
Les vedettes féminines des films musicaux
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Merci pour le lien Music Man.Music Man a écrit :Voici le lien, Jordan :
http://www.indiancinemaevents.com/artic ... article=46
Bonne soirée.
Je la cite, d'après la source Indian Cinema Events.
"Aamir Khan est un acteur extraordinaire, une personne d’une grande sensibilité avec qui j’ai beaucoup appris. Nous sommes devenus amis lors du tournage de 1947 Earth et, quelques années plus tard, il m’a appelée pour me proposer un rôle dans un film qu’il produisait et dans lequel il devait jouer : Lagaan. Le film m’intéressait, mais le réalisateur, Ashutosh Gowariker, m’a expliqué que j’avais un "regard trop intellectuel" pour incarner le rôle d’une villageoise. C’était la première fois que l’on me disait une chose pareille ! "
La réaction d'Ashutosh est surprenante surtout quand il parle d'actrice au "regard intellectuel", l'avait-il remarqué dans d'autres films avant d'arrêter son choix sur Gracy Singh, actrice elle aussi remarquable ?
Il n'en reste pas moins que c'est une personnalité que j'admire et cela ne m'empêche pas de considérer Lagaan comme un chef-d'oeuvre. Je ne regrette pas que Gracy ait eu le rôle principal, mais sans vouloir refaire le film, je me demande ce qu'aurait donné Nandita.
Cela démontre d'une certaine manière qu'elle était cataloguée comme actrice intello ou s'investissant pour le ciné d'auteur plutôt que pour Bollywood; reflexion un peu hâtive, étant donné qu'elle n'a pas jusqu'à preuve du contraire montré d'animosité envers ce ciné.
Ashutosh a ensuite choisi ShahRukh Khan dans Swades parce qu'il le sentait mûr et surtout assez charismatique pour le faire et qu'il ne voyait pas d'autres acteurs pour l'incarner
" Et pour Swades, il m’était indispensable d’avoir le charisme de Shah Rukh à disposition, avec son statut de méga star, face à des personnages plus « concrets ». Et il a été très bon dans son rôle à contre-emploi."
source : http://www.ecranlarge.com/interview-143 ... nlarge.com
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Merci Music Man!Music Man a écrit :Bonsoir Miss Nobody. Comme toi j'aime beaucoup Peggy Lee. Quelques claquements de doigts, une voix chaude et sensuelle qui murmure « you give fever »…, voici probablement un des succès les plus mémorables de la chanson américaine des années 50 et de cette grande dame de la variété américaine du jazz que fut Peggy Lee.


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Avec sa bouche démesurée et son regard idiot, Martha Raye fut probablement l’une des fantaisistes les plus drôles de la comédie musicale. Son style inspirera beaucoup d’artistes de Betty Hutton à Bette Midler en passant par Lucille Ball. On peut même dire que certaines de ces actrices l’ont beaucoup copié…Mais aucune d’elles ne peut se venter d’avoir un Monsieur Verdoux ou un Helzapoppin dans sa filmographie.

Née en 1916, Martha Raye suit très jeune ses parents sur les planches. En scène des son plus jeune âge, elle ne fréquente pas souvent l’école, et ne saura jamais vraiment lire (on raconte qu’un secrétaire lui lisait ses scripts). Elle commence à chanter dans différents orchestres. Ses talents comiques et sa jolie voix (elle interprète des airs jazzy et entraînants avec beaucoup d’allégresse et de facilité) sont remarqués par les patrons de la Paramount, où elle est embauchée pour de multiples comédies musicales dans lesquelles elle joue généralement le rôle d’une fille stupide et nymphomane, qui essaie vainement de séduire le héros.

Evidemment, son jeu n’est pas très subtil…et alors ? Au moins, on rie et on rie encore 70 ans après en voyant Amour à Waikiki (1937). Face au crooner Bing Crosby, qui entonne son fameux Sweet Leilani, elle est vraiment complètement déchaînée. Elle accumule les gags les plus lourds, mais il faut bien avouer qu’elle fait mouche à chaque coup ! Les yeux hagards, l’air complètement demeuré, elle éclipse le couple romantique Crosby-Shirley Ross à chacune de ses apparitions.
Dans the big broadcast of 1938, avec une pléiade de vedettes Paramount, elle est bringuebalée comme un paquet de linge salle par des marins, lors d’une danse acrobatique particulièrement drôle.

