Classement des sorties Cinéma/VOD 2023 [clos]

[Jeremy Fox]

je n'ai jamais été un inconditionnel du réalisateur (même si j'adore pas mal de ses films).

C'est -presque!- la même chose, si tu adores "pas mal de ses films" ça signifie que tu es quand même globalement sensible à sa narration, les sujets qu'il aborde..

Si le fait qu'il y ait bien presque une bonne moitié de sa filmo qui ne me touche pas fait de moi un inconditionnel, que peut-on dire de ta relation avec Argento ou Michael Mann ?! De l'amour fou (et souvent aveugle) ?

[mannhunter]

Et tu oublies John Carpenter.

Ce qui fait de moi un "inconditionnel" de ces cinéastes c'est que, comme toi avec Spielberg (et d'autres réalisateurs) je suppose, je suis globalement sensible à leur narration, les thèmes qu'ils abordent dans leurs films, leur vision du monde, de l'individu..il n'y a pas de honte je pense à avouer qu'on apprécie voire qu'on se reconnait dans la sensibilité d'un artiste.

[Jeremy Fox]

il n'y a pas de honte je pense à avouer qu'on apprécie voire qu'on se reconnait dans la sensibilité d'un artiste.

Ben évidemment ; où ai-je dit, écrit, pensé le contraire ?

J'ai dit aussi ne pas être un inconditionnel de Spielberg : le suis-je sans le vouloir, sans le savoir ?

Car contrairement à toi je ne suis pas dans l'extase ou le rejet perpétuel des films - sans même parfois les avoir vu - des mêmes réalisateurs juste par le fait d'avoir décrété une fois pour toutes aimer ou détester tout ce que feront les uns ou les autres. La politique des auteurs là où elle m'a toujours laissé perplexe.

[mannhunter]

La politique des auteurs dans ce qu'elle a de plus ridicule/aveuglée selon moi.

Je te rejoins, d'ailleurs à ce titre j'ai les blu rays des "Dents de la mer" et de "Duel" dans ma collection..et pourtant de façon générale je n'ai pas trop accroché aux derniers Spielberg, du moins ceux que j'ai vus ("Lincoln", "Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal", "Le terminal", "La guerre des mondes" et "The Fabelmans" donc)

[Wulfa]

Pour la France, Rachid Hami : 7/10.

Un film d'une belle sensibilité qui dépasse largement le cadre du fait divers auquel le synopsis paraît le circonscrire.

[Boubakar]

Astérix et Obélix - l'empire du milieu : 6/10

[Outerlimits]

Infinity Pool (Brandon Cronenberg) : 4/10
J'avais beaucoup aimé Antiviral et Possessor...Hélas, malgré une hype terrible et une bande annonce choc, le résultat s'avère très décevant ; extrêmement laborieux, sans réelle ambiance, sans queue ni tête, bourré de longueurs, cet improbable croisement entre American Nighmare, Hostel et Frissons s'avère le 1er faux-pas du fils de David Cronenberg.

[Manolito]

Thé fabelmans 8/10

[Tina Quintero]

Un terne mois de février après les superbes films de janvier.
Aftersun : 6,5
La Montagne : 6
The Fabelmans : 6
La Femme de Tchaïkovski : 4

[-magik-]

Knock at the cabin : 4/10
Tár : 5.5/10

Et je voudrais remonter ma note de The Fabelmans à 8.5/10 stp Karras.

[Flol]

Knock at the Cabin : 4/10

[tchi-tcha]

Knock at the Cabin, le film qui ne m'a toujours pas réconcilié avec le prodige Shyamalan...

Sinon, un article du Monde sur Vaincre ou mourir pour ceux qui trouvaient que mon retour sur le film n'était pas spécialement rigolo. Tout simplement parce que le film n'est pas un simple nanar rigolo non plus :

https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... 3232.html

[Jack Carter]

Le Marchand de sable (Steve Achiepo) 7,5

[douane eddy]

Alibi.com 2: 3/10

[Roilo Pintu]

The Fabelmans - Steven Spielberg : 8,5/10
Récit initiatique, romance, drame émotionnel, récit sur la résilience, conte de fée ; The Fabelmans a tout pour ressembler à l’apogée de Steven Spielberg. Une fois de plus accompagné dans son voyage avec une partition doucement nostalgique de John Williams. Film délicat et complet qui honore avec amour la famille, et déplore avec honnêteté et générosité la séparation de ses parents, sans oublier l’obsession du Cinéma qui reste une constante. Les souvenirs de l’enfance et de la jeunesse sont magnifiquement évoqués avec une touche de fable dignement hollywoodienne et digne de Spielberg. Au cœur du film une scène magnifique qui tient autant de la leçon de Cinéma que du drame. Comme le reste du film, c’est d’une beauté absolue. Quelle chance avons-nous de voir Spielberg évoquer les grands et petits moments de sa jeunesse !