Dvdclassik : cinéma et DVD

Better man (6/10) : Loin d'être fan du chanteur et des boys band ( je connais a peu près de lui que "Angel" ), mais la forme est innovante.
Bridget Jones : folle de lui (4/10) : Un scénario qui joue uniquement sur la nostalgie.

The Brutalist, Brady Corbet : 9/10.

Un film aussi déroutant qu'incroyable. Quand on voit ce que Brady Corbet et son équipe ont réussi à tirer d'un budget relativement modeste, ce réalisateur est promis a une immense carrière. L'ensemble n'est pas totalement parfait, mais tellement enthousiasmant !

The Killer's Game (Amazon Prime) 5/10

Strip-Tease Intégral : 7/10
Les damnés : 8,5/10

Wulfa a écrit : ↑16 févr. 25, 07:23 The Brutalist, Brady Corbet : 9/10.

Un film aussi déroutant qu'incroyable. Quand on voit ce que Brady Corbet et son équipe ont réussi à tirer d'un budget relativement modeste, ce réalisateur est promis a une immense carrière. L'ensemble n'est pas totalement parfait, mais tellement enthousiasmant !

J'ai eu cet enthousiasme pendant 30-40 minutes. Après tout est violemmentretombé, malgré une ou deux séquences impressionnantes et des plans réussis, des acteurs investis, ce fut un calvaire. Rarement vu une œuvre aussi misérabiliste, complaisante envers ses ambitions, sa volonté "coups de coude" de faire des moments marquants, etc...

The Brutalist = 4/10...

C'est du brutale ta critique.

The Brutalist 7,5/10

Très difficile à noter.
J'ai été enthousiasmé par la première partie et sa fable qui tourne autour d'un projet de bibliothèque (qui se suffit presque à elle même) ! Je me suis dit : enfin un film sur la puissance de l'architecture et du design ! Il ne me parait pas anodin que le projet de bibliothèque de la 1ère partie consiste en un aménagement intérieur (au passage un bel hommage à la BNF de Dominique Perrault ), alors que la seconde moitié du film concerne un projet de bâtiment nouveau dont on percevra difficilement les intérieurs, un sorte de château moderniste opaque perché au sommet d'un colline (une référence à Kafka peut-être ?) Deux projets, deux parties, avec une brutale rupture de ton entre les 2.
Le film est admirable par son ambition, MAIS on peut nourrir quelques regrets. Le film n'est pas le portrait d'un artiste, son sujet n'est pas la création : on voit très peu le travail de conception de Laszlo. Ça n'est pas le Michel-Ange de Kontchalovski, film auquel on pense forcément lors de la séquence à Carrare. D'ailleurs László ne semble pas être un grand architecte : son projet est quand même médiocre et le discours qu'il sert pour l'expliquer est très faible. En comparaison on peut regarder les vidéos de présentation de ses projets par l'architecte américain Louis Kahn sur youtube, séquences qui ont sûrement inspiré le film



J'aurais aimé voir un fim plus fiévreux, plus fou, plus lyrique, peut-être plus complexe également (comme le Kontchalovski). La relation qu'il entretient à son commanditaire bascule subitement sans qu'on y comprenne vraiment quelque chose. On sent que c'est plus une volonté des créateurs de surprendre en changeant de ton à mis parcours, mais sans que cela soit une nécessité narrative induite par la situation des protagonistes. Je me demande si le film n'aurait pas gagné à garder le ton positif de la 1ère partie en racontant une forme de résolution des traumas par la création d'un projet.

Dunn a écrit : ↑16 févr. 25, 14:52 C'est du brutale ta critique.

When the Light Breaks : 7,5/10
It's Okay! : 7/10
L'Attachement : 6,5/10
La fabrique du mensonge : 5,5/10

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Le Quatrième mur
La Voyageuse
La Pie voleuse
Julie se tait
Mon gâteau préféré

The gorge : 5,5/10

Le Mohican / Frédéric Farrucci _ 6
La "petitesse" du traitement du récit pourtant foisonnant (propriété terrienne, élevage, mafia, intimidation de la population, corruption policière, pouvoir des réseaux sociaux, entraide citoyenne,...) est une approche qui ne manque pas completement d'intérêt mais c'est tout de même un sentiment de manque d'ampleur et d'ambition qui domine à l'arrivée du générique de fin. Le faible budget n'y est sûrement pas pour rien dans ce qui serait plus une contrainte qu'un parti pris originel.
La bande son, signée Rone, est superbe.

Cœur sanglant - 2/10

Un ours dans le Jura : 5,5/10
L'amour au présent : 5/10
Presence : 5/10
Un parfait inconnu : 3,5/10