Dvdclassik : cinéma et DVD

Yannick - 2/10

L'amour et les forêts : 7/10

Kokomo City (5/10)

Rien à perdre: 6/10
Thanksgiving: 4/10

Fingernails (Nikou) : 6/10

The killer : 3,5/10

Conann :Bertrand Mandico 10/10

Je me suis dit pendant le film que je retournerais bien le voir a nouveau ce week end. Ce qui ne m'arrive jamais.Je sais que j'ai laissé passer des trucs et des références en arrière plan


Mandico je suis fan depuis les Garçons sauvages donc forcément mon avis est peut être biaisé. En tout cas c'est une incroyable expérience de beauté de stylisation ( je crois pas que ça se dit) de folie. Les décors, la lumière tout est magnifique. Le cinéma de Mandico c'est un univers qui s'ouvre devant nous. Et si la fin peut peut être rebuter les âmes les plus sensibles ( certains peuvent trouver ça degueulasse) elle est encore plus dingue que le reste du film. Comme d'habitude il soigne tout dans le film. Visuellement une splendeur même pour toute la partie en noir et blanc.

Et j'ai oublié de signaler l'incroyable boulot encore une fois de pierre desprats a la musique

L'île rouge : 5.5/10

Killers of the Flower Moon: 2/10
De la tragédie en boite, desservie par un drame invertébré, à l'alternance mécanique induit par le décompte funeste, la musique pseudo décalée, et autres prestations carnavalesques qui hantent une oeuvre déjà unidimensionnelle : Di Caprio en tête, et son prognathisme à la Marlon Brandon ridicule, De Niro en figure démoniaque à la moue figée, et Lily Gladstone, éteinte et amorphe. Après le pitoyable the Irishman, une nouvelle déception qui vient confirmer le déclin artistique de Scorsese, sinon la sénilité de ce monument académique. Marty, arrête le carnage !

G.T.O a écrit : ↑6 déc. 23, 23:19 Killers of the Flower Moon: 2/10
De la tragédie en boite, desservie par un drame invertébré, à l'alternance mécanique induit par le décompte funeste, la musique pseudo décalée, et autres prestations carnavalesques qui hantent une oeuvre déjà unidimensionnelle : Di Caprio en tête, et son prognathisme à la Marlon Brandon ridicule, De Niro en figure démoniaque à la moue figée, et Lily Gladstone, éteinte et amorphe. Après le pitoyable the Irishman, une nouvelle déception qui vient confirmer le déclin artistique de Scorsese, sinon la sénilité de ce monument académique. Marty, arrête le carnage !

Ah ben voilà, ça valait le coup d'attendre.

Il a attendu que ça soit dispo chez son oncle d'Amérique

Rockatansky a écrit : ↑6 déc. 23, 23:40 Il a attendu que ça soit dispo chez son oncle d'Amérique

En même temps, ça suinte la tv.

Yannick 6/10
Ça reste un petit Dupieux mais sans prétentions ni folies absurdes comme ses autres films. Quenard est top et donne de sa personne. Je m'attendais à un fin qui bascule dans le monde de Dupieux (style tout ça n'était qu'un jeu pour le spectacle).