Dvdclassik : cinéma et DVD

zemat a écrit : ↑19 déc. 23, 17:20WONKA : 5,5/10
Bien réalisé, casting sympathique (même Chalamet qui m’horripile d’habitude), les chansons plutôt OK, mais j'ai eu du mal à me passionner pour le résultat…
Je préfère de très loin les 2 Paddington revus ces 2 dernières semaines avec les kids.

J'ai écouté les chansons à part et elles sont mieux passées. Je dirais même que certaines m'ont bien accroché (la première notamment). Après il faut noter que les deux meilleures chansons du film sont en réalité des reprises du film de 71. Je lui laisserai donc une seconde chance lors de sa sortie 4K.

Quiz Lady - Jessica Yu - 5/10

Killers of the flower moon : 9/10

The Killer (Netflix) 7/10

Perfect Days 4/10

-Anatomie d'une chute:

Du cinéma Français de très grande qualité, extrêmement bien joué et assez passionnant à suivre, même si je ne suis pas spécialement convaincu par le dénouement.


6,5/10

Hunger Games : la ballade du serpent et de l'oiseau chanteur (4,5/10)

Chicken Run - La Menace nuggets / Sam Fell _ 6

Finestkind / Brian Helgeland _ 4

Thanksgiving : 6/10

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Aucun doute : avec tous ces personnages absolument imblairables et cet humour potache de petit con, on est bel et bien face à un film de Eli Roth.
Et pour autant, le type a réussi là son meilleur film depuis le premier Hostel.

Parce que ça a beau être sur des rails et pas très bien branlé en terme de construction scénaristique (sans parler du méchant qui se met soudainement à tout surjouer à partir du moment où son identité est dévoilée), j'avoue m'être régulièrement bien marré devant cet étalage de bêtise (le premier quart d'heure est presque douloureux à regarder, tellement j'ai eu envie d'assassiner tous ces gros débiles), doublé d'une générosité et d'une inventivité dans les meurtres gorasses assez réjouissantes (la nana coupée en deux par la poubelle métallique !).
Sans doute parce qu'il a la bonne idée d'éclater allégrement la tronche de tous ces clichés ambulants, ce qui est LA raison principale pour laquelle j'apprécie le genre du slasher.
Bon je l'aurai déjà oublié la semaine prochaine, mais ça faisait donc bien longtemps qu'un film de ce sale petit con content de lui qu'est Eli Roth ne m'avait pas autant satisfait. Et ça me fait presque mal de le dire, croyez-moi.

PS : c'est moi ou Nell Verlaque (ma foi fort jolie) est un sosie troublant de Lana Del Rey (avec un peu de Julia Roberts jeune aussi) ?

Maestro / Bradley Cooper _ 6
Le film fait preuve d'un beau sens esthétique à travers sa photo (Matthew Libatique) et sa direction artistique. Bradley Cooper ose les longs plans au cadre fixe, à la manière d'une scène de theatre, pour laisser les comédiens (dont lui) s'exprimer. Mais durant 1h30 le film ne semble qu'un bout à bout sans âmes et sans émotions cochant une à une les cases du récit autobiographique, qui plus est déjà maintes et maintes fois raconté au cinéma : la rencontre, la femme derrière le génie, le trio amoureux difficilement accepté, la jalousie, l'homosexualité qu'il faut cacher, le déchirement,... Bien que Bradley Cooper mouille la chemise, affichant bien qu'il souhaite donner une prestation totale et habitée, le résultat n'est que distant et froid et le personnage une sorte de pantin qui mime une case après l'autre. Il faut attendre la dernière demi-heure pour que le récit et les émotions se libèrent enfin.

Je ne me suis jamais intéressé à la vie et au parcours professionnel de Leonard Bernstein, ne connaissant de lui que sa composition pour le film West Side Story de Robert Wise, donc juste à partir de la vision, surement énormément tronquée, qu'en donne Bradley Cooper je m'interroge sur ce qui a bien pu motiver l'envie de lui accorder un biopic.

Sick of myself (Borgli) : 5/10

Maestro : 7/10

La photographie est belle et les interprètes sont bons. Le script a été travaillé proprement. Mais ça ne va pas plus loin. Le film passe à côté de Bernstein en prenant le parti que c'est par sa femme qu'on le connaîtra mieux. Mais sa femme n'était pas musicienne. On a donc droit à une belle histoire d'amour, très romantique, avec ses très hauts et ses très bas, censée illustrer l'homme dans son comportement amoureux, mais pour connaître le compositeur et chef d'orchestre, il y a bien mieux (la vidéographie du vrai bonhomme est immense et éclairante). Sa passion de la musique est trop peu explorée dans ce biopic, un comble ! Et donc parce que ces deux aspects sont trop faiblement liés, le film manque d'émouvoir. Reste un bel objet bien fichu.

Et la fête continue ! 5/10

Mars express 5/10

tchi-tcha a écrit : ↑30 nov. 23, 22:01 Thanksgiving : la semaine de l'horreur (Eli Roth) 2/10

...si on pouvait arrêter de qualifier d'inventifs les meurtres dès que le tueur utilise autre chose qu'un couteau, ce serait gentil, merci

Trois semaines plus tard :

Flol a écrit : ↑20 déc. 23, 16:31 Thanksgiving : 6/10

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...d'une générosité et d'une inventivité dans les meurtres gorasses assez réjouissantes (la nana coupée en deux par la poubelle métallique !).

Ça n'a pas manqué