En 1941, on la retrouve dans un film loufoque à sa dimension : l’indescriptible Hellzapoppin, où elle peut donner libre cours à sa fantaisie. Dans ce classique du cinéma comique (dont les la traduction des dialogues en français fut assurée par Pierre Dac), on se souvient notamment du spectacle délirant qui clôt le film, dans lequel elle chante Waiting for Robert Lee. Alors que Betty Hutton est en train de reprendre sa place à la Paramount dans des rôles comiques complètement pompés sur les siens, Martha, comme beaucoup d’autres artistes, va donner des spectacles dans le Pacifique et en Afrique pendant la guerre pour soutenir le moral des Gis. Elle participe du coup au film « 4 jills in a jeep » basé sur les souvenirs de la comédienne Carole Landis qui a participé avec Martha et Kay Francis, à une tournée pour les soldats américains (et a même épousé un GI…pour peu de temps…). Le résultat est plutôt réussi, et les numéros musicaux de qualité (particulièrement ceux de l’étonnante et méconnue danseuse acrobatique Mitzi Mayfair).En revanche, Pin Up Girl, également destiné à booster le moral des jeunes militaires américains est bien médiocre. Quant à la vedette Betty Grable, elle est enceinte, et ça se voit dans certaines séquences!

Après la guerre, Martha a la chance d’être choisie par Charlie Chaplin pour l’un des principaux rôles féminins de la grinçante comédie Monsieur Verdoux : un chef d’œuvre d’humour noir dans lequel sa prestation sera remarquée : hélas, compte tenu des graves problèmes que Chaplin rencontre aux States (chasse aux sorcières, procès en paternité), Martha sera black listée pour avoir acceptée de jouer dans ce film ! Elle se tourne ensuite vers la télé. Hélas, sa série pour le petit écran ne connaîtra jamais l’extraordinaire succès du show de Lucille Ball, autre comédienne qui s’est pourtant aussi beaucoup inspirée d’elle. Déçue de constater que son contrat n’est pas renouvelé, l’actrice fait une tentative de suicide en 1956. Elle connaissait aussi de graves déboires conjugaux : Très instable, elle se mariera 7 fois, des unions qui dureront deux ans en moyenne.
En 1962, Martha joue avec Doris Day et Stephen Boyd dans le plaisant musical à gros budget « la plus belle fille du monde » situé dans les milieux du cirque.
Toujours très concernée par le sort des soldats américains, elle multiplie les galas en Corée et au Vietnam. Dans des conditions souvent précaires, et sans esbroufe (elle ne convoque pas une armée de journaliste pour suivre ses pas), Martha va devenir l’une des artistes favorites des militaires. On raconte qu’elle n’hésitait pas à prêter main forte aux infirmières et à jouer aux cartes avec les bidasses entre les spectacles.

Des années 70, on retiendra son rôle dans une série télé pour la jeunesse les « Bugaloos », inconnue chez nous, mais qui laisse un sacré souvenir aux jeunes quadra américains, si l’on en juge par les sites consacrés à ce feuilleton et une pub pour « polident », nettoyant pour appareils dentaires.

A la fin de sa vie, Martha fera parler d’elle dans la presse à scandales en épousant à 75 ans, Mark Harris un acteur de 42 ans, qui ne faisait pas mystère de son homosexualité. La fille unique de Martha, saisira la justice de peur que le jeune mari de sa maman, atteinte de la maladie d’Alzheimer, ne fasse main basse sur sa fortune. En tous les cas, celui-ci épaulera Martha lors de son procès contre les producteurs de « For the boys » un film très inspiré de la vie de la comédienne (et des shows qu’elle donna au Vietnam) et de plus interprété par une Bette Midler qui lui ressemble étonnamment. Cependant, ils n’auront pas gain de cause.
Souffrant de graves problèmes cardio-vasculaires, la pauvre Martha sera amputée des deux jambes et décèdera en 1994 peu après avoir reçu du Président la médaille de la liberté.
Elle léguera une partie de sa fortune à la PETA, association de défense des droits des animaux et à son dernier mari….qui achètera un magasin de fourrures !
Etonnante destinée que celle de Martha Raye. Plutôt que sa triste fin, mieux vaut garder en mémoire son énergie et son incroyable fantaisie.

Martha Raye sur youtube, dans une compilation de ses "chutes" à l'écran:

Née en 1916, Martha Raye suit très jeune ses parents sur les planches. En scène des son plus jeune âge, elle ne fréquente pas souvent l’école, et ne saura jamais vraiment lire (on raconte qu’un secrétaire lui lisait ses scripts). Elle commence à chanter dans différents orchestres. Ses talents comiques et sa jolie voix (elle interprète des airs jazzy et entraînants avec beaucoup d’allégresse et de facilité) sont remarqués par les patrons de la Paramount, où elle est embauchée pour de multiples comédies musicales dans lesquelles elle joue généralement le rôle d’une fille stupide et nymphomane, qui essaie vainement de séduire le héros.

