Dvdclassik : cinéma et DVD

Jack Carter a écrit : ↑24 nov. 21, 11:16

Jack Griffin a écrit : ↑24 nov. 21, 11:12

Oui. A voir en salle uniquement

Meme si on est mieux equipé à la maison ?

Ah ah...Sinon j'ai cru lire dans une interview que Weerasethakul refusait que le film soit vu en dehors d'une salle de cinéma. Je ne sais pas comment cela se traduira dans les faits (pas de vod ni de support vidéo physique ?). En tous les cas, vu l'importance et la finition du travail sonore ça sera impossible de reproduire l'expérience chez moi.

Alexandre Angel a écrit : ↑24 nov. 21, 10:42

El Dadal a écrit : ↑23 nov. 21, 23:03 Cry Macho : 6/10
Ça ne les vaut objectivement pas, mais le cœur apaisé du film appelle l'indulgence.

Mais si ça les vaut, objectivement.
C'est un film à voir.

J'ai également passé un agréable moment avec ce dernier (?) Clint malgré ses défauts...

Sur OCS :

FILS DE PLOUC : 7.5/10
Un bordel cinématographique sans nom et totalement hallucinant, il faut souvent le voir pour le croire ! Le rythme s’essouffle parfois malgré ses 68 min (restez jusqu'à la fin du générique), surtout après une séquence dédiée aux amis des bêtes, mais ce fut une bonne tranche de rires bien gras.

Un dragon en forme de nuage (VaD) : 6/10

Oranges sanguines : 6,5/10

Illusions Perdues (Giannoli - 20/10/2021) 8
Gros enthousiasme, pour ce que le film raconte comme pour la forme, enlevée, fiévreuse, palpitante. C'est une gageure de s'attaquer à Balzac, surtout en faisant de tels arbitrages, mais l'esprit, l'humour, la cruauté et la générosité mêlées de l'auteur sont préservées. J'ai également été conquis par le casting, en premier lieu Xavier Dolan - à qui j'ai souvent envie de donner des claques - que j'ai trouvé admirable.

Julie (en 12 chapitres) (Trier - 13/10/2021) 7,5
Film plein de charme, qui m'a parlé, étonné et ému. La séquence lorsqu'elle s'incruste au mariage est une des plus belles de l'année.

First Cow (Reichardt - 09/07/2021) 7
Je suis longtemps resté à distance, bien qu'intrigué, à cause de cette forme de naturalisme à l'oeuvre dans le travail de Reichardt et qui ne me touche guère, mais à partir du moment où ils commencent à faire des beignets, j'ai été conquis. Voilà une inhabituelle histoire d'amitié , et j'ai trouvé la fin très émouvante. The bird a nest, the spider a web, man friendship

La Fracture (Corsini - 27/10/2021) 6
J'en parlais là

Mourir peut attendre (Fukugawa - 06/10/2021) 5,5
Le film a plein de défauts (trop long, parfois mal fagoté, le méchant, le zéro alchimie Craig/Seydoux...) mais je n'ai pas passé un mauvais moment, et je trouve que le cycle Craig, très hétérogène, est finalement bouclé avec une certaine cohérence. Ce n'était pas gagné.

OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire (Bedos - 04/08/2021) 5,5
Je n'ai pas gros souvenir du film, vu dans une tardive projection cannoise. Je n'avais pas beaucoup ri, mais j'avais passé un bon moment

Playlist (Antico - 02/06/2021) 5,5
L'abattage de Sara Forestier, la qualité du noir et blanc ou la musique essayent de faire diversion, et ça marche parfois, mais ça ne reste qu'un film de plus sur les atermoiements professionnels et sentimentaux d'une jeune parisienne dans le milieu de l'édition...

Les Sorcières d'Akelarre (Aguero - 25/08/2021) 5
Pas déplaisant, mais j'ai eu l'impression de voir exactement le film que j'avais imaginé, un peu trop protocolaire dans son déroulé et trop convenu dans son imagerie.

Sacrées sorcières (The witches) (Zemeckis - 17/03/2021) 5
Des prouesses formelles réjouissantes, mais la direction artistique est parfois un peu moche, et le casting inégal.

The Nightingale (Kent - 09/03/2021) 4,5
Je rejoins l'avis de GTO en ouverture du topic consacré au film : il y a de la force, de l'efficacité, des intentions... mais que cela manque de subtilité, de contrepoint et de grâce. J'ai un peu souffert.

Les séminaristes (Ostrochovský - 02/06/2021) 4
Il y a une coscénariste commune à Ida. Eh ben, grosso modo, même avis que sur le Pawlikowski : le très beau noir et blanc et le soin maniéré de la forme me créent une distance, renforcée par l'abstraction totale des personnages, des enjeux, du contexte... Je ne rentre donc jamais dedans, et j'aurai oublié le film dans 10 jours...

Mandibules (Dupieux - 19/05/2021) 3,5
D'habitude, je finis les Dupieux déçu, et je m'en veux un peu parce que j'aimerais les aimer plus. Là, pas besoin de me forcer : je ne vois rien à sauver. Ce n'est pas écrit, ça ne raconte rien, et le casting est collectivement nommé dans la catégorie des pénibles de l'année.

Au crepuscule - 7,5/10

Cry Macho : 6/10

Malgré un script pas avare en invraisemblances diverses (je retiendrai surtout "papy Clint" en serial tombeur de ces (jeunes) dames ou encore le double face-à-face avec l'homme de main vraiment pas doué de la mère de Rafo), ce road-trip très pépère se déguste avec un certain plaisir grâce au charme d'Eastwood dont la grande carcasse un peu voutée et le regard toujours pétillant ont quelque chose d'extrêmement touchant.

Venom : Let There Be Carnage : 3/10

Copshop - Joe Carnahan : 5/10
Kandisha - Julien Maury et Alexandre Bustillo : 4/10

Présidents : 6/10

Mourir peut attendre : 7/10

TheGentlemanBat a écrit : ↑24 nov. 21, 18:53 Cry Macho : 6/10
Ce road-trip très pépère se déguste avec un certain plaisir grâce au charme d'Eastwood dont la grande carcasse un peu voutée et le regard toujours pétillant ont quelque chose d'extrêmement touchant.

C'est ça, le film se laisse déguster. Je l'ai senti (coucou la défense de la salle!) autour de moi et c'était très plaisant. J'ai pouffé au moment où le gamin demande que le coq passe à l'avant de la voiture et que Clint lui répond que le jour où un coq passera à l'avant, ce sera pour un barbecue.
Quelqu'un derrière à gloussé en même temps que moi. Petite sensation délicieuse. J'avais l'impression de remonter le temps et d'être en face de Bronco Billy, par exemple, à sa sortie en 80 (même si je n'ai absolument pas vu ce film à sa sortie mais on peut multiplier les exemples).

Venom : let there be carnage : 1/10
Greed : trop n’est jamais assez ! (vod) : 7,5/10