Dvdclassik : cinéma et DVD

Guérilla des Farc, l'avenir à une histoire (Pierre Carles) : 7/10
- La forme est vraiment mauvaise mais c'est passionnant au niveau de la déconstruction de ce qu'on pense depuis des années du mouvement révolutionnaire. Et un Pierre Carles plus émouvant que jamais, jouant la transmission de son beau-père qui était cinéaste dans les années 70 au Colombie, via un film phare sur la guérilla, Canaguaro.

Super papa : 4/10

Nosferatu 7/10

L'Affaire Abel Trem (Gábor Reisz) 6/10

Gladiator 2 : 5.5

Nosferatu: 3,5/10
Heretic: 4/10
Les femmes au balcon: 4/10
Animale: 5,5/10

Nosferatu : 7/10

En grand fan du roman de Bram Stoker et de (bons) films de vampire en général, mes attentes étaient je dois le dire assez grandes. Surtout avec un faiseur d'images aussi doué qu'Eggers à la barre. Relativement fidèle au matériau d'origine, le réalisateur/scénariste signe ici une variation, appelons là ainsi, sans réelle surprise ni sur le fond donc, ni sur la forme puisqu'aussi somptueuse que ses précédents métrages (comme pour The Witch, on a l'impression à plusieurs reprises d'être littéralement devant des peintures flamandes). La flamboyance qui imprégnait le Dracula de Coppola laisse ici la place à une atmosphère sépulcrale (le film est d'ailleurs enveloppé la majeure partie du temps dans un linceul gris bleuté) avec un compte Orlock plus brutal, se rapprochant physiquement dans une certaine mesure du portrait de Vlad Tepes.

Cette petite revisite du personnage constitue du reste pour moi l'atout majeur de cette nouvelle adaptation ainsi que le traitement peut-être réservé à la Ellen Hunter incarnée par Lily-Rose Depp, clairement plus sexualisé. Par contre comme Aaron Taylor-Johnson, qui ne semble pas trop dans son élément et fait un peu tâche, j'avoue avoir quelques réserves concernant le jeu, j'imagine intentionnel, de la comédienne qui entraîne parfois le long-métrage limite vers le grotesque (je pense à une de ses nombreuses crises où, en transe, elle a les yeux révulsés et que le comte s'exprime par sa bouche, j'ai presque eu l'impression d'être dans L'Exorciste, j'ai trouvé ça vraiment too much).

Au final, l'envoûtement n'opère pas autant que souhaité (beaucoup apprécié la partie plutôt balisée avant l'arrivée d'Orlock à Wisburg, ainsi que la conclusion, magnifique) mais bon, on verra ce que ça donnera effectivement lors d'un futur revisionnage à la maison.

Nosferatu - 5/10

Vingt dieux 7/10
En fanfare : 7,5/10

Mary (Netflix) 3/10

Speak no evil (5,5/10) : Souvent malaisant, mais au final assez peu surprenant.
Gladiator 2 (5/10) : Globalement divertissant, mais on frise souvent le grotesque.

City of darkness : 5/10

Une langue universelle (Matthew Rankin) : 7/10
- Winnipeg esthétiquement marqué par la tradition persane + une étrange mise en scène qui rejoint celle de Mohammad Reza Aslani = de la joie à la tristesse, une quête personnel du cinéaste qui me donne envie de le revoir l'année prochaine. Et la découverte d'une chef opératrice qui faudra suivre dans les prochaines années : Isabelle Stachtchenko.
The Wall : 6/10
- Sous tension mais austère.

Sachez que G.T.O. et mannhunter ont vu Nosferatu. Et vous n’allez pas y croire…mais ils n’ont pas aimé.
(respectivement 4 et 3/10)
(oui je suis une balance)

La malédiction : l'origine : 6/10