Papus a écrit : ↑31 juil. 23, 20:14
Par contre Flol attention, chiens de la casse c'est prohibé pour toi. Tout est dans le titre.
C’est déjà vu (il est dans mon top 5 en page précédente, je l’ai noté dans le topic des films sortis en salle et j’en ai fait une petite review ).
Mais effectivement, il y a un moment en particulier qui m’a pas mis bien bien…
Ah ouais c'est bien alors ? J'ai été tenté étant donné que c'est carrément l'auteur Inoue qui est à la real mais rebuté par cette animation 3d j'ai pas sauté le pas.
Si tu valides je vais peut être m'y résoudre.
T’es morte Hélène (Michiel Blanchart, 2021, c.m.) **** Pique-nique en pyjama (Stanley Donen / George Abbott, 1957) **** La station thermale d’Akitsu (Yoshishige ‘Kijū’ Yoshida, 1962) **** La provinciale (Claude Goretta, 1980) **** Lions d'Afrique (James Algar, 1955) ****
Le déserteur de Fort Alamo (Budd Boetticher, 1953) *** Equilibrium (Kurt Wimmer, 2002) *** Nous étions jeunes (Binka Jeliaskova, 1961) *** Éclairage intime (Ivan Passer, 1965) *** L’étranger (Luchino Visconti, 1967) *** Broken flowers (Jim Jarmusch, 2005) *** Le signal rouge (Ernst Neubach, 1949) *** L’homme qui a volé le soleil (Kazuhiko Hasegawa, 1979) *** Mission Impossible - Dead reckoning Partie 1 (Christopher McQuarrie, 2023) *** La cité de la violence (Sergio Sollima, 1970) *** Annie Colère (Blandine Lenoir, 2022) *** Tirailleurs (Mathieu Vadepied, 2022) *** Coup de théâtre (Tom George, 2022) *** Trois milliards d’un coup (Peter Yates, 1967) *** Une mort sans importance (Yvan Noé, 1948) *** La place d’une autre (Aurélia Georges, 2021) *** Whispering wires (Albert Ray, 1926) *** Manipulations (Rod Lurie, 2000) *** Les gardiens de la galaxie vol. 3 (James Gunn, 2023) *** Belle et Sébastien (Nicolas Vanier, 2013) *** Le mioche (Léonide Moguy, 1936) ***
Ma femme est une actrice (Yvan Attal, 2001) ** Infernal affairs II (Andrew Lau / Alan Mak, 2003) ** Ciboulette (Claude Autant-Lara, 1933) ** Max et Jérémie (Claire Devers, 1992) ** Babylon (Damien Chazelle, 2022) ** Emily, criminelle malgré elle (John Patton Ford, 2022) ** Circulez y’a rien à voir ! (Patrice Leconte, 1983) ** Le nouveau jouet (James Huth, 2022) ** La pluie du diable (Robert Fuest, 1975) ** 40 ans, toujours puceau (Judd Apatow, 2005) ** Le masque de l’araignée (Lee Tamahori, 2001) ** Un talent en or massif (Tom Gormican, 2022) ** Une femme de notre temps (Jean-Paul Civeyrac, 2022) ** Les week-ends de Néron (Steno, 1956) ** Noir comme le souvenir (Jean-Pierre Mocky, 1995) ** Belle et Sébastien - L'aventure continue (Christian Duguay, 2015) ** À propos de Joan (Laurent Larivière, 2022) ** Bête, mais discipliné (Claude Zidi, 1979) ** Prophecy - Le monstre (John Frankenheimer, 1979) **
Rimbaud Verlaine (Agnieszka Holland, 1995) * Le parfum vert (Nicolas Pariser, 2022) * Comme les cinq doigts de la main (Alexandre Arcady, 2010) * Hunted (Susan Montford, 2008) * Manipulations (Shintaro Shimosawa, 2016) *
RE-VISION La vérité sur Bébé Donge (Henri Decoin, 1952) *** ↑
INTERPRÉTATION FÉMININE DU MOIS : CAROL HANEY Gladys Hotchkiss dans Pique-nique en pyjama INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : KENJI SAWADA Makoto Kido dans L'Homme qui a volé le soleil
Dernière modification par origan42 le 1 août 23, 10:31, modifié 2 fois.
Ah ouais c'est bien alors ? J'ai été tenté étant donné que c'est carrément l'auteur Inoue qui est à la real mais rebuté par cette animation 3d j'ai pas sauté le pas.
Si tu valides je vais peut être m'y résoudre.
Si tu as lu le manga, c'est l'adaptation du dernier match de la série qui était déjà assez exceptionnel sur papier. Et si tu l'as pas lu c'est adapté avec suffisamment de brio pour ne pas avoir besoin de connaître le matériau original. Franchement c'est visuellement incroyable je le classe dans les meilleurs film de sport que j'ai jamais vu, on vit de l'intérieur l'adrénaline d'un match de basket comme on ne l'a jamais ressenti, l'animation est splendide. Je l'avais vu en avant-première au Grand Rex, le public était tellement pris dedans qu'on se serait cru au stade dans les dernières minutes
Que je vais évidemment regarder. Dans son dernier, sa première scène est au téléphone mais on ne le voit pas. Seulement le son de sa voix. Et même là, il est au-dessus de la mêlée.
Dernière modification par UnMecRandom le 31 juil. 23, 23:46, modifié 1 fois.
