Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[Jeremy Fox]

Bon souvenir de cet Hoffman à l'atmosphère trouble, de mon côté.

Sinon, ce soir, je finis mon mini cycle R.G. Springsteen, avec la découverte de Taggart, dont Jeremy pense le plus grand bien (Taggart)

Ah oui c'est vrai

[Mosin-Nagant]

Spoiler (cliquez pour afficher)

C'est comment ?

Le film mérite vraiment le coup d'œil. Certains dialogues délivrés par Sellers sont savoureux, l'ambiance du début est très malsaine (ce point de départ, politiquement incorrect, serait impossible à vendre aujourd'hui) puis ça évolue vers quelque chose d'autre...

L'alchimie entre les deux acteurs fonctionne parfaitement (ils auraient eu une courte liaison sur le tournage donc rien d'étonnant) et j'ai beaucoup apprécié cette réflexion sur l'automne sentimental d'un homme qui essaye une dernière fois d'être aimé. Après, je trouve que la conclusion ne fonctionne pas. Ce qui est dommage. Pourtant, ça ne gâche pas mon ressenti assez positif envers cette adaptation d'une pièce de théâtre filmée (presque un huit clos, du coup). Je rajoute que Sinead Cusack est toute même assez craquante même si son rôle peut parfois légèrement agacer.

Bref, je ne regrette pas cet achat à l'aveugle. Les suppléments sont très intéressants (j'y ai appris, entre autre, que c'était Donald Pleasence qui avait interprèté le rôle d'Hoffman dans la pièce d'origine). Je ne détaille pas plus pour préserver le plaisir de la découverte.

[Mosin-Nagant]

Ce soir, ce sera encore du Peter Sellers grâce à Powerhouse Films :

[Joshua Baskin]

C'est comment ?

Le film mérite vraiment le coup d'œil. Certains dialogues délivrés par Sellers sont savoureux, l'ambiance du début est très malsaine (ce point de départ, politiquement incorrect, serait impossible à vendre aujourd'hui) puis ça évolue vers quelque chose d'autre...

L'alchimie entre les deux acteurs fonctionne parfaitement (ils auraient eu une courte liaison sur le tournage donc rien d'étonnant) et j'ai beaucoup apprécié cette réflexion sur l'automne sentimentale d'un homme qui essaye une dernière fois d'être aimé. Après, je trouve que la conclusion ne fonctionne pas. Ce qui est dommage. Pourtant, ça ne gâche pas mon ressenti assez positif envers cette adaptation d'une pièce de théâtre filmée (presque un huit clos, du coup). Je rajoute que Sinead Cusack est toute même assez craquante même si son rôle peut parfois légèrement agacer.

Bref, je ne regrette pas cet achat à l'aveugle. Les suppléments sont très intéressants (j'y ai appris, entre autre, que c'était Donald Pleasence qui avait interprèté le rôle d'Hoffman dans la pièce d'origine). Je ne détaille pas plus pour préserver le plaisir de la découverte.

Merci beaucoup, ça donne envie.

Ce soir, ce sera encore du Peter Sellers grâce à Powerhouse Films :

C'est comment ? Je l'ai reçu cette semaine tout comme toi.

[Flol]

Décidément, après Doctor Sleep, je commence à apprécier le travail de Mike Flanagan ; tu connais ses autres films (ou séries) ?

J'ai tout vu de lui, excepté sa dernière série pour Netflix (The Midnight Club) et une autre de ses séries pour Netflix (The Haunting of Bly Manor, que je n'ai pas réussi à voir jusqu'au bout parce que trop relou).
Si tu ne les as pas vus, je te conseille en priorité Absentia, Oculus et Before I Wake. Dans un autre genre (plus simple mais sacrément efficace), tu peux aussi te lancer en toute tranquillité dans Hush.

Le film mérite vraiment le coup d'œil. Certains dialogues délivrés par Sellers sont savoureux, l'ambiance du début est très malsaine (ce point de départ, politiquement incorrect, serait impossible à vendre aujourd'hui) puis ça évolue vers quelque chose d'autre...

L'alchimie entre les deux acteurs fonctionne parfaitement (ils auraient eu une courte liaison sur le tournage donc rien d'étonnant) et j'ai beaucoup apprécié cette réflexion sur l'automne sentimentale d'un homme qui essaye une dernière fois d'être aimé. Après, je trouve que la conclusion ne fonctionne pas. Ce qui est dommage. Pourtant, ça ne gâche pas mon ressenti assez positif envers cette adaptation d'une pièce de théâtre filmée (presque un huit clos, du coup). Je rajoute que Sinead Cusack est toute même assez craquante même si son rôle peut parfois légèrement agacer.

Bref, je ne regrette pas cet achat à l'aveugle. Les suppléments sont très intéressants (j'y ai appris, entre autre, que c'était Donald Pleasence qui avait interprèté le rôle d'Hoffman dans la pièce d'origine). Je ne détaille pas plus pour préserver le plaisir de la découverte.

Tu devrais plus souvent parler de cinéma, tu sais.

C'est comment ? Je l'ai reçu cette semaine tout comme toi.

C'est comment ? Je l'ai reçu cette semaine tout comme toi.

[Alibabass]

Nom de code vegan : EO pour ce soir.

[Boubakar]

Pour une soir, une bizarrerie HK : The magic crystal.

