Dvdclassik : cinéma et DVD

origan42 a écrit : ↑18 juil. 24, 14:55 Je m'explique un peu : des situations, des réactions pas ou peu vraisemblables ou fabriquées (ex G. Farahani au resto), une haine bien identifiée d'un côté mais pas du tout de l'autre (Cotillard), comme une volonté de faire du Bergman (sans en atteindre la cheville), malgré des moments où on se dit ça y est l'émotion arrive, ça m'a finalement gonflé...
(J'aime bien Desplechin, en général, je précise !).

C'est justement ce mystère entretenu sur la cause des haines qui rend le film encore plus captivant je trouve. Quelques phrases nous font quand même à peu près deviner ce qu'il en est.

Jeremy Fox a écrit : ↑18 juil. 24, 13:49 Après les superbes Rois et reines, Un conte de Noël, Jimmy P. , Trois souvenirs de ma jeunesse, Roubaix une lumière et Tromperie, me voici devant un septième coup de cœur provenant du cinéma de Desplechin.

Ça n'a pas tardé

tchi-tcha a écrit : ↑18 juil. 24, 15:13

Jeremy Fox a écrit : ↑18 juil. 24, 13:49 Après les superbes Rois et reines, Un conte de Noël, Jimmy P. , Trois souvenirs de ma jeunesse, Roubaix une lumière et Tromperie, me voici devant un septième coup de cœur provenant du cinéma de Desplechin.

Ça n'a pas tardé

Merci à toi en tout cas pour le rappel

tchi-tcha a écrit : ↑18 juil. 24, 15:13

Jeremy Fox a écrit : ↑18 juil. 24, 13:49 Après les superbes Rois et reines, Un conte de Noël, Jimmy P. , Trois souvenirs de ma jeunesse, Roubaix une lumière et Tromperie, me voici devant un septième coup de cœur provenant du cinéma de Desplechin.

Ça n'a pas tardé

C'est terrible. Il manque dans sa liste ses deux meilleurs films

Oui c’est vrai il manque La Vie des morts et Esther Kahn

Et la sentinelle.

murphy a écrit : ↑18 juil. 24, 21:21 Et la sentinelle.

Et Comment je me Suis disputé...

Le dernier (sur le confinement) s'est fait démolir au Masque.

murphy a écrit : ↑18 juil. 24, 21:35Le dernier (sur le confinement) s'est fait démolir au Masque.

Je flaire la vanne mais au cas où ta remarque serait au premier degré : tu ne confondrais pas Desplechin et Assayas ?

̷A̷̷u̷tant ̷p̷̷o̷̷u̷̷r̷ ̷m̷̷o̷̷i̷. Au temps pour moi.

Demi-Lune a écrit : ↑12 juil. 24, 21:01 L'EXORCISTE II : L'HÉRÉTIQUE (John Boorman, 1977) — 4/10

Avoue que tu l'as retenté en te disant que cette fois, ce serait peut être la bonne!

Petit Pazuzu, va

Alexandre Angel a écrit : ↑20 juil. 24, 13:47

Demi-Lune a écrit : ↑12 juil. 24, 21:01 L'EXORCISTE II : L'HÉRÉTIQUE (John Boorman, 1977) — 4/10

Avoue que tu l'as retenté en te disant que cette fois, ce serait peut être la bonne!

Moui, et c'est toujours aussi foiré.

Ce film produit cet effet-là, c'en est fascinant. On y revient inlassablement pour s'y casser invariablement les dents.
J'en suis encore à attendre l'opportunité d'une belle édition alors que j'ai bazardé le dvd depuis des lustres.

Deux films au coude-à-coude pour ce mois de juillet tronqué à trois grosses semaines.

Une romcom nippone qui n'a de cesse de prendre à rebours les conventions du genre pour cultiver son petit lopin de dépression larvée. Sans toutefois s'élever au niveau de Nuclear Gypsies, que je considère comme l'une des authentiques pépites cachées du cinéma japonais, elle porte en cela incontestablement la marque de Morisaki, scénariste et réalisateur aussi atypique qu'attachant depuis ses débuts à l'ombre de Yamada, véritable orfèvre en discrètes ruptures de ton pour capter le mal-être procédant des plus insidieuses mutations sociétales.

Et une comédie dans la droite lignée de mon Kakabakaba ka ba ? chéri. Politiquement moins poil à gratter, certes, mais toute aussi déjantée, et servie par un quatuor de potes heureux de faire les 400 coups ensemble et dont le plaisir à se lâcher s'avère on-ne peut plus communicatif. Jusqu'à sérieusement titiller les zygomatiques. Avec en prime le plus joli défilé de caméos féminins du cinéma philippin de cette époque (Amy Austria, Sandy Andolong, Gina Alajar, Rio Locsin, Hilda Koronel...), que demander de plus ? La comédie estivale idéale en quelque sorte.


Tout près :

Spoiler (cliquez pour afficher)

Variety (Bette Gordon - 1983)


Mario, Maria et Mario (Ettore Scola - 1993)


Mélodie Tzigane (Seijun Suzuki - 1980)


O.C.T.B. (Kirk Wong - 1994)


Tri (Aleksandar Petrovic - 1965)


La mia signora (Tinto Brass, Luigi Comencini & Mauro Bolognini - 1964)


N'ouvrez jamais cette porte (Carlos Hugo Christensen - 1952)


La lanterne pivoine (Satsuo Yamamoto - 1968)


Moonlight Express (Daniel Lee - 1999)