Commentaires à propos de votre film du mois

[cinephage]

Enorme coup de cul.

Ouhla, calme-toi quand même.

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[Jack Carter]

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ça me fait marrer à chaque fois

[Jeremy Fox]

32 films pour un quinté quasi franco-français 2018 dans lequel vient s'insérer le plus beau des Kitano que je connaissais déjà mais qui vient confirmer.














Le résumé :


* Six Feet Under saison 5 : 8.5/10

* Cafe Society : Woody Allen 2016 : 8/10

* Six Feet Under saison 4 : 7.5/10
* L'amour flou : Romane Bohringer & Philippe Rebbot 2018 : 7.5/10
* Dilili à Paris : Michel Ocelot 2018 : 7.5/10
* Magic in the Moonlight : Woody Allen 2014 : 7.5/10
* Mademoiselle de Joncquières : Emmanuel Mouret 2018 : 7.5/10
* Hana-Bi : Takeshi Kitano 1997 : 7.5/10
* Les Frères Sisters : Jacques Audiard 2018 : 7.5/10

* La Mule (The Mule) : Clint Eastwood 2019 : 7/10
* Le Souffle de la tempête (Comes a Horseman) : Alan J. Pakula 1978 : 7/10
* Le Charme discret de la bourgeoisie : Luis Bunuel 1972 : 7/10

* Sonatine (Sonachine) : Takeshi Kitano 1993 : 6.5/10
* 1900 (Novecento) : Bernardo Bertolucci 1976 : 6.5/10
* Les Noces rouges : Claude Chabrol 1973 : 6.5/10
* Jugatsu (San tai yon ekkusu jugatsu?) : Takeshi Kitano 1990 : 6.5/10
* La Grande cité (Mahanagar) : Satyajit Ray 1964 : 6.5/10
* Blue Jasmine : Woody Allen : 6.5/10

* Mandingo : Richard Fleischer 1975 : 6/10
* L'Été de Kikujiro (Kikujirō no natsu?) : Takeshi Kitano 1999 : 6/10
* To Rome with Love : Woody Allen 2012 : 6/10
* Circulez, y a rien à voir ! : Patrice Leconte 1983 : 6/10
* Minuit à Paris (Midnight in Paris) : Woody Allen 2010 : 6/10

* Kids Return : Takeshi Kitano 1996 : 5.5/10
* Guérillas (American Guerrilla in the Philippines) : Fritz Lang 1950 : 5.5/10
* Plongée à l'aube (We Dive at Dawn) : Anthony Asquith 1943 : 5.5/10
* Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu (You Will Meet a Tall Dark Stranger) : Woody Allen 2010 : 5.5/10

* Mr. Ricco : Paul Bogart 1975 : 5/10
* Daisy Miller : Peter Bogdanovich 1974 : 5/10
* Nahid : Ida Panahandeh 2015 : 5/10
* Robinson et Compagnie : Jacques Colombat 1990 : 5/10

* Burning : Lee Chang Dong 2018 : 3/10

* Le Septième voyage de Sinbad (The seventh voyage of Sinbad) : Nathan Juran 1958 : 2/10
* Dune : David Lynch 1984 : 2/10

[Rick Blaine]

Mois famélique avec 10 films vu mais tout de même 2 grosses découvertes, dans le registre du cinéma politique et paranoïaque des années 70, Cadavres exquis de Francesco Rosi, et L'Attentat d'Yves Boisset.

Le mois complet :

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Films découverts ou redécouverts :

Cadavres Exquis (Cadaveri Eccelenti), de Francesco Rosi (1976) : 9/10

L'attentat, de Yves Boisset (1972) : 8,5/10

L'évadé (Breakout), de Tom Gries (1975) : 7/10
Un Peuple et son roi, de Pierre Schoeller (2018) : 7/10
Irréprochable, de Sebastian Marnier (2016) : 7/10

Une vie meilleure, de Cédric Kahn (2011) : 6/10

La Vie dissolue de Gérard Floque, de Georges Lautner (1986) : 3/10

Films revus : Hors compétition :

The Offence, de Sidney Lumet (1973) : 9,5/10

Un Papillon sur l'épaule, de Jacques Deray (1978) : 9/10

Attaque ! (Attack!), de Robert Aldrich (1956) : 8/10

[Beule]

* Le Septième voyage de Sinbad (The seventh voyage of Sinbad) : Nathan Juran 1958 : 2/10

Même le score d'Herrmann ne trouve pas grâce à tes yeux ?

[Jeremy Fox]

* Le Septième voyage de Sinbad (The seventh voyage of Sinbad) : Nathan Juran 1958 : 2/10

Même le score d'Herrmann ne trouve pas grâce à tes yeux ?

Si bien sûr ! Mais après avoir revu la plupart des classiques 'Harryhausen', je dois bien avouer ne plus leur trouver aucun charme

[The Boogeyman]

Un jeu de massacre féminin en film du mois, qui m'a complètement emballé sur sa forme et sur son fond,
et qui est, malheureusement, assez tièdement apprécié sur le forum pour l'instant.

Et un Top 10 étonnamment trusté par des découvertes contemporaines (2018 / 2019).
Le premier long métrage de Robert Zemeckis (1978) en outsider.


1 • La Favorite - 2019 / Yórgos Lánthimos _ 8,5




2 • La Mule - 2019 / Clint Eastwood _ 8




3 • Roman J. Israel, Esq. - 2018 / Dan Gilroy _ 7,5




4 • Frères Ennemis - 2018 / David Oelhoffen _ 7,5




5 • Si Beale Street pouvait parler - 2019 / Barry Jenkins _ 7,5




6 • High Flying Bird - 2019 / Steven Soderbergh _ 7




7 • Velvet Buzzsaw - 2019 / Dan Gilroy _ 7




8 • Crazy Day - 1978 / Robert Zemeckis _ 7






9 • Arctic - 2019 / Joe Penna _ 7




10 • Sorry to Bother You - 2019 / Boots Riley _ 7

[Alexandre Angel]

Même le score d'Herrmann ne trouve pas grâce à tes yeux ?

Si bien sûr ! Mais après avoir revu la plupart des classiques 'Harryhausen', je dois bien avouer ne plus leur trouver aucun charme

Moi si, c'est plus fort que moi même si ils sont réalisés par des tâcherons. J'ai pas revu le Juran qui est celui qui garde la meilleure réputation et le premier que j'ai vu en salle (en reprise bien sûr).

[Jeremy Fox]

Si bien sûr ! Mais après avoir revu la plupart des classiques 'Harryhausen', je dois bien avouer ne plus leur trouver aucun charme

Moi si, c'est plus fort que moi même si ils sont réalisés par des tâcherons. J'ai pas revu le Juran qui est celui qui garde la meilleure réputation et le premier que j'ai vu en salle (en reprise bien sûr).

Ah mais en plus pour moi Nathan Juran est loin d'être un tâcheron car il a réalisé parmi les meilleures séries B westerniennes Universal. En tout cas celles qui ont mes préférences.

[Alexandre Angel]

Ah mais en plus pour moi Nathan Juran est loin d'être un tâcheron car il a réalisé parmi les meilleures séries B westerniennes Universal. En tout cas celles qui ont mes préférences.

J'ai pas précisé mais je pensais surtout à Gordon Hessler et Sam Wanamaker.

[Jack Carter]

Top 6 de Fevrier

1.

L'Ami Americain (Wim Wenders, 1977)

2.

La Peau douce (François Truffaut, 1964)

3.

Mirai, ma petite soeur (Mamoru Hosoda, 2018)

4.

Les Ailes du desir (Wim Wenders, 1987)

5.

Nameless Gangster (Yoon Jong-bin, 2012)

6.