[Duane Jones]

Ce soir, je vais peut-être tenter The Stranger de Thomas M. Wright sur Netflix. Y'a Sean Harris, acteur qui me fascine depuis Creep de Christopher Smith et Isolation de Billy O'Brien. Et il y a aussi Joel Edgerton, acteur que je ne connaissais quasiment pas et que je vois partout depuis quelques temps, sans faire gaffe j'ai rattrapé une partie de sa carrière en 2 ou 3 mois, Warrior, Loving, The King, Green Knight, 13 vies (très bon Ron Howard), The Underground Railroad entre autres.

[Dale Cooper]

Demain je me lève à 4h pour aller bosser. Dans 7h au moment où j'écris.
Ce sera un épisode de The Office et dodo.

[Mosin-Nagant]

C'est comment ? Je l'ai reçu cette semaine tout comme toi.

Tu devrais plus souvent parler de cinéma, tu sais.

Je suis un gros flemmard, il faut le savoir.

[higa]

Je suis en train d'explorer la filmo de Franco Piavoli avec les joli DVD sortis chez Potemkine, ce soir : Voci nel Tempo et une poignée de courts métrages pour compléter.

[Zelda Zonk]

Si vous aimez Patrick Dewaere, ne manquez pas le film documentaire d'Alexandre Moix qui lui est consacré : Patrick Dewaere, mon père mon héros, ce soir sur France 5 (21h)

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Résumé :
En 1974, dans "Les Valseuses", le public découvre une future icône du cinéma français : Patrick Dewaere. A travers son éternelle jeunesse, sa fougue, ses révoltes, mais aussi sa fragilité et ses blessures, Patrick Dewaere incarne toute une génération. Il se suicide en 1982 à l'âge de 35 ans. Pour la première fois, sa fille Lola Dewaere raconte ce père disparu trop tôt. Elle révèle le vrai Patrick Dewaere et répond enfin aux questions qui entourent le mystère de sa mort. Le documentaire retrace le parcours chaotique d'un homme meurtri par une enfance tragique. Enfant violé, déscolarisé par une mère qui lui ment sur ses origines et qui l'oblige à devenir acteur, adolescent en rupture avec sa famille et la société, Patrick Dewaere a connu un destin hors-norme où cinéma et drames personnels se confondent.

Critique de Télérama :
Son énergie de chien fou le rendait sympathique. Mais, quarante ans après son suicide, le 16 juillet 1982, c’est l’étrangeté de Patrick Dewaere qui nous saute aux yeux, son tempérament extrême de star indomptée et même inadaptée du cinéma français. L’ambition de ce documentaire est justement d’aborder frontalement les tourments dans lesquels fut plongé cet écorché vif. Sa mère, Mado Maurin, l’élève dans le mensonge, lui cache l’identité de son véritable père, le condamne au manque d’amour et fait de lui un enfant acteur mis à la disposition des réalisateurs et qui sera violé…
Ce récit effrayant est livré par Lola Dewaere, née en 1979, la seconde fille du comédien, actrice elle-même. Il s’agit, dans un geste forcément émouvant, d’accueillir la souffrance de celui qui cachait ses blessures au prix d’un comportement autodestructeur auquel il ne survécut que jusqu’à 35 ans. Cette vérité taboue éclaire d’une manière étonnamment révélatrice bien des films dont on revoit ici des extraits. Mais ce documentaire très important dégage aussi un malaise. Malgré la volonté de tout dire, il semble impossible de crever l’abcès. Beaucoup de témoignages manquent, des accusations à mots couverts se mêlent à l’évocation de Depardieu ou de Coluche… En partant dans la violence, d’un coup de feu de carabine qu’il se tira dans la bouche, Patrick Dewaere n’a laissé personne en paix.

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Vu en avant-première au Festival du film de La Rochelle cet été, en présence du réalisateur et de Jean-Jacques Annaud.
De nombreux extraits de films viennent jalonner le documentaire, mais surtout, ce qui m'a le plus frappé, ce sont des images d'archive que je n'avais jamais vues, notamment de Dewaere tout gamin faisant l'acteur avec ses frères et parcourant la France au gré des tournages, ou encore des entretiens touchants de l'acteur, pas tendre avec sa mère et portant un regard lucide et dépité sur son enfance.

[Jeremy Fox]

Si vous aimez Patrick Dewaere, ne manquez pas le film documentaire d'Alexandre Moix qui lui est consacré : Patrick Dewaere, mon père mon héros, ce soir sur France 5 (21h)

Merci de me l'avoir rappelé ; je ne manquerais pas un documentaire sur mon comédien préféré

[Zelda Zonk]

Si vous aimez Patrick Dewaere, ne manquez pas le film documentaire d'Alexandre Moix qui lui est consacré : Patrick Dewaere, mon père mon héros, ce soir sur France 5 (21h)

Merci de me l'avoir rappelé ; je ne manquerais pas un documentaire sur mon comédien préféré

De rien, ce topic est fait aussi pour ça !
J'espère que la chaîne le mettra en Replay.

[La Scoumoune]

Merci de me l'avoir rappelé ; je ne manquerais pas un documentaire sur mon comédien préféré

De rien, ce topic est fait aussi pour ça !
J'espère que la chaîne le mettra en Replay.

Il est déjà disponible sur la plateforme FranceTV , le titre exact est Patrick Dewaere , mon héros.
Merci pour l'info