Evidemment, son jeu n’est pas très subtil…et alors ? Au moins, on rie et on rie encore 70 ans après en voyant Amour à Waikiki (1937). Face au crooner Bing Crosby, qui entonne son fameux Sweet Leilani, elle est vraiment complètement déchaînée. Elle accumule les gags les plus lourds, mais il faut bien avouer qu’elle fait mouche à chaque coup ! Les yeux hagards, l’air complètement demeuré, elle éclipse le couple romantique Crosby-Shirley Ross à chacune de ses apparitions.
Dans the big broadcast of 1938, avec une pléiade de vedettes Paramount, elle est bringuebalée comme un paquet de linge salle par des marins, lors d’une danse acrobatique particulièrement drôle.

En 1941, on la retrouve dans un film loufoque à sa dimension : l’indescriptible Hellzapoppin, où elle peut donner libre cours à sa fantaisie. Dans ce classique du cinéma comique (dont les la traduction des dialogues en français fut assurée par Pierre Dac), on se souvient notamment du spectacle délirant qui clôt le film, dans lequel elle chante Waiting for Robert Lee. Alors que Betty Hutton est en train de reprendre sa place à la Paramount dans des rôles comiques complètement pompés sur les siens, Martha, comme beaucoup d’autres artistes, va donner des spectacles dans le Pacifique et en Afrique pendant la guerre pour soutenir le moral des Gis. Elle participe du coup au film « 4 jills in a jeep » basé sur les souvenirs de la comédienne Carole Landis qui a participé avec Martha et Kay Francis, à une tournée pour les soldats américains (et a même épousé un GI…pour peu de temps…). Le résultat est plutôt réussi, et les numéros musicaux de qualité (particulièrement ceux de l’étonnante et méconnue danseuse acrobatique Mitzi Mayfair).En revanche, Pin Up Girl, également destiné à booster le moral des jeunes militaires américains est bien médiocre. Quant à la vedette Betty Grable, elle est enceinte, et ça se voit dans certaines séquences!

Après la guerre, Martha a la chance d’être choisie par Charlie Chaplin pour l’un des principaux rôles féminins de la grinçante comédie Monsieur Verdoux : un chef d’œuvre d’humour noir dans lequel sa prestation sera remarquée : hélas, compte tenu des graves problèmes que Chaplin rencontre aux States (chasse aux sorcières, procès en paternité), Martha sera black listée pour avoir acceptée de jouer dans ce film ! Elle se tourne ensuite vers la télé. Hélas, sa série pour le petit écran ne connaîtra jamais l’extraordinaire succès du show de Lucille Ball, autre comédienne qui s’est pourtant aussi beaucoup inspirée d’elle. Déçue de constater que son contrat n’est pas renouvelé, l’actrice fait une tentative de suicide en 1956. Elle connaissait aussi de graves déboires conjugaux : Très instable, elle se mariera 7 fois, des unions qui dureront deux ans en moyenne.
En 1962, Martha joue avec Doris Day et Stephen Boyd dans le plaisant musical à gros budget « la plus belle fille du monde » situé dans les milieux du cirque.
Toujours très concernée par le sort des soldats américains, elle multiplie les galas en Corée et au Vietnam. Dans des conditions souvent précaires, et sans esbroufe (elle ne convoque pas une armée de journaliste pour suivre ses pas), Martha va devenir l’une des artistes favorites des militaires. On raconte qu’elle n’hésitait pas à prêter main forte aux infirmières et à jouer aux cartes avec les bidasses entre les spectacles.

Des années 70, on retiendra son rôle dans une série télé pour la jeunesse les « Bugaloos », inconnue chez nous, mais qui laisse un sacré souvenir aux jeunes quadra américains, si l’on en juge par les sites consacrés à ce feuilleton et une pub pour « polident », nettoyant pour appareils dentaires.

A la fin de sa vie, Martha fera parler d’elle dans la presse à scandales en épousant à 75 ans, Mark Harris un acteur de 42 ans, qui ne faisait pas mystère de son homosexualité. La fille unique de Martha, saisira la justice de peur que le jeune mari de sa maman, atteinte de la maladie d’Alzheimer, ne fasse main basse sur sa fortune. En tous les cas, celui-ci épaulera Martha lors de son procès contre les producteurs de « For the boys » un film très inspiré de la vie de la comédienne (et des shows qu’elle donna au Vietnam) et de plus interprété par une Bette Midler qui lui ressemble étonnamment. Cependant, ils n’auront pas gain de cause.
Souffrant de graves problèmes cardio-vasculaires, la pauvre Martha sera amputée des deux jambes et décèdera en 1994 peu après avoir reçu du Président la médaille de la liberté.
Elle léguera une partie de sa fortune à la PETA, association de défense des droits des animaux et à son dernier mari….qui achètera un magasin de fourrures !
Etonnante destinée que celle de Martha Raye. Plutôt que sa triste fin, mieux vaut garder en mémoire son énergie et son incroyable fantaisie.

