Dvdclassik : cinéma et DVD

Flol a écrit : ↑12 déc. 23, 11:42 Leave the World Behind : 4/10
"Gros sabots : le film."

Le fait que Sam Esmail soit à la barre me donnait pas mal envie mais ça fait 2 fois qu'il est fait mention de gros sabots et également d'une Julia Roberts hystérique hurlant devant des jolis cerfs en CGI (déjà qu'à la base je ne suis pas un inconditionnel du tout de l'actrice donc je crains qu'il y ait des chances qu'elle m'insupporte rapidement comme Wile E.).

-Master Gardener: 6/10

Comment avec trois fois rien, nous faire un film palpitant, c'est la classe, c'est Paul Schrader.

Et la fête continue ! : 5/10

Les Filles vont bien : 6,5/10

Original et intéressant. Avec un très joli travail de mise en scène.

TheGentlemanBat a écrit : ↑12 déc. 23, 13:13 une Julia Roberts hystérique hurlant devant des jolis cerfs en CGI

Tu vas vite en besogne, parce que Roberts est certainement ce qu'il y a de mieux dans le film. D'ailleurs, on ne la voit pas tant que ça face à des cerfs (alors que les cerfs en CGI, on en bouffe pas mal oui).

Blackberry - Matt Johnson - 7/10

La Chimère (Alice Rohrwacher) : 8/10

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- Qui se ressemble s'assemble : Pietro Marcello a collaboré avec la cinéaste, logique tant la magie de leur univers font la paire. Mélangeant la fable avec le romantisme d'un temps perdu, c'est le plus emballant film sur la construction mythologique de cette année 2023 (avec El Agua ; Is It Night In America et Euridice, Euridice). Un temps perdu donc que le personnage devra faire (re)naitre, La chimère joue l'analogie entre l'organique et le physique, joue avec sa temporalité des lieux comme souvenir et comme regard politique et s'amuse avec les effets littéraire des sens : tomber à la renverse ; appliquer un fil rouge et statuer les mythes. Magnétique photographie d'Hélène Louvard, qui mélange le 8 et le 16/super 16mm d'une façon sublime. Alice Rohrwacher possède les mêmes yeux que son Italie dans son film. Coup de cœur !!!

Le Monde après nous : 6.5/10
Une nuit : 6.5/10
Un coup de maître : 5/10

Flol a écrit : ↑12 déc. 23, 14:57

TheGentlemanBat a écrit : ↑12 déc. 23, 13:13 une Julia Roberts hystérique hurlant devant des jolis cerfs en CGI

Tu vas vite en besogne, parce que Roberts est certainement ce qu'il y a de mieux dans le film. D'ailleurs, on ne la voit pas tant que ça face à des cerfs (alors que les cerfs en CGI, on en bouffe pas mal oui).

-magik- vient d'en remettre une couche dans le topic dédié mais bon, allez, je vais tâcher de mettre de côté mes à priori négatifs. Surtout qu'une lueur d'espoir subsiste, Karras évoquant un "pendant au White Noise de Baumbach" que j'ai beaucoup apprécié.

Barbie : 5/10

Je sais pas quoi trop en penser. Je met 5 parce que je suis le cul entre deux chaises. Un coté un peu ringard et enfantin voire parfois ridicule dans Barbie Land qui m'a bien plus, la partie dans le monde réelle ma moins interessé. Et dans le meme temps toute cette partie dans Barbie land ou des fois je me retenais de rire tant que je trouvais ca extremement kistch. Reste Margot Robbie convaincante en Barbie. Ryan Gosling, je peux de moins en moins par contre.

G.T.O a écrit : ↑10 déc. 23, 21:15 The Holdovers: 7/10
En revenant souffler sur les braises du cinéma d’Hal Asby, Payne vient défaire son cynisme habituel, et s'emploie à refaire vivre un cinéma dédié aux seuls personnages qu’il suit, mi amusé mi attendri. Au fil du film, la carapace de ceux-ci s’effondre, comme si de leurs stéréotypes l’œuvre elle-même devait les dépasser, dans l’espoir d’y tenter de renouveler un art du portrait que Payne semblait, depuis quelque temps, avoir perdu dans une acidité sans nuance.

Je suis absolument d’accord. Une vraie belle surprise me concernant d’autant plus que je n’aimais pas spécialement ses films précédents.
C’est délicat, sobre et humaniste, l’équilibre entre les personnages est vraiment juste, le tout avec une élégance de cinéma assez rare.

The Holdovers - 7.5/10

The Outwaters (30/10, Shadowz) 6/10

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All light, Everywhere (21/06) 4/10

LE COMTE : 6/10
Sur Pinochet, je connais que certains éléments comme son coup d'état et les années de répression qui ont suivi, puis sa mise en résidence surveillée en GB, mais pas grand-chose d'autre. Donc c'est compliqué de démêler le vrai du faux dans cette satyre fantastique (même si les différents détournements de fonds publics me semblent très probables, j'ignore encore si ses enfants sont effectivement ou non en situation de déchéance financière). En cours de visionnage je me suis souvent posé la question de savoir à qui était vraiment destiné ce long-métrage : aux seuls chiliens pour leur rappeler la monstruosité de ce personnage (voire aux anglais sur la fin...) ? Aux amis et aux descendants de Pinochet pour les enfoncer dans la médiocrité ?
En bref, le concept est très innovant mais m'a paru un peu bancal.

Omar la fraise / Elias Belkeddar _ 7

Désordres, Cyril Schäublin : 7/10.