Dvdclassik : cinéma et DVD

-Dhoom Dhaam:

Marrant dans sa première partie, mais trop inégal par la suite.
La condition de la femme dans la société Indienne est évoquée avec force par le personnage interprété par la belle et déjantée Yami Gautam

4,5/10

God save the Tuche : 5.5/10
L'attachement : 7.5/10

The monkey 6,5/10, fendard et assumé dans sa méchanceté, j'ai pensé à un épisode très gore des Simpsons.

The Last Showgirl de Gia Coppola 3/10
On a envie d'aimer ce film indé à l'ancienne, portrait de l'Amérique qui a raté le train du 21ème siècle et qui n'a plus rien à attendre de son champ de ruine, revanche de la bimbo des 90s qui prouve qu'elle sait faire mieux que courir sur la plage. Et je dois dire que Pamela Anderson s'en sort bien avec ce qu'on lui donne à jouer. Le problème est là: l'écriture est tout simplement mauvaise. Le drame mère-fille arrive de manière artificielle, téléphonée, sans aucune montée en tension ni évolution des personnages. Ainsi, malgré le bon travail des interprètes, tout sonne faux. J'ai eu l'impression de voir une liste de bonnes intentions qui échouent à se transformer en film.

Companion : 5/10

Spoiler (cliquez pour afficher)

Je suis un peu partagé. Sentiment ambivalent, parce que je mentirais si je disais que le visionnage m'a été désagréable, que je me suis terriblement ennuyé, que j'ai trouvé ça insupportable, etc...

Alors ça a beau faire un petit peu trop le malin (vouloir jouer la carte du mystère autour de la nature de l'héroïne, alors que c'est annoncé direct sur ton affiche, faut arrêter de nous prendre pour des teubés) et ressembler à un épisode de Black Mirror étiré sur plus de 90 minutes (un véritable genre en soi), je ne peux pas dire que j'ai passé un mauvais moment.
Je me suis même plutôt amusé, malgré (ou grâce à ?) une écriture pas finaude DU TOUT (le perso incarné par Jack Quaid est quand même chargé comme une mule), une mise en scène assez fadasse et une fin qui m'a fait rouler des yeux très fort, tellement c'est du vu, du revu et du rerevu. Mais il y a clairement un aspect ludique dans l'ensemble, qui m'a fait tenir tranquillement jusqu'au bout, curieux que j'étais de voir où tout ça allait mener.

Et Sophie Thatcher se donne vraiment à fond, elle est étonnante. Je crois que je suis désormais prêt à la suivre n'importe où.

Coeur sanglant : 6/10

Flol a écrit : ↑20 févr. 25, 17:48 Companion : 5/10

Spoiler (cliquez pour afficher)

Je suis un peu partagé. Sentiment ambivalent, parce que je mentirais si je disais que le visionnage m'a été désagréable, que je me suis terriblement ennuyé, que j'ai trouvé ça insupportable, etc...

Alors ça a beau faire un petit peu trop le malin (vouloir jouer la carte du mystère autour de la nature de l'héroïne, alors que c'est annoncé direct sur ton affiche, faut arrêter de nous prendre pour des teubés) et ressembler à un épisode de Black Mirror étiré sur plus de 90 minutes (un véritable genre en soi), je ne peux pas dire que j'ai passé un mauvais moment.
Je me suis même plutôt amusé, malgré (ou grâce à ?) une écriture pas finaude DU TOUT (le perso incarné par Jack Quaid est quand même chargé comme une mule), une mise en scène assez fadasse et une fin qui m'a fait rouler des yeux très fort, tellement c'est du vu, du revu et du rerevu. Mais il y a clairement un aspect ludique dans l'ensemble, qui m'a fait tenir tranquillement jusqu'au bout, curieux que j'étais de voir où tout ça allait mener.

Et Sophie Thatcher se donne vraiment à fond, elle est étonnante. Je crois que je suis désormais prêt à la suivre n'importe où.

Presque pareil, à la différence que le film ne vieillit pas très bien dans ma tête.
Du coup, Companion : 4.5/10

L'attachement : 7/10

Shin Cyberlapinou a écrit : ↑20 févr. 25, 11:38 The monkey 6,5/10, fendard et assumé dans sa méchanceté, j'ai pensé à un épisode très gore des Simpsons.

Un épisode qui, du fait de la répétitivité des accidents mortels, m'a semblé très long (c'est un peu le problème récurrent des adaptations de nouvelle, par essence courte) et m'a donc vite lassé malgré sa débauche d'effets gore. Excepté au détour de quelques furtives images, je n'y ai du reste pas trop retrouvé la patte du réalisateur et encore moins l'ambiance de ces précédents métrages. Bref, grosse, grosse déception.

Du coup, The Monkey : 4/10 et j'aimerais réajuster dans la foulée ma note de Companion en la montant à 5, merci d'avance Karras.

The brutalist: 4/10

La chambre d'à côté (6,5/10) : Un duo d'actrices au diapason pour un récit intime qui manque un peu de souffle.
La voyageuse (2/10) : Le cinéma de HSS ressemble de plus à cette séquence où l'on voit Isabelle Huppert jouer du pipeau.

TheGentlemanBat a écrit : ↑20 févr. 25, 20:58

Shin Cyberlapinou a écrit : ↑20 févr. 25, 11:38 The monkey 6,5/10, fendard et assumé dans sa méchanceté, j'ai pensé à un épisode très gore des Simpsons.

Un épisode qui, du fait de la répétitivité des accidents mortels, m'a semblé très long (c'est un peu le problème récurrent des adaptations de nouvelle, par essence courte) et m'a donc vite lassé malgré sa débauche d'effets gore. Excepté au détour de quelques furtives images, je n'y ai du reste pas trop retrouvé la patte du réalisateur et encore moins l'ambiance de ces précédents métrages. Bref, grosse, grosse déception.

La répétitivité relative ne m'a pas tellement gêné, et j'ai trouvé intéressant que Perkins aille justement sur d'autres terrains que mettons Longlegs (le seul autre film que j'ai vu de lui, pas avare en situations incongrues), la comédie allant au delà du simple clin d'œil complice. Quelqu'un sait si la nouvelle de King jouait sur le même registre ?

Karras a écrit : ↑21 févr. 25, 07:53 La voyageuse (2/10) : Le cinéma de HSS ressemble de plus à cette séquence où l'on voit Isabelle Huppert jouer du pipeau.

Vu les notes que tu mets à tous ses derniers films, pourquoi te punir à les regarder encore ?

5 septembre, Tim Fehlbaum : 7/10.
Un thriller historique haletant qui suit à bâtons rompus le drame des JO de Munich du point de vue des journalistes sportifs de la ABC. Le film a le grand mérite de nous montrer l'une des naissances de l'infotainment et tous les dilemmes que cela implique par des personnes qui ont encore une conscience. On aurait sans doute aimé un peu plus de densité et de profondeur dans l'écriture. Le casting international est impeccable, comme la reconstitution d'époque.

Le Mohican, Frédéric Farucci : 4/10.
Entreprise louable mais dispensable.

The Gorge / Scott Derrickson _ 4
Le concept de ce qu'il y dans la gorge ne manque pas d'intérêt, tout comme d'associer film de romance et d'horreur (vite fait).
Mais qu'est ce que c'est laid visuellement et réalisé/monté n'importe comment.

The Brutalist : 7/10