité de son regard et son humanisme forcené.

[AtCloseRange]

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J'ai effacé le mien moi-même, pour le reposter ici.

Je parlais de messages que j'ai malencontreusement posté dans le "topic où on ne poste qu'une fois"...
De toute façon, c'était pour parler de Flesh Gordon qui me tentait bien surtout après avoir vu que Lord Henry le mettait en film du mois.
Mais comme j'en ai regardé une demie-heure, je me rends compte que ce n'était qu'une blague de plus de Lord Henry à moins que le "pinausore" en stop motion ne justifie à lui seul cet (bien trop grand) honneur

[Alcatel]

Film du mois d'août: Xia Nu (A touch of zen) de King Hu

[kerala]

La lutte a été rude entre deux monuments, L'Ile Nue de Shindo et l'énorme Edvard Munch de Peter Watkins. Mais finalement là où le Watkins m'a plus touché par sa théorisation du geste cinématographique, le film japonais reste devant par la simplicité de son regard et son humanisme forcené.

Tout a fait pour l'ile nue, mais je n'ai pas vu le film de Peter Watkins.