Dvdclassik : cinéma et DVD

Pour moi, le chef-d'oeuvre de Soderbergh.

Watkinssien a écrit :Pour moi, le chef-d'oeuvre de Soderbergh.

Sur ceux que j'ai vu, pour moi aussi. Et pourtant il y a beaucoup de très bons films.

J'avais adoré la partie de Del Toro mais détesté celle de Michael Douglas, que j'avais trouvé péniblement sentencieuse. Enfin, ça fait également plus de dix ans que je ne l'ai pas vu...

Watkinssien a écrit :Pour moi, le chef-d'oeuvre de Soderbergh.

Sur une seule vision, je dirais Che, pour ma part. Mais comme pour Rick, Traffic fut une très belle redécouverte.

J'étais âgé d'à peine 10 ans quand le film est sorti en 2000 donc je ne l'ai découvert que quelques années plus tard, à l'adolescence...
C'est un des films qui m'a le plus marqué et que je considère comme un chef d'oeuvre intemporel tant l'impact émotionnel reste intact à chaque visionnage.
Si j'aime autant le cinéma c'est en partie grâce à Traffic, oeuvre la plus aboutie de Steven Soderbergh pour moi aussi.
C'est l'archétype du film "parfait" dans mon imaginaire...

La photo est de Soderbergh himself non ? Un modèle du genre en tous les cas !

Alexandre Angel a écrit :

Watkinssien a écrit :Pour moi, le chef-d'oeuvre de Soderbergh.

Sur une seule vision, je dirais Che, pour ma part. Mais comme pour Rick, Traffic fut une très belle redécouverte.

Che est tout prêt derrière pour moi, j'adore aussi.

Martine Cachet a écrit :La photo est de Soderbergh himself non ? Un modèle du genre en tous les cas !

Oui .

Pas encore vu Che pour ma part , encore plus impatient d'y remédier du coup maintenant que vous en parlez...

Mon film du mois risque d'etre une série

The Knick de Soderbergh.

The Interview (E. Goldberg, S. Rogen, 2014)
M'a à peine arraché un sourire de temps en temps : acteurs en roue libre (surtout Franco), humour lourdingue et répétitif stade anal (avec une forte obsession sur les gays ?), premier degré (?) de la satire politique... On est loin de To be or not to be ou du Dictateur, hélas... 3/10

Savages (O. Stone, 2012)
Arrêté au bout de 5 mn tellement ça commençait mal : voix off en continu qui nous explique qu'elle n'est pas forcément morte (ou vivante, je ne sais plus) bien qu'elle nous parle, sans doute pour éviter de poiler la fin ? Preminger dans Laura et Wilder dans Sunset Boulevard n'ont pas eu besoin de ce genre de précisions... Après combo Californie, soleil, sexe, violence (massacre à la tronçonneuse hors champ mais comme on voit le résultat c'était pas vraiment la peine) et drogue. Bref... 1/10

The Man from U.N.C.L.E. (G. Ritchie, 2015)
Pas trop mal joué, un peu d'humour, mais mise en scène à l'esbroufe qui multiplie des effets inutiles et qui prend bien soin de tout expliquer a posteriori en images au cas où le spectateur n'aurait pas compris. Comme c'est pas très compliqué à comprendre, c'est inutile et lourd. Dommage... 4/10

Laura (O. Preminger, 1944) 20/10
Comment ça, y'a Gene Tierney et je ne suis pas objectif !?

Ça m'a l'air plié pour ce mois, avec L'été de Kikujiro :

Rick Blaine a écrit :
Symphonie pour un massacre, de Jacques Deray (1963) : 8/10

Excellent film, étonnant par son ton quasi-nihiliste.
Cela confirme s'il le fallait tout le bien que je pense de Deray.

Grosse surprise!

Zero Theorem (Terry Gilliam, 2013)
Pas convaincu... Brazil allait tellement plus loin visuellement, dans la réflexion et la folie. Là on s'ennuie un peu et le message me semble simpliste. Mélanie Thierry est très bien, ceci dit, et globalement c'est plutôt bien interprété 4/10