noar13 a écrit : sinon j'ai decouvert ce week end le film de ninja !!!!!!!
Castle of owl aka samurai spies (ne pas confondre avec samurai spy de shinoda ni meme avec le remake de ce film encore par shinoda owl's castle (excellent lui aussi), je vous embrouille là?)
non pas vraiment, c'est pas un déluge d'action, mais c'est magnifiquement réalisé, inteprété, bon scenar etc, l'aspect action, ninja tricks etc.. est bien foutu aussi mais c'est pas la tuerie que tu sembles esperer
noar13 a écrit :non pas vraiment, c'est pas un déluge d'action, mais c'est magnifiquement réalisé, inteprété, bon scenar etc, l'aspect action, ninja tricks etc.. est bien foutu aussi mais c'est pas la tuerie que tu sembles esperer
vic a écrit :
Sexy Line (Teruo Ishii, 1961) : charmante comédie policière, efficace et bien rythmée. A coté de sa grande légèreté, on y trouve une vision des plus réjouissantes des roles masculins et féminins. Belle ambiance nocturne dans les rues et les lieux interlopes de Tokyo, proche du film noir, et transcendée par la magnifique musique jazz. Vaut aussi pour la prestation de l'espiègle Yoko Mihara.
alors là on a pas la meme conception de rythmé
film limite sans interet, c'est pas sexy malgre le titre et le real, c'est pas vraiment un policier, comedie policiere peut etre mais c'est pas drole ...
c'est vain
Anecdotique, si tu veux, mais pas vain.
Pas sexy au sens strict, mais il faut tenir compte que le film date de 1961 et est un simple divertissement (donc impossible de montrer des filles à poil.) Mais assez osé pour l'époque par son sujet (la prostitution) et le traitement des personnages : les prostituées sont des femmes professionnellement actives qui ne se plaignent jamais de leur boulot (seulement des conditions de travail et l'exploitation des yakuzas) et l'héroïne (une pickpocket !!) est le personnage positif, intelligent, actif, plein de bon sens et de sang froid et qui résoud les problèmes, là où le "héros" est un salaryman coincé, peureux et assez crétin qui n'a que ça belle gueule pour lui.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
on pouvait s'attendre à mieux de la part d'un des real des series zatoichi, nemuri ou encore ninja
histoire de revanche ultra-classique qui vaut surtout pour ses combats nombreux, nerveux et souvent tres violent
sinon du meme real je viens de commencer "broken swords" pompage integral de l'excellent samurai vendetta, c'est tellement pompé que j'ai cru que j'avais dejà vu le film
Mignon et doux à l'oeil, la collaboration Takahata-Miyazaki d'il y a 35 ans accouche quand même d'un film assez faible dramatiquement, avec des chansons un peu crispantes. Vu il y a 2/3 jours et déjà plus aucun souvenir.
La rétro Shiro Toyoda a commencé hier soir à la Maison du Japon.
Vu ce soir : Un Couple bien comme il faut (1955) : titre ironique puisqu'il s'agit de la chronique d'un couple pauvre et illégitime face à l'adversité et la malveillance de la famille du jeune homme qui cherche à faire respecter les conventions sociales. Evidemment la femme trime (après avoir renoncer par amour à son emploi très lucratif de geisha de luxe) et l'homme, faible et capricieux, dilapide. Petite merveille de légèreté et de tendresse, personnages attachants. Malgré la tristesse qui se dégage de son film, Toyoda garde la bonne distance, injecte des touches d'humour bienvenues et évite le larmoyant. Assez proche de Naruse dans l'esprit, même si le film n'a pas la force de Nuages Flottants. Mais contrairement à ce dernier film, il ne s'agit nullement d'un mélo mais simplement d'une tranche de vie avec ses hauts et ses bas, si le fonds est noir, le ton reste léger. Le programme qualifie le film de comédie mais il ne faut pas s'attendre à s'esclaffer trop souvent. Question mise en scène : beaux plans-séquences, mouvements de caméra simples et discrets. A découvrir.
Demain : Pays de Neige.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky