Dvdclassik : cinéma et DVD

Un Héros : 8 / 10
Un film réussi qui montre par l'absurde la puissance des réseaux sociaux dans une société iranienne ou la réputation prévaut sur la vérité. Intéressant car au delà du contexte iranien, le film comporte une dimension universelle, d'autant que le réalisateur prend soin de toujours laisser le spectateur avec une petite part de doute.
Le discours du film l'emporte sur le visuel qui est, lui, un peu en deça je trouve, de ce que Farhadi avait pu produire précédemment.

The Power of the Dog : 4/10
Masculinité, virilité, toxicité, homosexualité refoulée. Tant de sujets si importants (et surtout so 2021), que Jane Campion traite à la fois avec trop de distance et pas assez de subtilité. En résulte un film passablement ennuyeux et assez poseur (paie ta structure en chapitres qui sert à rien), soutenu par les cordes stridentes et dissonantes d'un Jonny Greenwood qu'on a connu plus inspiré (The Master reste son chef-d'œuvre).
La cinéaste a heureusement pour elle un talent certain à magnifier ses paysages et ses décors naturels, avec une composition des cadres le plus souvent à tomber par terre. Même si le plus grand exploit, c'est celui de réussir à faire passer la Nouvelle-Zélande (quel pays décidément incroyable) pour l'Ouest américain.

Super-héros malgré lui 6/10

Jeremy Fox a écrit : ↑20 déc. 21, 22:41 Les Lois de la frontière : 5.5/10

Et Begona Vargas ?

Jack Carter a écrit : ↑21 déc. 21, 13:10

Jeremy Fox a écrit : ↑20 déc. 21, 22:41 Les Lois de la frontière : 5.5/10

Et Begona Vargas ?

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Pas trop mon style

Sans aucun remords (2021) / Stefano Sollima _ 5

Being the Ricardos : 6,5/10

Bad Luck banging or Loony Porn 7/10 - film clairement hors norme, entre déambulation historico-ethnographique, recueil d’aphorismes et une dernière partie sous forme de théâtre/tribunal populaire, le tout saupoudré de quelques scènes pornographiques. Pour initié.

Oh l'bordel, trop hâte. Je commence ce soir un retro sur le cinéaste, il y a juste Aferim que j'arrive pas à trouver. MP si quelqu'un le possède.

ALINE : 3,5/10
Mais quel traquenard ce film !!... J'ai l'habitude d'en lire et voir le moins possible avant de découvrir un film, et j'étais passé totalement à côté du fait que ce n'était pas une parodie de la vie de Céline Dion, mais bel et bien un biopic où juste le nom des protagonistes avait été changé. Or je ne peux pas encadrer CELIIIIIIIIINEEEEEEEEE et sa musique, et dès le moment chez Druker j'ai compris qu'ils n'avaient pas inventé des chansons débiles "dans le style de..." mais qu'ils avaient repris in extenso ses anciennes chansons (en les réenregistrant vu la "voix chantée" au générique).
Bref... Ce fut donc assez difficile à surmonter, surtout que sur le plan cinématographique j'ai trouvé le rythme mou, les séquences sautant du coq à l'âne sans véritable liant. Un point positif c'est que ça m'a fait revoir entièrement sa relation avec le gros René, alors que j'avais encore en tête l'image du vieux qui se tape la jeunette. Et aussi une séquence vers la fin m'a paru intéressante

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(la déambulation dans Las Vegas)

. Reste que je demande vraiment ce que Lemercier est venue foutre là-dedans...

WEST SIDE STORY : 4,5/10
En préambule je n'ai vu qu'une fois le film de Wise quand j'étais au lycée (dans une petite pièce de la médiathèque de Cherbourg où on pouvait demander à visionner des laserdiscs sur une TV rétroprojecteur), donc je connaissais très mal l’histoire. C’est très bien réalisé, certains numéros musicaux sont épatants, mais dès que ça se mettait à parler je sentais l’ennui pointer son nez, le déroulement n'étant qu'une resucée de "Roméo et Juliette". Et c'est au point où j'ai vraiment subi la dernière demie-heure qui m'a paru interminable...

FINCH : 7,5/10
Un post-apo avec du coeur, Tom Hanks est encore totalement parfait. Ce n'est certes pas d'une originalité folle mais ça a très bien fonctionné sur moi.

West side story : 8/10

Sos fantômes l'héritage : 7,5/10

Adoré comme lors de ma découverte du 1er opus en salle, à l'époque. Si toutes les sucreries hollywoodiennes surfant sur la nostalgie pouvaient être aussi inspirées...

The card encounter - 6.5/10

Asakusa kid : 4/10

OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire : 6/10

ShadowOfAngelus a écrit : ↑21 déc. 21, 23:42 OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire : 6/10

Généreux. Tu as pu revoir le deuxième épisode alors ?

J'ai aussi décidé de voir ce troisième opus suite à notre conversation... je me réserve encore quelques jours avant de donner ma sentence finale mais j'ai été déçu. Ennui poli. Le soin esthétique et l'abattage de Dujardin restent les plus grands atouts du film mais l'humour est affreusement répétitif.
Et je me suis rendu compte à cette occasion qu'il y un point de non-retour comique, que j'ai du mal à dépasser à chaque fois ; c'est l'imitation de l'accent asiatique. Ça me fait fuir ou ça me met en colère, c'est selon. C'est étrange car ça ne me fait pas ça avec d'autres imitations du même goût (douteux).
J'ai insisté mais ma persévérance n'a servi à rien. Si ce n'est les 5 dernières minutes raccordant le wagon du serial, que je sauverais du marasme tant elles comportent plus d'idées que les 30 minutes qui précèdent.
D'autre part, Niney ne m'a pas convaincu (et il porte mal la barbe... en tout cas, moins bien que Dolph).