A noter que l’UCC a décerné le Prix Cavens du meilleur film belge de l’année à Deux jours, une nuit, de Luc et Jean-Pierre Dardenne. C’est la cinquième fois que les deux frères remportent cette récompense créée en 1976, ce qui constitue un record absolu (extrait du communiqué de presse).
Le Hobbit : La Bataille Des Cinq Armées 8/10
Le plus décevant des six films de la saga ou en tout cas le premier où je ressens si ouvertement l'impérieuse nécessité d'une version longue. Mais même déséquilibré, le long-métrage reste gorgé de grands moments.
La dame en noir 2: l'ange de la mort (Tom Harper) : 5,5/10
Sortie en début 2015.
Les liens avec le premier opus sont ténus (NB: Susan Hill, la romancière qui avait déjà écrit La dame en noir a terminé son roman quelques semaines avant le tournage du film). Il y a certes les acteurs anglais qui ne jouent pas trop mal mais les effets sont prévisibles, la peur et l'horreur peu présentes. Certains éléments du scénario sont presque téléphonés. Peu de moyens pour ce film (dont plusieurs scènes sont tournées en "nuit américaine").
MAJ: orthographe !
Dernière modification par wontolla le 30 déc. 14, 10:23, modifié 1 fois.
I origins (7,5/10) : C'est soigneusement mis en image, solidement interprété, un drame romantique mélangeant science et fiction, tout à fait enthousiasmant.
Boyhood (8,5/10) : Au delà du concept un formidable témoignage sur les années 2000 qui capte avec une rare justesse les petits et grands moments d'une vie.
The Hobbit: The Battle of the Five Armies | 1.5/10
Bouillabaisse numérique immonde, désincarnée à l'extrême, parcourue par des dizaines de personnages plus creux que jamais et qui ne savent pas s'exprimer autrement qu'en punch-lines pompeuses. Peut-être le pire film de Peter Jackson avec The Lovely Bones. Un désastre monumental qui ne prête qu'à ricaner.
Sils Maria | 3/10
Passé sa première demie-heure prometteuse, le film de Assayas vire à la dissertation théorique et sombre dans un ton artificiel qui n'aura de cesse de rendre ses personnages exaspérants et son récit complètement désincarné. Gros ennui aussi.
Dernière modification par Colqhoun le 20 déc. 14, 10:52, modifié 1 fois.
Timbuktu : 6.5/10
Un film déséquilibré, passionnant dans sa première partie, puis qui se laisse rattraper par la lourdeur et le didactisme de son propos dans la seconde. Dommage car Sissako a un véritable talent de metteur en scène et de conteur.
In the Family : 7.5/10
Émouvant pamphlet contre l'homophobie, qui tient admirablement sa longueur, et interprétation touchante du tout jeune Sebastian Barnes.
Lucy : 1/10
Atteint des gouffres abyssaux de médiocrité et de bêtise.
Le Septième Fils 4.5/10
Deux-trois trucs sympas surnagent dans un ensemble mal fichu.
Les Pingouins De Madagascar 5/10
Les pingouins étaient la seule chose potable de l'insignifiante franchise de Dreamworks et méritaient bien d'avoir leur propre film. il aurait juste fallu trouver le début d'une idée avant de lancer la production.
Dumb & Dumber De 7/10
Je craignais le pire et au bout du compte, c'est pas si mal. Le piège de la suite-redite n'est pas évité mais le plaisir de revoir Lloyd et Harry est là.