Dvdclassik : cinéma et DVD

La Nuit se traîne, Michiel Blanchard : 7/10.
Vice-versa 2, Kesley Mann : 8/10.

Smile 2 6/10
Oh, Canada 6/10
Banzo 5/10
Vingt dieux 5/10
Fotogenico 4/10
Ernest Cole, photographe 4/10

La partition : 6

Les Enquêtes du département V : promesse (C+) (5/10)

Anora 6/10
Heretic 4/10
Santosh 7.5/10

Red One - Jake Kasdan - 4/10

Lee Miller : 6,5/10

Black Tea - Abderrahmane Sissako - 5/10

Dernière salve des films vus ou revus de 2024:

Limonov une ballade de K Serebrennikov d'après le récit de Carrère me semble intéressant mais inégal.Malgré sa durée substantielle, le film semble évacuer des pans importants du matériau d'origine au profit de transitions métaphoriques parfois brillantes mais difficiles à saisir pour qui n'a pas en tête les événements figurés par une photo, un slogan, une bande d'actualité. Le film offre de vrais éclats assez impressionnants et des moments plus redondants (par exemple aux USA lors de la descente aux enfers de l'écrivain). La partie activiste nationaliste est la plus difficile à saisir en l'état que ce soit le positionnement de Limonov lors de la guerre en ex Yougoslavie, la tentative de coup d'état ou encore l'embrigadement d'un groupuscule dont on évite de rappeler qu'il est intervenu en Ukraine à l'orée des années 2010. Un film à voir certes mais en deça des films précédents du cinéaste.
6.5/10

La guerre des Rohirrim de Kenji Kamiyama n'a pu que réjouir le fan de la trilogie ( le roman puis les films de Peter Jackson) après la déception conséquente face au Hobbit puis à ce que j'ai vu de la série récente (pas eu le courage de contempler le massacre jusqu'au bout de la 1ère saison). Le mariage japanime/ univers du SDA est très convaincant car la conception du film a repris et les décors (de toute beauté) et les références précises à l'univers initial sans jouer le fan service outrancier d'un Alien romulus. Des séquences parfois très épiques notamment la fin de Helm ou l'assaut des éléphants de guerre.
7/10

C'est un peu méfiant que je me suis laissé entrainer à la projection de En fanfare d'E Courcol pensant retrouver là une simple resucée sympathique des comédies sociales anglaises des 90'... et je dois avouer que je me suis retrouvé face à un vrai beau film à la fois très bien écrit et interprété avec force. La manière de parler de la musique, des représentations sociales qui vont avec est intelligente et fine. Le film dépasse totalement l'hypothèse d'un remake français des Virtuoses de Mark Herman contrairement au Grand bain de Lellouche qui reprenait parfois trop littéralement The full monty. Certains ressorts dramatiques m'ont cueilli par surprise et la fin est d'une émotion rare.
Ce succès , contrairement à celui d' Un p'tit truc en plus (avec le recul c'est aussi naze et moche que Bienvenue chez les Ch'tis) , est largement mérité
8/10

Pour le top ten, il me reste à voir en salle Grand tour de M Gomes , Nosferatu de R Eggers, Flow (lors du festival Télérama de mon cinéma)
Pour le reste, je pense avoir vu quasiment tout ce que je voulais voir cette année à l'exception de Santosh, Jusqu'au bout du monde,Blitz, Les carnets de Siegfried.
Vingt dieux ou Miséricorde célébrés un peu partout ne m'attirent pas du tout mais qui sait in fine?

J'oubliais Oh, Canada de P Schrader vu à Cannes et qui me semble un beau film même si en deça des trois précédents.
7/10

Gladiator II (Ridley Scott) : 6/10
Ecrit d'une manière assez confuse et précipitée, et reprenant les mêmes œufs pour les déposer dans un autre panier, Gladiator II n'est pas pour autant un péplum indigne, assez généreux en termes de décors, d'accessoires, de costumes, en un mot, d'évocation crédible (crédibilité au sens large, pas dans le détail) de la Rome décadente.

Memory (Michel Franco) : 7/10

Alexandre Angel a écrit : ↑31 déc. 24, 11:55 Gladiator II (Ridley Scott) : 6/10
Ecrit d'une manière assez confuse et précipitée, et reprenant les mêmes œufs pour les déposer dans un autre panier, Gladiator II n'est pas pour autant un péplum indigne, assez généreux en termes de décors, d'accessoires, de costumes, en un mot, d'évocation crédible (crédibilité au sens large, pas dans le détail) de la Rome décadente.

La Rome décadente au début du IIIe siècle… mais oui bien sûr
Il n y’a rien de crédible, au sens large comme au sens strict, dans cette parodie consternante.