Mais bon je reste quand même curieux, je m'apprêtes à découvrir Sisters, Hi, Mom !, Le Bucher des Vanités et Furie, pour ce dernier je crains d'avance le pire
Je pourrais même pousser le vice à découvrir Mafia Salad, qui semble ici et partout, et même par le réalisateur lui même, considéré comme son pire. Sauf que c'est du genre introuvable... peut être pour le mieux.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
The Boogeyman a écrit :Mais bon je reste quand même curieux, je m'apprêtes à découvrir Sisters, Hi, Mom !, Le Bucher des Vanités et Furie, pour ce dernier je crains d'avance le pire
Pas sûr non plus que t'accroches à ceux là.
Et quid d'Obsession, tiens ?
The Boogeyman a écrit :Je pourrais même pousser le vice à découvrir Mafia Salad, qui semble ici et partout, et même par le réalisateur lui même, considéré comme son pire. Sauf que c'est du genre introuvable... peut être pour le mieux.
Je l'avais trouvé facilement en passant par des voies détournées (et c'était même pour le REvoir ). En fait c'est pas si naze que ça, si on oublie le mec qui est derrière la caméra ; c'est juste une comédie pas hyper drôle et pas hyper bien branlée.
Oui bon ok, ça fait quand même pas rêver.
Vu il y a trèèèèès longtemps mais souvenir d'avoir pas du tout apprécié (encore moins que Pulsions à l'époque). Je crois me souvenir que les personnages sont particulièrement agaçants, les acteurs pas très bon, la photo du film tout en ocre/marron, et le final complètement nawak (bon ça c'est un peu une constance chez De Palma ). C'est prévu de le redécouvrir aussi.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
Très très belle découverte de L'homme de l'ouest d'Anthony Mann.
Le western, genre que j'ai très longtemps délaissé et pour lequel je développe une affection grandissante (sous certaines conditions) quand il est si magnifique, est ici sublimé, millimétré, sec et brutal, et je ne peux que passer sur quelques défauts de caractérisation ou de psychologie aberrante. Pour le reste, il s'agit d'un spectacle assez épique et il me tarde désormais de découvrir les autres classiques poussiéreux du bonhomme (dont je connais et admire les films noir du début de carrière et apprécie modérément les péplums).
El Dadal a écrit :Très très belle découverte de L'homme de l'ouest d'Anthony Mann.
Le western, genre que j'ai très longtemps délaissé et pour lequel je développe une affection grandissante (sous certaines conditions) quand il est si magnifique, est ici sublimé, millimétré, sec et brutal, et je ne peux que passer sur quelques défauts de caractérisation ou de psychologie aberrante. Pour le reste, il s'agit d'un spectacle assez épique et il me tarde désormais de découvrir les autres classiques poussiéreux du bonhomme (dont je connais et admire les films noir du début de carrière et apprécie modérément les péplums).
L'Appât, Winchester 73, L'Homme de la plaine, Je suis un aventurier : que de chefs-d'oeuvre ! Les Affameurs : excellent aussi...
● Cycle La femme scorpion 3 : La tanière de la bête - Shunya Ito -
C'est le volet que je préfère.
Le 2 est incroyable mais je le connaissais déjà. Enfin bon, en blu-ray comparé au vieux DVD studio Canal de la Préhistoire (coucou Jean-Pierre Dionnet qui présente le film ), y'a pas photo, redécouverte totale et éblouissante, à l'instar du premier qui part déjà bien loin. Mais le troisième apporte une mélancolie et une noirceur pleine de résignation qui hausse encore plus le film. D'ailleurs ça aurait dû logiquement se conclure avec ce troisième film, je ne m'explique pas le quatrième, bien mais en deça de ce qui a pu précéder.
Une belle baffe signée Lucio Fulci avec sa Longue nuit de l'exorcisme.
Un film retors, brutal et cruel, mais également empreint d'une grande tristesse, un constat impitoyable sur l'aveuglement, le dévoiement et la cruauté primitive. La fameuse séquence centrale prend à la gorge comme chez Sergio Leone dans ses meilleurs moments. J'ai beau aimer le Fulci tardif, ce film fait sacrément réfléchir à ce qu'aurait pu être sa carrière s'il n'avait pas choisi une certaine facilité.