Dvdclassik : cinéma et DVD

Nina et le secret du hérisson : 7/10

-Yannick:

Même si je le trouve irrégulier, et que je ne suis pas toujours fan de son cinéma loin s'en faut, on a beaucoup de chance en France, d'avoir un réalisateur aussi atypique que Quentin Dupieux.
Si le premier quart d'heure est génial,on retombe dans les travers du cinéaste, une fois le concept posé, petit à petit ca commence à patiner sec, pour être franchement lassant sur la fin.
C'est vraiment dommage, tant le capital sympathie pour ce film est naturel, et la performance de Raphaël Quenard est étonnante, là où Blanche Gardin fait du Blanche Gardin, non décidément je ne la supporte pas.
Malgré ses défauts, c'est assez original pour récolter la moyenne.


5/10

About Kim Sohee - July Jung - 5/10

Vic Vega a écrit : ↑4 déc. 23, 22:52

Spongebob a écrit : ↑1 déc. 23, 10:22
Dur. Tu pourrais développer ? Parce qu'il y a tellement peu de notes sur ce film que celle-ci va drastiquement faire baisser sa moyenne.

Lorsque Lelouch contait l'amour entre une femme indépendante et un dur à cuire (La Bonne Année), il ne plaquait pas sur son récit de gros sabots sociologiques. Et puis ces zooms seventies gratuits, cette interaction subtile comme un tank entre le cours de philo et les émois sexuels de Madame...

De Lelouch je n'ai vu que Un homme et une femme il y a très longtemps (qui m'avait paru déjà bien daté), son cinéma ne m'attirant pas spécialement, mais il me semble que ce n'est pas non plus un roi de la subtilité. Et je peux aussi deviner qu'il n'en a rien à faire de la sociologie donc ça me parait difficile de faire une comparaison. Et puis il ne fait pas de la comédie romantique. En tout cas je suis certain que ses films sont bien moins drôles et attachants.

Spongebob a écrit : ↑5 déc. 23, 10:07 Et puis il ne fait pas de la comédie romantique. En tout cas je suis certain que ses films sont bien moins drôles et attachants.

Lelouch ? Je trouve son cinéma extrêmement attachant au contraire. Et si il sait faire des comédies romantiques.

Freelance - Pierre Morel - 4,5/10

Lorsque Lelouch contait l'amour entre une femme indépendante et un dur à cuire (La Bonne Année), il ne plaquait pas sur son récit de gros sabots sociologiques. Et puis ces zooms seventies gratuits, cette interaction subtile comme un tank entre le cours de philo et les émois sexuels de Madame...

... il y a que moi qui a capté que le film est un détournement subtil d'un Gialli 70's dans sa forme et dans le fond ? Dans Le Venin De la Peur, il y a une histoire de désir et de frustration. Et dans quelques Giallo que j'ai vu, il y a toujours eu ces zooms seventies. Le film ne possède aucune référence à Lelouch ... et aucune référence Française.

Alibabass a écrit : ↑5 déc. 23, 12:04 Le film ne possède aucune référence à Lelouch ... et aucune référence Française.

Je n'ai jamais parlé d'influence ni de référence. Je parlais juste du principe de la rencontre entre deux êtres d'univers socioculturels différents et du fait que dans les deux cas le personnage féminin ait une place plus élevée dans l'échelon social. Pour moi le canevas est de plus vieux comme le monde, celui d'une femme s'ennuyant dans son couple cherchant échappatoire et excitation dans un (bon vieux) adultère (bourgeois) et celui d'une crise de milieu de vie.

Et puis sinon: du calme, c'est pas comme si j'avais dézingué Seuls les Anges ont des ailes.

-L'envol:

Assez beau film pas totalement convainquant sur la durée, néanmoins un réalisateur à suivre après un Martin Eden fort intéressant.


5,5/10

Je te conseil pas les anciens films de Pietro Marcello avant Martin Eden, tu vas déchanter.

L'Amour et les Forêts, Valérie Donzelli : 8/10.

En eaux très troubles : 2/10

Insubmersible : 6,5/10