Les Coeurs verts (Edouard Luntz, 1966)

[Beule]

Un mois de février d'une densité exceptionnelle, avec en moyenne un très bon film (a minima) visionné chaque jour, et dans cet imposant corpus, très peu de véritables révisions (3 sur un total de 70 films).
Le cinéma nippon s'y taille la part du lion, ce qui n'a rien d'étonnant au regard de mon inculture crasse en la matière : même éloigné de la cinémathèque et de la MCJP j'y puise encore aisément de quoi satisfaire mes appétits de découverte. Et presque en toute logique, c'est un film japonais qui s'inscrit au tableau d'honneur du mois,

Film du mois


Les derniers samouraïs (Kenji Misumi, 1974)

Autre immense coup de cœur

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Mes provinciales (Jean-Paul Civeyrac, 2018)

Les grands films

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Amour (Károly Makk, 1971)


Bianca (Nanni Moretti, 1984)


Le code yakuza (Buichi Saitô, 1972)


La femme de Seisaku (Yasuzô Masumura, 1965)


Le jeu des fleurs (Tai Katô, 1969)


Nuages flottants (Mikio Naruse, 1955)


The servant (Joseph Losey, 1963 – redécouverte)


Un petit carrousel de fête (Zoltán Fábri, 1955)


Vingt-quatre prunelles (Keisuke Kinoshita, 1954)

Le tout bon

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Les corps sauvages (Tony Richardson, 1959)


La dernière folie de Claire Darling (Julie Bertuccelli, 2019)


Désirs volés (Shôhei Imamura, 1958)


Déviation mortelle (Richard Franklin, 1981)


Fireflies in the north (Hideo Gosha, 1984)


Fitzcarraldo (Werner Herzog, 1982 – redécouverte)


Le groupe (Sidney Lumet, 1966)


Kaïro (Kiyoshi Kurosawa, 2001)


Les mains d'Orlac (Robert Wiene, 1924)


La messe est finie (Nanni Moretti, 1985 – redécouverte)


Les onze guerriers du devoir (Eiichi Kudô, 1967)


Si Beale Street pouvait parler (Barry Jenkins, 2018)


Sonate d'automne (Ingmar Bergman, 1978 – redécouverte)


Les treize tueurs (Eiichi Kudô, 1963)


Le visage d'un autre (Hiroshi Teshigahara, 1966)

[AntonChigurh]

Un mois de février d'une densité exceptionnelle, avec en moyenne un très bon film (a minima) visionné chaque jour, et dans cet imposant corpus, très peu de véritables révisions (3 sur un total de 70 films).

[Addis-Abeba]

Je met Seule contre la mafia en premier même s'il me semble l'avoir vu il a très longtemps, ca m'évite un mois très moyen avec quelques très bons films mais rien de grandiose , alors que ce film de Damiano Damiani est un putain de film porté par une toute jeune Ornella Muti qui est tout bonnement extraordinaire, n’ayons pas peur des mots et le très bon Alessio Orano qui aurait du avoir une bien plus grande carrière, c'est d'ailleurs un mystére qu'il ne l'est pas eu.


-1

-Seule contre la mafia (Damiano Damiani , 1970)


-2

-Juste avant la nuit (Claude Chabrol , 1971)


-3

-Adua et ses compagnes (Antonio Pietrangeli , 1960)




-4

-Target (Arthur Penn , 1985)


-5

-Hard country (David Greene , 1981)


-6

-Drôles d'oiseaux ! (Peter Kassovitz , 1982)


-7

-Le bandits aux yeux bleus (Alfredo Giannetti , 1980)

[Beule]

Un mois de février d'une densité exceptionnelle, avec en moyenne un très bon film (a minima) visionné chaque jour, et dans cet imposant corpus, très peu de véritables révisions (3 sur un total de 70 films).

La faute à des insomnies chroniques. Mais c'est beaucoup trop, bien sûr. À ce niveau, ce n'est même plus de la cinéphagie, c'est une forme d'empilement, de gavage.