Martha Raye sur youtube, dans une compilation de ses "chutes" à l'écran:
Dernière modification par Music Man le 22 avr. 08, 21:33, modifié 1 fois.
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- Machino
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Hello Music Man !
Je ne connais Martha Raye que pour son rôle (d'ailleurs assez impressionnant, bien que secondaire) dans Verdoux de Chaplin, où elle fait preuve de la même énergie que dans la compilation de Youtube. A ce propos, ses chutes étaient-elles toutes volontaires ? Dans le clip, à une ou deux reprises, on est pris de doute...
Avec tout ça, il est étonnant qu'elle ne se soit rien cassé

Je ne connais Martha Raye que pour son rôle (d'ailleurs assez impressionnant, bien que secondaire) dans Verdoux de Chaplin, où elle fait preuve de la même énergie que dans la compilation de Youtube. A ce propos, ses chutes étaient-elles toutes volontaires ? Dans le clip, à une ou deux reprises, on est pris de doute...
Avec tout ça, il est étonnant qu'elle ne se soit rien cassé

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Oui! Il sort le 5 février prochain en Z2 en GB:Music Man a écrit :
Etonnant quand même qu'un film aussi connu ne soit toujours pas disponible en DVD! Est-ce pour bientôt?

http://www.play.com/DVD/DVD/4-/3275356/ ... oduct.html
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Merci Ann! Hélas, c'est une version non-sous titrée, alors que les sous-titrages français conçus par Pierre Dac valaient leur pesant de cacahuètes.
Je me souviens d'une scène où l'un des deux héros est au téléphone et dit "celle-là oui, celle-là non, celle-là non....celle-là oui...".
Son comparse étonné lui demande ce qu'il fait et il lui répond "j'aide la bonne à trier les fraises!".
Je me souviens d'une scène où l'un des deux héros est au téléphone et dit "celle-là oui, celle-là non, celle-là non....celle-là oui...".
Son comparse étonné lui demande ce qu'il fait et il lui répond "j'aide la bonne à trier les fraises!".

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Merci Ann pour l'informationMusic Man a écrit :Merci Ann! Hélas, c'est une version non-sous titrée, alors que les sous-titrages français conçus par Pierre Dac valaient leur pesant de cacahuètes.
Je me souviens d'une scène où l'un des deux héros est au téléphone et dit "celle-là oui, celle-là non, celle-là non....celle-là oui...".
Son comparse étonné lui demande ce qu'il fait et il lui répond "j'aide la bonne à trier les fraises!".



PS : D'après DVD Times http://www.dvdtimes.co.uk/releasedates. ... 2007&type= il s'agit d'un Zone All. Donc ce sera pour moi.

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C'est intéressant ce que tu dis sur les ST de Pierre Dac! J'ai un très mauvais souvenir de Duck Soup (la soupe aux canards) des frères Marx en salle: les ST français étaient de Raymond Queneau et ce fut une catastrophe....Pas un rire! L'humour des Marx ne passait absolument pas à la traduction....comme qui dirait "Lost in Translation"!!!Music Man a écrit :Merci Ann! Hélas, c'est une version non-sous titrée, alors que les sous-titrages français conçus par Pierre Dac valaient leur pesant de cacahuètes.
Je me souviens d'une scène où l'un des deux héros est au téléphone et dit "celle-là oui, celle-là non, celle-là non....celle-là oui...".
Son comparse étonné lui demande ce qu'il fait et il lui répond "j'aide la bonne à trier les fraises!".

Pierre Dac a probablement fait une adaptation plutôt qu'une traduction; le seul moyen de rendre l'humour de l'original...
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D'accord avec toi, Serafin.
Outre ses talents comiques, Martha Raye chantait très bien. Melancholy mood en 1939 fut son plus grand succès dans le domaine de la chanson. L'orchestre qui l'accompagnait sur ce titre était celui de son mari du moment, David Rose qui peu après allait divorcer pour épouser Judy Garland (qui elle aussi changeait facilement de mari).
Outre ses talents comiques, Martha Raye chantait très bien. Melancholy mood en 1939 fut son plus grand succès dans le domaine de la chanson. L'orchestre qui l'accompagnait sur ce titre était celui de son mari du moment, David Rose qui peu après allait divorcer pour épouser Judy Garland (qui elle aussi changeait facilement de mari).