Cette sacrée vérité (The Awful Truth), de Leo McCarey (1937) : 8/10
Casque d'or, de Jacques Becker (1952) : 7,5/10 Comment tuer un juge, de Damiano Damiani (1975) : 7,5/10
Le Maître d'école, de Claude Berri (1981) : 7/10 Du Rouge pour un truand (The Lady in Red), de Lewis Teague (1979) : 7/10 Les Coupables (Processo alla città), de Luigi Zampa (1952) : 7/10 Mutant, de John Cardos (1984) : 7/10
Du Rififi à Paname, de Denys de la Patellière (1966) : 6,5/10 Le Drapeau noir flotte sur la marmite, de Michel Audiard (1971) : 6,5/10 Brannigan, de Douglas Hickox (1975) : 6,5/10 Kompromat, de Jérôme Salle (2022) : 6,5/10
Le Plus grand cirque du monde (Circus World), de Henry Hathaway (1964) : 6/10 La Tête contre les murs, de Georges Franju (1959) : 6/10
Un Homme idéal, de Yann Gozlan (2015) : 5,5/10
Montagne rouge (Red Mountain), de William Dieterle (1951) : 5/10
L'Oasis des tempêtes (The Land Unknown), de Virgil W. Vogel (1957) : 4/10
Films revus : Hors compétition :
Association criminelle (The Big Combo), de Joseph H. Lewis (1955) : 9/10
La cage, de Pierre Granier-Deferre (1975) : 8/10
Uranus, de Claude Berri (1990) : 7,5/10
La Guerre des polices, de Robin Davis (1979) : 7/10
Beatrice Cenci
L'histoire : l'assassinat par sa famille d'un seigneur italien qui est un monstre envers tout le monde.
Loin d'être le meilleur Fulci, mais un tournant dans sa carrière. C'est pourtant un des favoris du cinéaste qui a voulu faire son grand film et montrer qu'il était un vrai auteur et non un artisan. Il y a quelques bonnes choses à picorer, les acteurs sont bons, mais ça se casse la gueule au niveau narratif à la moitié. Pas fan de l'ellipse qui rend le tout confus pendant 20 minutes. Là où le film est intéressant, c'est dans sa description de l'inquisition et du pouvoir religieux en Italie avec séances de tortures à l'appui. Attention, c'est du Fulci mais ce n'est pas du tout gore, c'est plus un drame historique. Echec public et critique, la réception a été très mal prise par Fulci qui s'est ensuite tourné vers l'horreur pour notre bonheur. Une curiosité que ce Beatrice Cenci mais ne vous attendez pas à monts et merveilles. Dommage car le film a vraiment de la gueule par moments.
UnMecRandom a écrit : ↑1 août 23, 01:20Beatrice Cenci
L'histoire : l'assassinat par sa famille d'un seigneur italien qui est un monstre envers tout le monde.
Loin d'être le meilleur Fulci, mais un tournant dans sa carrière. C'est pourtant un des favoris du cinéaste qui a voulu faire son grand film et montrer qu'il était un vrai auteur et non un artisan. Il y a quelques bonnes choses à picorer, les acteurs sont bons, mais ça se casse la gueule au niveau narratif à la moitié. Pas fan de l'ellipse qui rend le tout confus pendant 20 minutes. Là où le film est intéressant, c'est dans sa description de l'inquisition et du pouvoir religieux en Italie avec séances de tortures à l'appui. Attention, c'est du Fulci mais ce n'est pas du tout gore, c'est plus un drame historique. Echec public et critique, la réception a été très mal prise par Fulci qui s'est ensuite tourné vers l'horreur pour notre bonheur. Une curiosité que ce Beatrice Cenci mais ne vous attendez pas à monts et merveilles. Dommage car le film a vraiment de la gueule par moments.
L'idée de ce topic là, c'est plutôt d'échanger sur nos "films du mois", en lien avec le topic mensuel de note, on y présente nos enthousiasmes respectifs sans avis détaillé.
Pour tes avis quotidiens, il y a sur le forum des topics dédiés (par réalisateurs, par genre, etc...), sur lesquels tes avis seront mieux mis en valeur, et pourront susciter la discussion.
Alexandre Angel a écrit :[/b]8 time=1690816672 user_id=9770]
C'est pas bien ? (ce n'est pas reproduit là mais je précise que tu as mis 2 étoiles).
J'ai toujours voulu voir ce film depuis l'époque où je me suis intéressé à Lester, soit dès la première diffusion de La Rose et la Flèche à la télé (1981).
Pas à mon goût
Mais il faut savoir que je suis (très) rarement client de l'approche Lester, particulièrement dans les années 70.
Même La Rose et la Flèche ?
J'aime bien ses mousquetaires (Oliver Reed est un très bon Athos, presqu'aussi bien que Van Heflin) qui bénéficient d'une reconstitution assez somptueuse.
Mais pour les années 70, je suis fan aussi de Juggernaut.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Il me semblait qu'il s'agissait du président de la République de Chine, donc Taïwan dont il était question dans cet extrait. Et j'ai cru le comprendre comme ça en mandarin également. A vérifier, j'ai un doute.
Beule a écrit : ↑31 juil. 23, 23:08
Mais là sur l'affiche, on a Chikage Awashima, Ryô Ikebe et Keiko Kishi. C'est donc plutôt l'affiche de Printemps précoce que tu proposes